Le message du Prophète Mohammad (saws), une miséricorde pour toute l’humanité. Dieu dit : « Et nous ne t’avons envoyé qu’en miséricorde pour l’univers » (les prophètes : 107). Ainsi, établir cette miséricorde sur terre est l’une des finalités de l’islam. Cela implique que toute forme de corruption sur terre est interdite. Dieu en relatant les propos de Son prophète Shou’ayb : « Je ne veux que la réforme, autant que je le puis. Et ma réussite ne dépend que de Dieu » (11 : 88). Dieu dit également : « Et Moïse dit à Aaron son frère : « Remplace-moi auprès de mon peuple et agis en bien, et ne suis pas le sentier des corrupteurs » » (7 : 142), « Pharaon était hautain sur terre ; il répartit en clans ses habitants, afin d’abuser de la faiblesse de l’un d’eux : Il égorgeait leurs fils et laissait vivantes leurs femmes. Il était vraiment parmi les fauteurs de désordre » (28 : 4). Dieu en évoquant la loi divine que Shou’ayb apporta…
La simplicité et la modestie font partie des traits de caractère les plus remarquables chez le Prophète (saws). La modestie était inhérente à sa personne. Il ne forçait pas sa nature pour laisser apparaître une image trompeuse de modestie. Mohammad (saws) était et demeure la simplicité et la modestie personnifiées. La modestie émanait du plus profond de son être. Même s’il avait un certain pouvoir, il s’écartait de tous les signes ostentatoires et n’aimait pas recevoir les marques de révérence. Il était simple et accessible. Il accueillait le lointain, le proche, ses compagnons, ses ennemis, sa famille et les délégations des rois naturellement et sans adopter un comportement artificiel. Il dit au sujet de la modestie : « Voulez-vous que je vous dise qui sont les gens du Paradis ? Tout être modeste, dont les gens abusent de sa modestie, s’il implorait Dieu en jurant que Dieu lui exauce son…
Le pèlerinage est une obligation qui incombe au musulman, et il doit nous rendre meilleur bien évidemment. Mais le pèlerin reste un être humain avant tout, il est donc soumis au péché comme tous les autres êtres humains. C’est pour cette principale raison que cheikh Moncef Zenati nous explique qu’il ne faut pas être intransigeant à l’égard de celle ou celui qui revient du pèlerinage.
S’instruire est très important, mais vérifier d’où on tire son savoir est encore plus important. A l’heure d’internet, nous avons tous facilement accès au savoir. Mais internet regorge d’informations dans lesquelles on se perd facilement. D’où l’importance d’avoir un professeur pour structurer notre manière de s’instruire. Écoutons les conseils de cheikh Moncef Zenati pour ne pas tomber dans les dangers d’internet.
En islam, la générosité est une qualité qui mène au Paradis. Le Prophète (saws) était d’une générosité incomparable, inégalée et inégalable. Dieu lui a octroyé le cinquième du butin. Si le Prophète (saws) était motivé par les richesses de ce bas-monde, il serait certainement devenu l’être le plus riche de son époque. A titre d’exemple, le cinquième du butin de la bataille de Hounayn correspondait à huit mille ovins, quatre-mille-huit-cents chameaux, huit mille onces d’or et mille-deux-cents captifs ! Le cinquième de ceci revenait de droit au Messager de Dieu (saws) et à sa famille ! A combien pourrait s’élever la fortune du Prophète (saws) s’il avait amassé sa part de butin lors de toutes les batailles remportées? Mais l’histoire nous dit que le Prophète (saws) décéda alors que son bouclier était hypothéqué chez un juif, en garantie d’une dette. Le Prophète (saws) ordonnait de distribuer son éventuel héritage aux…
« Est-ce-que j’ai le droit de ne pas aller en cours pour aller prier al-Joumou’a ? » est la question qui a été posée à cheikh Moncef Zenati lors de la ‘omra Havre De Savoir en décembre 2014. Il est vrai que beaucoup de jeunes étudiants se posent cette question car la prière du Joumou’a est une obligation. Celui qui ne l’accomplit pas sans excuse valable et avec négligence tombe dans un péché, et Allah lui scelle le cœur, conformément au hadith. Seulement, étudier ou travailler dans un pays non-musulman est une excuse valable, puisqu’il est demandé au musulman de s’investir, de s’accomplir et de ne pas rester dans l’oisiveté. Le comportement de ceux qui disent « je ne travaille pas pour pouvoir accomplir mes prières » n’est pas un comportement islamique.
Le Prophète (saws) faisait preuve d’une extrême indulgence et aimait voir ce caractère chez les autres. Il dit un jour à un homme du nom de Ashaj ‘Abd al-Qays : « Il y a en toi deux qualités que Dieu aime : « L’indulgence et la patience » »[1]. Zeyd ibn Sa`na, un rabin juif, nous raconte l’histoire de sa conversion à l’islam. Il dit : « J’avais reconnu en Mohammad (saws) tous les signes de la prophétie sauf deux : sa mansuétude devance sa colère, et l’extrême insolence à son encontre ne fait qu’augmenter sa mansuétude. Je voulus alors le connaître de plus près afin de savoir ce qu’il en était.» Zeyd alla voir le Prophète (saws) et lui dit : « Ô Mohammad ! Veux-tu me vendre telle quantité de dattes du jardin d’untel à tel terme ? Il répondit : « Non ! Mais je te vendrai…
Dans cette vidéo cheikh Moncef Zenati nous donne un exemple de la force de caractère qu’avait ‘Aicha , l’épouse du Prophète Muhammad (saws), qu’Allah soit satisfait d’elle. Pour rappel, les femmes du Prophète Muhammad (saws) sont les mères des croyants comme l’indique le verset 6 de la sourate 33 : « Le Prophète a plus de droit sur les croyants qu’ils n’en ont sur eux-mêmes, et ses épouses ( au prophète) sont leurs mères ( aux croyants) »







