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Anselm Turmeda, appelé par la suite Abdallah at-Tarjuman (le traducteur) était un prêtre andalou qui se convertira à l’islam. Son ouvrage qui a pour titre “Pourquoi j’ai embrassé l’Islam” est à la fois une autobiographie et une réponse aux chrétiens dans lequel l’auteur apporte un développement d’arguments qui atteste que Mohammed (sas) a été annoncé dans la bible sous le nom de Paraclet, ce qui signifie consolateur et que le christianisme des origines a été modifié et altéré. Ce témoignage fait autorité car ce sont des déclarations provenant de l’intérieur du christianisme.

Dans cette intervention, Cheikh Othmane IQUIOUSSEN nous propose dans un premier temps, la lecture d’une partie du passage autobiographique de cet ouvrage, notamment la rencontre de l’auteur, à Bologne, avec avec un prêtre âgé qui se distinguait par son érudition, sa piété et son ascétisme. Ce dernier lui accordera toute sa confiance et en fera son étudiant et son serviteur. C’est notamment par lui qu’il recevra l’explication du passage tiré de l’Évangile de Jean : « Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur [Paraclet]… » (Jean 14 : 16). Dans un second temps, il relève différents témoignages scripturaires tirés de l’Évangile de Jean et les compare à ce qui a été dit dans le Coran pour prouver que l’islam est bien la religion à suivre, n’étant rien d’autre que le prolongement du vrai christianisme.

Qu’Allah fasse nous de pieux et fervents adorateurs.

Tout être humain a déjà pu, au cours de sa vie, être confronté à des questions existentielles. En effet, des interrogations sur la création, la destinée ou encore le sens de sa propre existence peuvent parcourir notre esprit.

Face à ces situations, notre raison a besoin de la révélation afin de répondre à ces questionnements si importants.

De manière certaine, nous savons en tant que croyants, que Dieu n’a pas créé l’Homme en vain. Notre créateur nous le dit d’ailleurs dans Le Saint Coran. Cette révélation Divine, par l’intermédiaire des prophètes, permet à la raison de s’apaiser, de mieux appréhender et vivre ses questionnements; quelles que soient les sociétés ou les époques.

Dans cette vidéo, Othmane IQUIOUSSEN, nous explique de manière pédagogue et adaptée l’importance de la révélation pour compléter la raison. Le conférencier éclaire son intervention avec des exemples de miracles prophétiques ou encore en nous évoquant la nécessité de l’exemplarité de caractère du prophète (sws) en tant que transmetteur de la révélation.

Que Dieu fasse de nous des gens de bien, à l’image de notre bien-aimé (sws). Qu’Il ( swt) nous guide vers Sa lumière et nous donne, tout au long de notre existence, la pleine certitude.

L’univers, le monde, la nature peuvent-ils être le produit du hasard, d’une coïncidence? L’existence de Dieu est-elle une chimère de l’esprit? Ou est- ce le résultat d’une réflexion pondérée, rigoureuse et scientifique de l’esprit humain ?

Cette question est existentielle. En effet, l’un des buts de notre foi, est de conforter et apaiser notre raison et notre coeur. Cet objectif ne peut être atteint qu’ avec la certitude, la conviction que l’existence de Dieu est une évidence. Notre raison obéit à des règles et réfléchit selon certains paradigmes. D’après une certaine logique, ceci est le point commun entre tous les êtres humains. Il parait donc facile de prouver l’existence divine.

Dans cette intervention Cheikh Othmane IQUIOUSSEN se place dans la peau d’un individu qui est face à une personne qui nie l’existence de Dieu. Dans une discussion apaisée et à l aide d’un argumentaire détaillé, il lui expose de manière rationnelle que l’existence de Dieu est une évidence.

Il en vient à la conclusion que notre croyance est rationnelle. Elle est le fruit de l’observation par la raison de ce qui nous entoure; l’univers et tout ce qu’il contient est le résultat d’une cause première, sa complexité ainsi que son organisation nous poussent à penser que derrière lui se trouve forcément une intelligence supérieure nommée Allah (swt).

Que Dieu raffermisse nos cœurs et y place la certitude de Son existence.

Pour développer sa foi et être épanoui dans sa spiritualité, le croyant peut faire appel à de nombreux hadiths du prophète (saws) en parallèle de la lecture du coran.

Mais force est de constater que ces paroles prophétiques sont si nombreuses et riches de sens que nous n’avons certainement pas assez d’une vie pour toutes les assimiler.

Compte tenu de la quantité de hadiths rapportés par différentes personnes, pouvons-nous faire confiance aux méthodes de vérification de ceux-ci ? Quels sont les critères pour affirmer ou rejeter la validité d’une parole prophétique ? Comment faisaient les rapporteurs si deux hadiths semblaient se contredire ?

Dans cette vidéo, cheikh Othmane IQUIOUSSEN, nous expose, de prime abord, au travers d’un exemple profane, les méthodologies pour vérifier l’authenticité d’une information ou une chose. Il développe ensuite le perfectionnisme, la rigueur et la minutie dont faisaient preuve les spécialistes afin de valider ou de rejeter une parole attribuée à notre bien-aimé (saws).

Qu’Allah fasse de nous des êtres de confiance. Qu’Il fasse que nous soyons la cause de propagation de bonnes et de fiables paroles.

Les contemporains du Prophète (saws) nous ont rapporté énormément de témoignages concernant sa vie, sa personnalité, son caractère, des paroles qu’il a proférées ou encore sa manière de réciter le Coran. Cela constitue la sunna, elle est rapportée sous la forme de hadiths.

Mais comment ont-ils pu rapporter autant de hadiths sans les avoir mis à l’écrit? Avaient-ils les capacités mentales et une mémoire suffisante pour retenir autant de paroles? De plus cette sunna nous a t- elle été transmise de manière fidèle et authentique par les générations précédentes?

Dans cette intervention Cheikh Othmane IQUIOUSSEN, nous apporte des éléments de réponses à ces questions Ô combien importantes. D’abord, à l’aide de versets coraniques, car en effet, à plusieurs reprises dans le Livre Saint, Allah (swt) témoigne de la pureté des compagnons, de leurs intentions louables ainsi que leur sincérité. Leur objectif premier étant de plaire à leur Seigneur, puis de retenir, conserver et mettre en pratique cette sunna. Puis, Il aborde la capacité des arabes de l’époque à retenir ce qu’ils entendaient. C’est ainsi que ce peuple de tradition orale retenait leurs généalogies, leur filiations ou l’histoire de leurs ancêtres.

Enfin, Il revient sur la pédagogie qu’utilisait le Prophète (saws) pour faciliter l’apprentissage de ses paroles.

Qu’Allah nous permette d’accéder et mettre en pratique la sunna de notre noble Prophète (saws).

La question des souffrances du mort dans la tombe pour les actes commis par ceux qui l’entourent amène beaucoup d’interrogations.

La première : est-ce que le mort va être puni pour les pleurs exagérés des vivants ? Il ne s’agit pas, ici, des pleurs naturels qui reflètent la tristesse humaine et légitime d’avoir perdu un être cher, mais il existait, par exemple, des personnes payées pour venir pleurer sur les tombes.

La deuxième: est-ce que le mort entend-il les souffrances des morts enterrés à côté de lui ? Nous entendons chez nous quand il y a du bruit chez nos voisins, qu’en est-il des personnes enterrées côte à côte ?

La troisième question qui peut-être posée est, qu’en est-il de la personne que l’on tarde à enterrer ?

Dans cette vidéo, Cheikh Othmane Iquioussen nous donne des arguments tirés du Coran et des hadith pour répondre à ces questions.

La religion musulmane nous préconise d’avoir le meilleur comportement avec autrui. D’ailleurs, il n’est pas rare que des passages du coran ou des hadiths du prophète (saws) évoquent cela.

Pour autant, il peut arriver que l’être humain vive au cours de sa vie des situations problématiques, douloureuses ou conflictuelles avec sa famille, ses amis, son entourage.

Alors en tant que croyant, comment réagir de la meilleure des manières lorsque nous vivons une situation complexe avec autrui ? Ai-je le droit de rompre les liens avec mon entourage ? Dans quel cas puis-je mettre de la distance avec ma famille si celle-ci semble me causer du tort? Est-il permis de rester en mauvais terme indéfiniment avec une personne?

À la lumière d’une histoire vécue par Aïcha, la mère des croyants (qu’Allah l’agrée) mais également au travers de hadiths, Othmane IQUIOUSSEN nous éclaire quant aux subtilités que peut comporter la question de la rupture des liens familiaux ou amicaux.

Qu’Allah (swt) fasse de nos demeures un havre de paix et qu’Il fasse que nos liens avec notre entourage soient remplis d’amour et de miséricorde.