339 Results

zenati

Search

Un certain philosophe médiatisé sillonne les plateaux télévisés (sans jamais faire face à un spécialiste pour lui donner la réplique) en brandissant une feuille contenant des passages coraniques (avec une certaine liberté dans la traduction) tels que: « exterminez les incrédules[1] jusqu’au dernier », « Ô Prophète encourage les croyants au combat », « Frappez-les sur le cou et aux jointures », « tuez-les là où vous les trouverez »… autant de passages qui, cités de cette façon, donnent la chair de poule et démontreraient, selon ce philosophe, que le Coran serait un livre violent, sanguinaire qui fait l’apologie de la violence. Or, citer des passages coraniques en les isolants de l’ensemble de l’énoncé et en abstraction de leur contexte de révélation est une manipulation grotesque et une malhonnêteté intellectuelle déconcertante. Que dit vraiment le Coran à propos de la violence? Que signifie la notion de « djihad » en islam? Les médias et certains écrits occidentaux ont créé, le plus souvent…

Parler de Dieu, devient de plus en plus rare aujourd’hui. Or, bien Le connaître constitue la base de l’Islam. Connaître Son Unicité, savoir qu’Il est exempt de toute insuffisance ou imperfection est primordial pour bien vivre sa foi. Cheikh Moncef Zenati rappelle l’importance de connaître son Seigneur. Adorer Dieu est le but de chaque être humain, mais pour l’adorer il faut l’aimer, et pour l’aimer il faut le connaître. Ainsi, la connaissance de Dieu doit être notre objectif.

Parmi les actes importants du jeûne de mois de Ramadan, il y a le fait de veiller la nuit en prière. Pour autant, il faut avoir le sens des priorités. En effet beaucoup de jeunes vivent le jeûne en rythme décalé, en privilégiant la veillée nocturne, au détriment de l’effort du jeûne au cours de la journée. Cheikh Moncef Zenati nous rappelle que bien que la veillée nocturne soit importante, il faut équilibrer ses obligations et redonner un sens à ses priorités au cours de ce mois d’efforts et d’excellence.

Les Zaydites sont un groupe parmi les groupes chiites. Les chiites ont divergé à la mort de ‘Ali ibn Hussein sur le choix de la succession à l’Imamat. En effet, ‘Ali ibn Hussein eut 3 fils : Zayd, Muhamad et ‘Omar. Les partisans de Zayd sur la question de la succession furent donc appelés « les Zaydites ». Les Zaydites de l’époque se référaient aux enseignement de Zayd, un homme pieux, élève de Abu Hanifa. Ils étaient donc très proches des sunnites. A tel point que certains savants les ont considérés comme sunnites. Cependant, les Zaydites contemporains, sous l’influence de l’Iran chiite imamite, se sont éloignés considérablement du sunnisme. Les Zaydiites se trouvent principalement aujourd’hui au Yémen. Pour mieux comprendre l’histoire de ce groupe, et en savoir plus sur son dogme, visionnez cette vidéo de cheikh Moncef Zenati.

Les musulmans s’apprêtent à accueillir un grand bienfait de Dieu ; un bienfait qui n’est pas réservé à un individu ou à une catégorie de gens ; un bienfait qui comble annuellement l’ensemble de la communauté « oumma ». Bienheureux est celui qui accueille ce bienfait comme il se doit. Il s’agit du bienfait de Ramadan. Le mois de Ramadan a une place particulière en islam. Il ne s’agit pas d’un mois ordinaire qui commence pour finir … Son jeûne constitue l’un des piliers sur lesquels s’élève l’édifice de l’islam. Al-Boukhari et Mouslim rapportent d’après ‘Abdoullah ibn ‘Omar, que Dieu l’agrée, que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soient sur lui, dit : « Les fondements de l’islam sont au nombre de cinq : L’attestation qu’il n’est de dieu que Dieu et que Mohammad est le Messager de Dieu, l’accomplissement de la Prière, l’acquittement de la zakat, le Pèlerinage à la Maison sacrée et…

Anas ibn Malik (rad) dit : « Aucun d’entre vous n’est croyant jusqu’à ce qu’il aime pour son frère ce qu’il aime pour lui-même » (rapporté par al-Boukhari et Mouslim) Commentaire Dans une autre version rapportée par Mouslim : « jusqu’à ce qu’il aime pour son voisin ou son frère » L’imam Ahmed rapporte ce hadith en ces termes : « L’homme ne pourra parvenir à l’essence de la foi jusqu’à ce qu’il aime pour les gens ce qu’il aime de bien pour lui-même » Cette version explique la version rapportée par al-Boukhari et Mouslim, à savoir que l’expression « Aucun d’entre vous n’est croyant » signifie la négation de l’atteinte de la plénitude de la foi. Le sens est donc « Aucun d’entre vous n’est véritablement croyant … » en effet, il arrive souvent que les textes considèrent comme caduque la foi de celui qui délaisse l’un de ses éléments constitutifs ou des ses devoirs à l’instar des hadiths « Le fornicateur au moment où il…