Nous partageons avec vous un clip en hommage au Prophète Muhammed (saws). Ce clip a été réalisé par DITIB Strasbourg que Dieu les récompense. L’Union Turco-Islamique (DÏTÏB) des affaires religieuses de Strasbourg est une organisation qui regroupe sous un même toit 62 associations de l’Est de la France. Ils offrent des services dans les domaines religieux, sociaux, culturels et éducatifs à toute personne de quelque nationalité ou d’âge qu’il soit.
Je vois bien leurs regards, je sens bien leur colère, leur incompréhension, leur malaise, ou leur haine parfois je pense. Pourtant je ne comprends pas.
Nous poursuivons nos discours consacrés à la purification spirituelle. Aujourd’hui nous abordons une autre station, à savoir : la satisfaction « ar-rida », être satisfait de Dieu. La satisfaction consiste à ressentir un profond contentement de ce que Dieu a choisi pour toi, à être pleinement satisfait de ce que Dieu t’octroie comme subsistance, situation ou action. Ce contentement ne contredit en rien l’ambition. Au contraire, aspirer à une vie meilleure, œuvrer pour améliorer ta condition de vie t’est demandé. Ce qu’on entend ici par la satisfaction « ar-rida » est exprimé par Ibn ‘Ata qui dit: « Garde-toi de la déception après avoir fourni le nécessaire». C’est-à-dire, si tu as fourni le nécessaire en vue d’obtenir quelque chose, accepte ce que Dieu t’accorde sans éprouver de regret si tu n’atteins pas ton objectif. Le Prophète (saws) dit : « A connu le goût de la foi, quiconque a accepté…
Nous avons appris dans la vidéo « Qu’est ce que la spiritualité musulmane » que l’excellence est le sceau de notre spiritualité. Aussi, la progression dans le cheminement spirituel conduit à se détacher peu à peu de la vie d’ici-bas. Ce détachement devient bien souvent synonyme de négligence. En réalité, il s’agit d’un écueil fondamental dans la compréhension du détachement. Tayeb Chouiref nous explique en détail les raisons de ce contre-sens.
Je vous remercie mais je n’ai pas besoin pour me sentir plus libre de me calquer sur votre conception de la liberté. Je n’ai pas besoin d’être affranchie, je ne me sens esclave de rien…à l’exception de cette laïcité falsifiée que le gouvernement nous crache au visage en actionnant les leviers de la peur et du danger de l’islam.
C’est avec stupeur ce matin que nous, Ligue Française des Femmes Musulmanes, avons découvert vos propos sur RMC.
Les divorces font des ravages, et les couples musulmans ne sont pas épargnés. Cette fracture peut être d’autant plus difficile à vivre lorsque l’on craint que les enfants soient affectés par l’effritement de la cellule familiale. Plusieurs question se posent alors : comment éduquer mon enfant seul ? Vais-je y parvenir ? Comment préserver les enfants des conflits parentaux ? Autant de réponses que Linda Bendjafer apporte dans cette vidéo.
Le grand ascète et compagnon ‘Omar ibn al-Khattab (rad) a dit un jour : « Faites votre examen de conscience avant d’être juger et pesez vos action avant qu’elles ne soient pesées contre vous, car le jugement sera d’autant plus léger demain, si vous faites votre examen de conscience aujourd’hui, et embellissez-vous pour la présentation suprême ». Cette exhortation donne pleinement la mesure de l’importance de l’examen de conscience dans le cheminement spirituel en islam. Seulement, par expérience, nous savons pertinemment qu’il est souvent difficile d’être objectif et perspicace avec soi-même. Il est alors légitime de se demande comment parvenir à faire d’authentiques examens de conscience. Dans cette vidéo, Tayeb Chouiref nous propose des approches pratiques et efficaces qu’il prend soin d’illustrer par des exemples concrets.







