Certains musulmans avancent un hadith rapporté par Ibn khouzeïma : Oummou Houmayd, l’épouse d’Abou Hamid Assaa’idi vint voir le Prophète (saw) et lui dit : « Ô ! Messager de Dieu, j’aime prier avec toi ». Il lui dit : « Je sais que tu aimes prier avec moi ! Mais, ta chambre à coucher est meilleure que ta prière dans ton salon. Ta prière dans ton salon est meilleure que ta prière dans la cour de ta maison. Ta prière dans la cour de ta maison est meilleure que ta prière dans la mosquée de ton clan et la prière dans la mosquée de ton clan est meilleure que ta prière dans ma mosquée » Le narrateur dit : « Elle fit construire pour elle une mosquée dans le coin le plus isolé et le plus obscur de chez elle. Elle y pria jusqu’à sa mort ». Cheikh Moncef Zenati nous explique le…
Il importe, pour comprendre la Sunna d’une manière saine et authentique, de s’assurer des vraies significations des termes utilisés par les textes prophétiques car le sens que nous donnons à un terme peut changer d’une époque à l’autre. Cela implique la nécessité de comprendre les termes utilisés dans la Sunna selon la signification qu’ils avaient à l’époque de la révélation et de s’y tenir. Comme cela impose d’être prudent et de ne pas donner à ces termes une signification contemporaine différente de leur définition originelle. L’enseignement ne se tire pas des mots mais de leur contenu. Statut juridique des photos et des images Ne pas respecter cette règle conduit inéluctablement à de nombreuses confusions. Nous pouvons facilement constater ceci en ce qui concerne les photos, les dessins et les images. Certains ont interdit farouchement toute forme de dessins et d’images représentant toute chose dotée d’une âme, les êtres humains et…
Le musulman peut-il toucher une femme qui n’est pas mahram (une femme étrangère) ? Y-a-t-il des cas où l’homme peut le faire ? Cheikh Moncef Zenati répond dans cette vidéo à ces questions de manière claire et sans ambiguïtés.
Dans cette vidéo, cheikh Moncef Zenati répond à une question sur les limites de la rancune entre les musulmans. Rien ne vaut dans ce bas monde d’entacher la fraternité entre les musulmans, car c’est justement cette fraternité qui peut nous sauver dans l’au delà. Les musulmans doivent préserver l’unité car la division est une dure épreuve pour la communauté. Le premier pas vers l’unité et l’union est le fait de pardonner à ses frères et sœurs.
La plupart des musulmans en Occident n’ont autre choix que d’ouvrir des comptes dans les banques usuraires. Ces comptes génèrent des intérêts qui sont crédités sur ces mêmes comptes. Les musulmans se trouvent alors devant deux situations : soit ils laissent ces intérêts aux banques, et cela fait perdre de l’argent aux musulmans, soit ils les dépensent dans les œuvres de bienfaisance publiques. Puisque la prescription n’est pas liée au bien en soi mais à son acquisition ou à sa dépense, l’interdiction est limitée à celui qui l’a acquis d’une manière illicite. Ce qui est interdit concernant le bien usuraire, c’est que la personne l’utilise pour elle-même. Par contre, le dépenser pour les pauvres et les associations de bienfaisance n’est pas illicite. Par conséquent, le Conseil ne voit pas de mal à ce que les organisations de bienfaisance sollicitent les détenteurs de ces comptes pour leur donner ces intérêts, peu…
On a posé la question à cheikh Moncef Zenati sur la relation qu’avait le Prophète (saws) avec ses épouses. Le cheikh nous explique, à travers de multiples exemples, que cette relation était remplie d’amour, d’attention, de galanterie et de romantisme. Des notions qui semblent s’être perdues malheureusement 14 siècles plus tard.
Abou Hourayra (rad) rapporte que le Messager de Dieu (saws) a dit : « Fait partie du bel islam de quelqu’un le fait d’éviter ce qui ne le regarde pas »
Hadith jugé « bon » (hasan) rapporté par at-Tirmidhi et autres.
Ce hadith constitue l’un des plus importants fondements de l’éducation et de la bienséance. Abou Mohamed ibn Abi Zeyd al-Qayrawani (m 386H), la référence malikite de son époque, dit : « L’essentiel des bienséances et du bon comportement découle de quatre hadiths : « Que celui qui croit en Dieu et au Jour Dernier ne dise que du bien ou se taise », « Fait partie du bel islam de quelqu’un le fait d’éviter ce qui ne le regarde pas », la parole qu’a dite le Prophète (saws) à l’homme venu lui demander conseil « Ne te mets pas en colère » et le hadith stipulant que « le croyant aime pour son frère ce qu’il aime pour lui-même » »
Dans cette vidéo, cheikh Moncef Zenati nous parle d’une notion qui fait beaucoup polémique à savoir : La Mixité. Est-elle autorisée ? Quelles sont ses limites ?







