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Le nom « hijra », du verbe « hajara » signifie émigration, exode. A chaque fois qu’un prophète exalta son peuple à adorer un Dieu unique sans rien lui associer, une partie adoptait une attitude belliqueuse envers ce dernier et l’excluait de sa ville.

C’est le 15 juillet 622 de notre ère que le verset de l’hégire fut révélé. Il incita les musulmans à quitter la Mecque pour s’installer à Médine. Cette date correspond aussi au début du calendrier musulman, l’an 1 de l’ère islamique…

A travers cette conférence, Mohamed Bajrafil nous incite a vivre la divergence théologique comme une source de miséricorde et non comme une source de conflit. Quand on analyse en profondeur les sources de l’islam, ainsi que les prises de positions des différents savants a travers les siècles on voit que la divergence a toujours été présente même à l’époque des compagnons. Cette divergence est tout a fait compréhensible car, par la sagesse divine, la plupart des textes (Coran et Sunna) permet une polyinterprétabilité. Cheikh Bajrafil illustre, ici, cette polyinterprétabilité à l’aide de plusieurs exemples.

Sa lignée et sa naissance Al-Hasan Ibn Abî Al-Hasan Yasâr Abû Sa`îd Al-Basrî, l’Imâm de Bassora, l’emblème de la piété, le modèle des soufis, naquit en 21 A.H. à Médine, sous le califat de `Umar Ibn Al-Khattâb. Son père était un esclave affranchi de Zayd Ibn Thâbit, et sa mère une esclave affranchie de la Mère des Croyants, Umm Salamah. Lorsque sa mère s’absentait pour accomplir une tâche qu’Umm Salamah lui avait demandée, Al-Hasan pleurait ; Umm Salamah le portait et l’allaitait. On dit que cet allaitement fut une bénédiction pour Al-Hasan. Dans son enfance, il allait s’asseoir avec les Compagnons du Prophète – paix et bénédiction de Dieu sur lui. Notre maître `Umar Al-Fârûq invoqua Dieu d’accorder à Al-Hasan une profonde compréhension de la religion et l’amour des gens. Il apprit le Coran sous le califat de `Uthmân Ibn `Affân. Ses qualités Il fut connu pour son strict respect et…

La routine nous entretient parfois dans de mauvaises habitudes. Profitons du Ramadan pour éveiller nos consciences et nous remettre en question. Et cela commence par le fait de respecter son environnement et son voisinage en s’interdisant tout comportement pouvant leur nuire. En particulier lors des prières nocturnes. Il est strictement proscrit : – D’aller prier à la mosquée et de laisser son véhicule entraver le trottoir, l’accès à un garage ou à une voie publique, – De déranger le voisinage en étant bruyant à la sortie des mosquées et à l’entrée de chez soi.

On retrouve dans l’imaginaire commun, l’idée que l’islam inspirerait à ses fidèles la barbarie et la sauvagerie envers les animaux. Cheikh Moncef Zenati balaye ces idées reçues par un éventail de hadiths authentiques qui mettent en lumière l’éthique musulmane quant au traitement des animaux. Une éthique empreinte de douceur, de bienveillance et de respect, dont notre bien aimé prophète Muhammad (saws) est une fois de plus le parfait modèle.