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Triste anniversaire que celui de la mort de Rachel Corrie, tuée volontairement écrasée par un bulldozer israélien le 16 mars 2003 alors qu’elle tentait d’empêcher la destruction de maisons palestiniennes dans la bande de Gaza. Le lourd climat de la seconde Intifada Depuis le début de la seconde intifada en décembre 2000, les palestiniens de Gaza vivent sous le joug des bombardements, des arrestations et des intimidations de l’armée israélienne. C’est dans ce contexte d’oppression qu’un groupe de volontaires américains et britanniques membres du Mouvement de solidarité internationale (ISM), décident d’apporter son soutien aux gazaouis en jouant les boucliers humains entre palestiniens et armée israélienne. Pourtant conscients des risques encourus, les volontaires se savent protégés par leur statut d’internationaux, et comptent sur cette immunité pour protéger le peuple palestinien. Rachel Corrie va vivre plusieurs semaines le quotidien des habitants de Rafah. Elle raconte ce qu’ils vivent dans un e-mail adressé…

Dans un monde en effervescence : guerres, violence, attentats, haine, crimes, attaques terroristes, agressions, bombardements, interventions militaires, pauvreté, précarité, chômage, chocs sociaux et économiques, menaces nucléaires, traumatisme collectif, et horreur absolue qui fauche des vies infiniment précieuses et répand la souffrance et la peur.

Hanan Al-Hroub a grandi dans un camp de réfugiés à Bethléem. Elle privilégie le développement de la confiance, du respect, de l’honnêteté et de l’affection avec ses étudiants, et souligne l’importance de savoir lire et écrire. Elle encourage les étudiants à travailler ensemble, se soucie particulièrement des besoins individuels de chacun et récompense les comportements positifs. Son approche a contribué à réduire les comportements violents dans des écoles où cela était devenu commun. Elle a inspiré ses collègues à revoir leurs méthodes d’enseignement, la façon qu’ils ont de gérer leurs classes et les sanctions qu’ils utilisent.

Après avoir reçu son prix, elle a déclaré : « J’accepte cette récompense au nom de tous les instituteurs et institutrices en général, et des Palestiniens en particulier. Je suis fière d’être une institutrice palestinienne et d’être ici ce soir. Tous les jours, le rôle du professeur est renforcé et son importance est confirmée alors que le monde entier se demande quel futur nous voulons pour nos enfants. »

Al-Qaradawi appelle à une mobilisation unitaire islamique et arabe pour affronter le projet de la division spatio-temporelle d’al-Aqsa L’érudit Dr. Youssef al-Qaradawi, président du conseil du secrétariat général de l’institution internationale d’al-Qouds et président de l’Union Mondiale des savants Musulmans, appelle les pays arabes et musulmans à une mobilisation officielle et unitaire pour faire face au projet de la division spatio-temporelle de la mosquée al-Aqsa, imposée par l’occupation, en insistant sur le fait que les tentatives d’imposer la division spatio-temporelle de la mosquée al-Aqsa peuvent être arrêtées si elles trouvent devant elles une mobilisation unitaire et efficace. Les propos d’al-Qaradawi ont été recueillis à l’occasion d’une déclaration donnée par le président du conseil du secrétariat de l’institution internationale d’al-Qouds, à propos des derniers évènements qu’a connu la ville occupée de Jérusalem, notamment, des dernières mesures prises par le gouvernement de l’occupation et les associations juives qui ont pour but d’imposer…

Qui sont ceux qui trahissent le sermon d’Arafat ? Dans cette vidéo, Recep Tayip Erdogan fustige les ennemis de la Turquie. Il appelle les jeunes turques à soutenir leurs frères musulmans partout dans le monde. Avec ce genre de discours très engagé, on comprend mieux pourquoi ses ennemis sont si nombreux. Havre De Savoir tenait à traduire et sous titrer cette vidéo en français, car le message véhiculé dans le discours est tellement fort, que le public francophone ne pouvait s’en passer. . Enregistrer

Un soir d’hiver, sous une pluie diluvienne, je rentre chez moi en voiture. Un panneau balayé par la pluie battante indique que Marseille est encore à 37 kilomètres. La saison des frimas submerge l’horizon et lui imprime une tristesse digne des paysages maupassantiens : nous sommes loin de la Provence éclatante peinte par Cézanne ou Van Gogh. L’obscurité étend lentement son manteau noir sur l’horizon dans une atmosphère quasi apocalyptique. Le crépitement de la pluie sur la carrosserie, le contraste des températures intérieure et extérieure procurent un certain sentiment de bien-être et d’une vague invulnérabilité. L’esprit s’en délecte. Soudain, la présentation d’un livre sur les ondes de Radio France captive tout de suite mon attention ; il s’agit de l’enquête de Sylvie Matton sur les horreurs de Srebrenica. Je suis tiré de ma rêverie avec la violence d’un ouragan ; sans transition, le bien-être laisse place au dépit, puis à l’écœurement. Un instant,…