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L’intention est le pollen de la foi. Quand l’intention et la foi se rencontrent, elles font naitre les bonnes œuvres. Avoir une bonne opinion d’Allah est le pollen de la nécessité et de l’indigence envers Allah. Lorsqu’elles se rencontrent, elles font naitre l’exaucement des invocations.
La crainte est le pollen de l’amour. Lorsqu’ils se rencontrent, ils font naitre l’obéissance aux ordres et le délaissement des interdits. La patience est le pollen de la certitude. Lorsqu’elles se rencontrent, elles font naitre l’aptitude à être un guide religieux.

Hier, le séminaire a réuni une soixantaine de personnes autour du thème « la foi musulmane ». A leur arrivée les séminaristes se sont vus remettre un dossier contenant (une fiche explicative de l’association, un fascicule sur la « la foi musulmane », des feuilles de notes, une fiche d’évaluation, un dépliant sur « Les livres de Dieu »).

Le séminaire s’est articulé autour de trois axes : La définition de la foi musulmane et de ses branches, …

C’est un savant qui a sondé les gens et les a bien connus. Il les a supportés et ils l’ont supporté. Il a eu des différends avec eux. Il a côtoyé les gens quand il était riche durant la première période de sa vie où il vivait chez son père, et il les a côtoyés quand il était ministre, ensuite il a renoncé au monde, l’a laissé à ses maîtres et s’est consacré à l’écriture et à la science.

C’est un savant qui a suscité des divergences parmi ses contemporains. Certains ont fait son éloge et d’autres l’ont critiqué. Certains l’ont admiré et d’autres l’ont méprisé…

Quelques paroles de sagesse de l’imam Ibn Al Qayyim Al Jawziyya Al Dimachqy :

« Si ton ennemi t’adresse une parole grossière, ne lui rends pas la pareille, car tu la féconderais. Or la descendance de la dispute est une descendance déplorable »

« Quiconque installe son cœur auprès de Son Seigneur, verra son cœur s’apaiser et se reposer. En revanche, celui qui le met au service des gens lui fera ainsi goûter l’inquiétude et les soucis »

Durant sa vie, le Prophète (BDSL) était la référence de tout musulman désireux de connaître les prescriptions juridiques, quelles soient tirées du Coran ou de sa tradition (Sunna) qui englobe ses actes, ses dires et ses approbations.

Lorsque les compagnons n’étaient pas en compagnie du Prophète (BDSL), ils appliquaient leurs propres ijtihads dans la limite de leurs connaissances des prescriptions juridiques et des principes généraux de l’islam.

Tous les musulmans s’accordent à considérer le Coran et la Sunna comme étant les deux sources scripturaires principales et fondamentales pour connaître les prescriptions de l’islam.
Ils divergent, cependant, sur la légitimité juridique d’autres sources tels que le consensus « al’ijma’ », le raisonnement par analogie « al-qiyas », l’intérêt général indéterminé « al-maslaha al-moursala », l’usage ou la norme sociale « al-urf » …

Par Hassan SAFOUI

Le récit coranique est une source intarissable de leçons livrées à l’humanité, et le portrait qu’il nous dresse de la personnalité du Pharaon est riche, et d’actualité si l’on essaye de le croiser avec les agissements de despotes contemporains qui sévissent encore ou qui sont en pleine déchéance. Le Coran nous apprend :

La conversion d’Abû Bakr renforça considérablement les fondements de la nouvelle religion. Sa forte adhésion au Message de l’islam le poussa à défendre, non seulement le Prophète, mais aussi les opprimés et les persécutés parmi les nouveaux musulmans. Ainsi, racheta-t-il sur ses propres deniers la liberté de sept esclaves convertis à l’islam, dont Bilâl Ibn Rabâh et `Âmir Ibn Fuhayrah, afin de les sauver de la ferrule de leurs maîtres.