Définition de la zakat al fitr: Zakat « al-fitr » ou sadaqa « al-fitr » est la zakat dont la cause est liée à la rupture du jeune du Ramadan. Elle fut instaurée la deuxième année de l’Hégire, la même année au cours de laquelle le jeûne du mois de Ramadan fut instauré. Elle se distingue des autres zakats par le fait qu’elle soit prélevée en fonction des personnes et non pas des biens. Obligation de la zakat al-fitr : La majorité[1] des savants s’accordent à dire qu’il s’agit d’une prescription obligatoire conformément au hadith d’Ibn ‘Omar : « le Prophète (saws) a prescrit la zakat « al-fitr », un « sa’ »[2] de dattes, ou d’orge pour chaque individu, esclave ou libre, masculin ou féminin parmi les musulmans »[3]. Finalité de son instauration : La finalité de la zakat al-fitr est énoncée dans ce que dit Ibn ‘Abbas, que Dieu l’agrée : « Le…
Il arrive que les détracteurs de l’islam décrivent le Prophète (saws) comme un être désireux des biens de ce monde. Or, ceci est totalement faux. Cheikh Moncef Zenati relate dans cette vidéo de nombreux épisodes de la vie du Prophète (saws) comme autant de preuves de son exceptionnelle générosité.
1- En appelant à Dieu, le prédicateur doit réviser son intention en visant uniquement et exclusivement, par sa prédication, la satisfaction de Dieu. L’imam ash-Shafi’i dit : « J’aurais aimé que les gens apprennent cette science sans m’en attribuer une seule lettre ». 2- Le prédicateur doit se doter des nobles caractères. Il doit s’imprégner d’indulgence, de patience, et de scrupule. Il doit être affable et souriant et devra se garder de la jalousie, l’ostentation, l’extrême considération de soi, l’amour du prestige et le mépris des autres. 3- Ne pas hésiter d’apprendre d’un plus jeune, d’un moins connu, d’un moins « pratiquant » ou d’un moins savant que soi. Il ne doit pas éprouver de gêne à poser des questions sur ce qu’il ne sait pas, ni s’enorgueillir devant les apprentis. Sa’id ibn Joubeïr dit : « L’homme ne cesse d’être savant tant qu’il est en quête de savoir. S’il délaisse le savoir en pensant qu’il n’en a…
L’indulgence fait partie des « mères des vertus » propres au Prophète (saws). Cheikh Moncef Zenati nous contextualise quelques exemples de décisions très indulgentes prises par notre bien-aimé Prophète (saws). En effet, les bienfaits d’un tel comportement sont sans équivoque, et ont une influence sur la pensée des personnes concernées, et indirectement sur la société toute entière.
{Et Nous ne t’avons envoyé qu’en miséricorde pour les mondes} Sourate 21 ; Verset 107 Cheikh Moncef Zenati revient sur la miséricorde, qualité inhérente à notre Prophète (saws). Il nous démontre comment elle se manifeste dans son comportement, aussi bien envers les femmes et les enfants qu’envers ses détracteurs et ses plus proches compagnons.
Cheikh Moncef Zenati partage avec nous de nombreux exemples de la patience dont faisait preuve Muhammad (saws). Persécutions, famine, perte de proches, maladies : autant d’épreuves qui ont atteint le Prophète (saws) et face auxquelles il (saws) a patienté de la plus belle manière. À nous de nous inspirer au mieux de cette qualité exceptionnelle.
Dans cette vidéo cheikh Moncef Zenati nous explique que la clé du paradis se trouve sous nos yeux. Il nous arrive pourtant de nous en détourner par ignorance, par négligence ou encore par mépris… Mieux encore, cette clé a déjà ouvert les portes de notre subsistance et de notre éducation depuis notre naissance, souvent avec amour et tendresse. Et Allah (swt) l’évoque dans son livre saint en des termes qui suscite l’empathie et la douceur. Cette clé ce sont nos parents. La bienfaisance envers les parents, quelque soit leurs confessions et leurs convictions intimes, est un élément fondamental dans notre foi. Un impératif qui trouve un large écho dans le saint coran, les hadiths authentiques de notre bien aimé prophète (saws), et dans la vie de nos pieux prédécesseurs.
On retrouve dans l’imaginaire commun, l’idée que l’islam inspirerait à ses fidèles la barbarie et la sauvagerie envers les animaux. Cheikh Moncef Zenati balaye ces idées reçues par un éventail de hadiths authentiques qui mettent en lumière l’éthique musulmane quant au traitement des animaux. Une éthique empreinte de douceur, de bienveillance et de respect, dont notre bien aimé prophète Muhammad (saws) est une fois de plus le parfait modèle.