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Le présent article vise à répondre à la controverse présentant l’islam comme une religion violente, une religion sanguinaire, prêchée par un homme sanguinaire. En effet, plusieurs magasines ont publié des comparaisons entre Le Prophète Mohammad (saws) et Jésus, présentant Jésus comme un homme pacifique, extrê- mement pacifique, et Mohammed (saws), ou Mahomet comme ils aiment l’appeler, comme un chef de guerre sanguinaire.

Pour répondre à cette accusation aussi ridicule qu’infondée, il suffit tout d’abord…

Cette histoire m’est arrivée personnellement, il y a 3 semaines j’ai reçu un e-mail d’une jeune femme vivant en Australie, voici le contenu du mail :

« Je suis d’origine libanaise, de père musulman et de mère chrétienne, j’ai vécu au Liban les 10 premières années de ma vie, puis mes parents ont émigrés vers l’Australie, depuis mon lien avec le Moyen-Orient s’est complètement rompu. Aujourd’hui j’ai 22 ans, et depuis mon voyage en Australie ma relation avec la religion s’est achevée, tout ce que je sais c’est que je suis musulmane et c’est tout !

Comment peut on traiter différents sujets sur notre belle religion sans parler du meilleur des hommes, notre Prophète Muhammad (Prière et Salut d’Allah soient sur Lui).

Dans cette série, Cheikh Nabil Al-‘Awadi nous parlera de notre bien aimé depuis sa naissance jusqu’à sa mort (Prière et Salut d’Allah soient sur Lui), avant et après la révélation où on l’accompagnera dans sa vie.

Les musulmans, et à leur tête le calife ‘Omar ibn al-Khattab, choisirent cette évènement historique pour marquer le début du calendrier musulman.
Leur choix ne fut pas porté sur la naissance du Prophète saws car l’islam n’entretient pas le culte de la personnalité, ni sur les victoires décisives remportées par les musulmans à l’instar de celle de Badr ou de la prise de la Mecque. Le début du calendrier musulman commence par l’hégire car cet évènement marque la naissance de l’état musulman…

Durant sa vie, le Prophète (BDSL) était la référence de tout musulman désireux de connaître les prescriptions juridiques, quelles soient tirées du Coran ou de sa tradition (Sunna) qui englobe ses actes, ses dires et ses approbations.

Lorsque les compagnons n’étaient pas en compagnie du Prophète (BDSL), ils appliquaient leurs propres ijtihads dans la limite de leurs connaissances des prescriptions juridiques et des principes généraux de l’islam.

La conversion d’Abû Bakr renforça considérablement les fondements de la nouvelle religion. Sa forte adhésion au Message de l’islam le poussa à défendre, non seulement le Prophète, mais aussi les opprimés et les persécutés parmi les nouveaux musulmans. Ainsi, racheta-t-il sur ses propres deniers la liberté de sept esclaves convertis à l’islam, dont Bilâl Ibn Rabâh et `Âmir Ibn Fuhayrah, afin de les sauver de la ferrule de leurs maîtres.