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« Rien n’empêche d’acheter une mosquée en ayant recours à de l’argent dont l’ori- gine est illicite dont son propriétaire s’est purifié, à l’instar des intérêts accumulés au- près des banques usurières, ou d’un héritage légué par son père ou son grand-père. Il est interdit à celui qui a acquis cet argent d’en tirer profit.

Par contre, il est licite pour les pauvres et voies du bien dont les mosquées et ce qui s’y rapproche. Par ailleurs, une fatwa à ce sujet a été publiée par l’académie du droit musulman « majma’ al-fiqh al-islami » affilié à la ligue islamique mondiale. »

Une telle question fut posée à cheikh Youssef al-Qaradawi au sujet des intérêts ban- caires. Il dit :

« Quant aux intérêts bancaires accumulés, leur cas est identique au cas de tout bien acquit d’une manière illicite. Il n’est pas permis à leur acquisiteur d’en tirer profit car en les utilisant pour son profit personnel, il aura consommé un produit illicite et ce, qu’il en tire profit comme nourriture, boisson, vêtements, logement ou acquittement de dette envers un musulman ou un non-musulman, que la dette soit équitable ou…

Comment Mohammed, pouvait-il, dans son état de pauvreté, et appartenant à la classe moyenne de son peuple, réclamer la royauté et prétendre au pouvoir. Il n’avait ni richesse, ni autorité, ni armée, ni soutien ; il n’avait ni dispositions pour la poésie, ni l’élégance du style, ni la réputation de l’éloquence ; il n’avait rien qui put lui procurer une situation prépondérante parmi le peuple et l’élever jusqu’aux rangs de l’élite.

Or, quelle fut la force qui l’éleva au-dessus des hommes, qui fit que sa tête se dressa au-dessus des autres têtes, qui haussa sa volonté au-dessus des autres volontés…

A l’occasion de l’anniversaire de Mohammad – Que Dieu le bénisse – chaque Musulman doit méditer la vie de cet illustre sauveur de l’humanité qui fut l’auteur d’un bouleversement social étonnant. Car la vie de Mohammad doit servir d’exemple à nous jeunes, qui voulons œuvrer pour la prospérité de notre nation.

La première rencontre fut l’inauguration du CEFR, le 29 et 30 mars 1997 à Londres en Grande Bretagne.

Le rôle de ce conseil est d’essayer de rapprocher les savants d’Europe, et d’unifier leurs avis jurisprudentiels sur des sujets de droit musulman. Ces savants se réunissent pour émettre des fatwâs (un avis juridique autorisé et déterminé par des savants avertis) sur des questions concernant les musulmans d’Europe en se référant à diverses sources qui sont en accord avec les principes islamiques.

Cette histoire m’est arrivée personnellement, il y a 3 semaines j’ai reçu un e-mail d’une jeune femme vivant en Australie, voici le contenu du mail :

« Je suis d’origine libanaise, de père musulman et de mère chrétienne, j’ai vécu au Liban les 10 premières années de ma vie, puis mes parents ont émigrés vers l’Australie, depuis mon lien avec le Moyen-Orient s’est complètement rompu. Aujourd’hui j’ai 22 ans, et depuis mon voyage en Australie ma relation avec la religion s’est achevée, tout ce que je sais c’est que je suis musulmane et c’est tout !

Au nom d’Allah le Clément, le Miséricordieux Nous, soussignés,  sommes aujourd’hui victimes d’une décision arbitraire, illégitime, et  contraire aux droits de l’Homme, à la constitution de l’État et aux lois en vigueur. En effet, nous venons d’être déchus de la nationalité des Emirats arabes Unis. Le point commun entre nous, c’est que nous appelons tous à la réforme et nous sommes membres de l’Association de la Réforme et de la Sensibilisation Sociale au sein de l’État, et  dont le Conseil d’Administration a été suspendu. Une affaire est d’ailleurs déposée devant les tribunaux pour lever l’interdiction qui pèse sur cette association, une affaire qui est à ce jour en cours d’instruction. Aussi, certains d’entre nous ont signé  la pétition qui a été soumise au président de l’Etat, et qui demande des réformes au sein du pouvoir législatif de l’État,  par l’organisation de véritables élections de l’Assemblée Nationale et que celle-ci…

Question : Dans certains pays, surtout en hiver, l’espace de temps qui sépare midi et le temps de la prière de l’après-midi – c’est-à-dire la troisième prière de la journée- est court.

Est-il permis à des travailleurs ou à des étudiants soumis à des horaires précis, d’accomplir la prière du vendredi avant l’heure qui lui est impartie ou après ? Lire la réponse de cheikh Qaradawi