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L’Union des Organisations Islamiques de France est très surprise par la publication du communiqué de presse, rédigé conjointement par le ministère des affaires étrangères et le ministère de l’intérieur. Ce communiqué re- flète de façon manifeste la volonté de prolonger une polémique née d’une annonce du Front National et résul- tant d’une méconnaissance totale de la pensée de l’UOIF et des personnalités mentionnées.

Cette décision blesse profondément la communauté musulmane car elle renforce l’amalgame dans l’opinion…

En effet, non contents d’user et d’abuser du vocable « islamiste » associant l’islam au terrorisme, les faiseurs d’opinion, aidés en cela par une classe politique encline à l’essentialisme et aux raccourcis les plus abjects, abondent dans des analyses infantilisantes.

On va donc à la rencontre des voisins et des connaissances du frère de l’assassin qui nous racontent, détail ô combien important, que sa femme est voilée ! Et une petite rengaine retentit de plus belle : « Tiens ! Nous vous l’avons incessamment répété…

En réalité, le repentir est une action d’une extrême importance, car le repentir est un changement de vie ; une réorientation de la vie. Le repentant tente de faire de lui- même un être nouveau. Le repentant est celui qui a la volonté ferme de changer sa vie, sa façon de penser, sa conduite, ses intentions et son rapport avec autrui ; c’est là le véritable repentir.

Dieu dit : « Ô vous qui avez cru ! Repentez-vous à Allah d’un repentir sincère » (Sourate 66; Verset 8). En quoi consiste ce repentir sincère ?

Je ne cesserai donc de le clamer, et ce n’est pas un criminel qui se réclame de ma religion qui m’empêchera de considérer que cette religion est une religion de paix, de fraternité et d’humanité. Je renvois dos à dos, les littéralistes qui justifient leur délin- quance ou leur crimes par leur islamité, et les racistes qui essentialisent l’Islam le réduisant aux actes de criminels qui s’en réclament.

Je continuerai à défendre ces musulmans, majoritaires, qui n’entendent pas brader leur engagement spirituel et leur pratique cultuelle, pour prouver leur francité, et …

L’UOIF appelle tous nos concitoyens à ne pas succomber au sentiment de panique et à la stig- matisation des musulmans, amalgame qui nourrirait l’islamophobie. Ces évènements isolés, aussi dramatiques soient-ils, ne doivent pas mettre en péril le profond travail engagé pour améliorer le vivre ensemble et la paix dans notre pays.

L’UOIF appelle les pouvoirs publics à diffuser un discours de paix et de cohésion et espère que tous les moy- ens seront déployés pour sauvegarder tous les lieux de cultes et de regroupement confessionnel.

C’est une première en France métropolitaine. La société CFCI & Associés lancera dans le courant du mois d’avril une assurance-vie «charia compatible». C’est-à-dire con- forme à la loi islamique. L’assureur Allianz propose un produit équivalent depuis 2009, mais seulement sur le territoire de La Réunion.

Cette fois-ci, l’assurance-vie sera donc accessible à l’ensemble des particuliers français musulmans ou non. «La finance islamique, c’est d’abord un compartiment de la finance éthique», insiste Anouar Hassoune, ancien vice-président de l’agence…

Les Croisés n’ayant qu’une confiance très limitée dans les capacités de leurs compa- triotes préfèrent, en effet, demander à nos médecins, ici en « Terre sainte », de soi- gner leurs éruptions cutanées, leurs coliques et leurs diarrhées. Et comme ils ont rai- son ! Mon oncle, l’émir de Chaisar, qui entretient de bonnes relations son voisin franc à la casbah de Mounaîtira, ayant cédé aux instances de celui-ci, lui avait laissé pour quelque temps notre talentueux Thabit afin que celui-ci ne prodiguât ses soins aux malades de la garnison franque.

Mais voilà que Thabit était déjà de retour ! Stupéfaits, nous lui demandâmes :

On rapporte que As Sulamî -qu’Allâh lui fasse Miséricorde- a dit : « Lorsque l’on apprenait 10 versets du Qur’ân, nous n’en apprenions pas 10 autres tant que nous ne connaissions pas ce qu’il contenait en matière de licite et d’illicite (halâl wal harâm), d’interdictions et d’injonctions. »

Dans Al Muwattâ’, Mâlik -qu’Allâh lui fasse Miséricorde- rapporta qu’il entendit que ‘Abdu Llâh Ibn ‘Umar -qu’Allâh les agrée- mit 8 ans pour apprendre la Sourate al-Baqarah.