Et si les extrêmes, par leur crispation maladive, imposent insidieusement leur vision et leurs sujets de préoccupation aux acteurs politiques, médiatiques et intellectuels de notre pays ?
Comment, autrement, peut-on comprendre que le discours pétri de haine et de peur que véhiculent les acteurs xénophobes et racistes de notre pays devient à ce point banalisé alors qu’il fut, il n’y a pas si longtemps, unanimement rejeté ?