Nous poursuivons nos discours sur la purification de l’âme des tous les défauts dont elle est imprégnée habituellement.
Cette purification spirituelle sans laquelle l’islamité de l’individu est réduite à de simples rites sans âme. Peut-être même que la pratique des rites externes de l’islam devient le prétexte de nourrir et de servir ses passions, à l’instar de celui qui exerce son arrogance, sa jalousie, son mépris, sa haine, son amour du prestige sur les autres à travers ce qu’il accomplit comme activités religieuse.