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Hassan Iquioussen nous emmène à la découverte de la Mosquée Shakirin à Istanbul. Une visite qui s’est déroulée pendant le séjour spirituel organisé par Havre De Savoir. C’est la seule mosquée d’Istanbul imaginée et conçue par une femme : l’architecte Zeynep Fadillioglu. Elle est un cadeau sous forme d’aumône, des enfants de la famille Shakir à leurs parents décédés.

« Seuls ont le droit de fréquenter les mosquées de Dieu ceux qui croient en Dieu et au Jugement dernier, qui accomplissent la salât, s’acquittent de la zakât et ne redoutent que le Seigneur. Ceux-là ont toutes les chances d’obtenir leur salut »[1]. « Dans des demeures que Dieu a permis d’élever afin que Son Nom y soit invoqué, et on Le glorifie, matin et soir »[2]. « En vérité, les mosquées sont la propriété exclusive de Dieu. N’y invoquez donc nul autre que Lui ! »[3]. Les mosquées sont les demeures d’Allah et Il est généreux envers Ses serviteurs. La manifestation de Sa générosité envers ses hôtes est la guidance, la quiétude et la clémence qu’Il leur accorde. Est-il digne d’un musulman qui entend l’appel du Mûadhin, qui l’appelle à se présenter entre les mains d’Allah, de ne pas répondre présent ? Ou bien qu’il préfère répondre à un autre appel lié aux biens de la vie…

La simplicité et la modestie font partie des traits de caractère les plus remarquables chez le Prophète (saws). La modestie était inhérente à sa personne. Il ne forçait pas sa nature pour laisser apparaître une image trompeuse de modestie. Mohammad (saws) était et demeure la simplicité et la modestie personnifiées. La modestie émanait du plus profond de son être. Même s’il avait un certain pouvoir, il s’écartait de tous les signes ostentatoires et n’aimait pas recevoir les marques de révérence. Il était simple et accessible. Il accueillait le lointain, le proche, ses compagnons, ses ennemis, sa famille et les délégations des rois naturellement et sans adopter un comportement artificiel. Il dit au sujet de la modestie : « Voulez-vous que je vous dise qui sont les gens du Paradis ? Tout être modeste, dont les gens abusent de sa modestie, s’il implorait Dieu en jurant que Dieu lui exauce son…

Nous avons plus que jamais besoin d’une compréhension précise du sens de la bonne action qui nous rapproche d’Allah en tenant compte du sens des priorités « fiqh al awlawiyât ».  Ibn ‘Omar rapporte qu’un homme est venu trouver le Messager d’Allah et lui dit : « O Messager d’Allah ! Quels sont les personnes ainsi que les actions qu’Allah aime le plus ? ». Le Messager d’Allah dit : « les gens les plus aimés par Allah sont ceux qui sont les plus utiles aux autres et les actions les plus aimées par Allah sont celles qui participent à donner de la joie à un musulman, soit en le soulageant d’une détresse, en remboursant une dette à sa place ou en soulageant sa faim. En fait, si je marche avec un frère pour quelque affaire qu’il a, cela m’est plus souhaitable que de faire une retraite spirituelle dans cette mosquée (celle de Médine). » Rapporté par At Tabarâni, et…

Cheikh Moncef Zenati revient sur son parcours dans les sciences islamiques, et rend hommage à tous ses professeurs. La relation entre l’élève et son professeur est une relation particulière. Avant d’être une transmission de savoir, cette relation est avant tout humaine. Qu’Allah Préserve les professeurs de cheikh Moncef Zenati, ainsi que tous ceux qui œuvrent dans l’enseignement, la science et la transmission du savoir.

« Est-ce-que j’ai le droit de ne pas aller en cours pour aller prier al-Joumou’a ? » est la question qui a été posée à cheikh Moncef Zenati lors de la ‘omra Havre De Savoir en décembre 2014. Il est vrai que beaucoup de jeunes étudiants se posent cette question car la prière du Joumou’a est une obligation. Celui qui ne l’accomplit pas sans excuse valable et avec négligence tombe dans un péché, et Allah lui scelle le cœur, conformément au hadith. Seulement, étudier ou travailler dans un pays non-musulman est une excuse valable, puisqu’il est demandé au musulman de s’investir, de s’accomplir et de ne pas rester dans l’oisiveté. Le comportement de ceux qui disent « je ne travaille pas pour pouvoir accomplir mes prières » n’est pas un comportement islamique.

Dans cette deuxième partie, le professeur Hassan Iquioussen aborde la phase de la chute de l’Andalousie musulmane. Après des siècles de rayonnement en Europe, l’Andalousie musulmane se retrouve confrontée à son pire ennemi, c’est à dire soi-même. L’amour des richesses de ce bas monde va pousser certains musulmans andalous au matérialisme. Ajoutez à cela des mauvaises alliances et les nombreux conflits internes, l’Andalousie implose progressivement, jusqu’à la perte des bastions stratégiques musulmans. L’Histoire nous enseigne que chaque civilisation musulmane qui s’est éloignée des valeurs de l’islam a finir par connaitre le déclin L’Andalousie musulmane n’a malheureusement pas été l’exception qui confirme la règle. Pour retrouver la première partie de ce séminaire cliquez ici 

L’histoire de France a voulu, que l’islam entame son enracinement sur le territoire national, suite à l’appel d’immigrés maghrébins durant les trente glorieuses. Ainsi, dans l’inconscient collectif français, le musulman est en réalité : un arabe. Ceci malgré le fait que le premier pays musulman au monde, en terme démographique, reste l’Indonésie ; et que si le musulman devait avoir un visage, ce dernier serait asiatique.  C’est pourquoi, la perception française du musulman-arabe, est liée à son histoire particulière, et ne saurait être érigée en tant que norme. Dans ce contexte, il parait urgent de rappeler que l’islam, n’est pas la religion des arabes. L’islam est, du point de vue de la foi islamique : une religion universelle, révélée par le Seigneur des univers, pour l’ensemble de l’humanité. Malheureusement, il semble que certains préfèrent une approche identitaire de la religion. Le Français de souche, blanc, serait catholique de facto, puis, le Français héritier…