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Aichouche Sahnoune, étudiante à l’IESH (Institut Européen de Sciences Humaines), obtient la mention très bien pour ses travaux sur le Waqf islamique. Ce Lundi 20 octobre a eu lieu au sein de l’IESH la soutenance de fin d’études supérieurs approfondies en théologie musulmane (bac+5) de Mme ‘Aichouche Sahnoune. Son sujet d’étude portait sur “Le Waqf islamique et l’action de bienfaisance en France” (الوقف الاسلامي والواقع الخير ي في فرنسا), et fut présenté face au Jury composé de Cheikh Ahmed Jaballah, doyen de l’IESH, Dr. Bechri Larbi, directeur de projet, et Dr. Khadmi Nourdine. Nous avons assisté à une présentation brillante d’une étude du contexte français en matière de bienfaisance, d’une étude exhaustive des caractéristiques de la jurisprudence du Waqf, et d’une projection sur l’application du Waqf en France. Ses conclusions sont les suivantes : “Le système de Waqf est utile pour prendre en charge les ambitions et les attentes de la communauté musulmane en France.…

Il faut suivre les « salafs » ! Untel est du « minhaj » (voie) ! untel n’est pas du « minhaj » ! Tel savant fait partie de ahl-as-sunna wal-jama’a, l’autre pas ! Autant d’expressions qui interviennent dans les discussions sans en définir le sens véritable. Sans même le définir, ce fameux « minhaj » est devenu un artifice d’exclusion. Le minhaj, c’est la voie des « salafs » diront certains, c’est comprendre le Coran et la Sunna selon la compréhension des salafs. Mais qui sont les « salafs » et quels sont les contours de cette compréhension ? Comment s’assurer que la compréhension de l’un ou de l’autre est fidèle à la voie des « salafs » ? Soucieuse d’apporter une lecture authentique, Havre De Savoir, organise un séminaire pour répondre à ces questions qui n’ont jamais été expliquées et définies clairement au public francophone. Cheikh Moncef Zenati,…

Cheikh Mohamed Tahar Ben Achour était un savant exceptionnel. Moncef Zenati nous présente cet illustre savant et une anecdote très particulière. Cheikh Mohamed Tahar Ben Achour, est né en septembre 1879 à Tunis et est décédé le 12 août 1973. Moncef Zenati est titulaire d’une maîtrise en sciences islamiques, et professeur à l’Institut Européen des Sciences Humaines de Château-Chinon et auteur de nombreux livres dont : « La sunna : mode d’emploi ».

Il est de notre devoir d’attirer l’attention sur la nécessité de définir certaines notions et d’éclaircir les termes qui suscitent une certaine polémique, en évitant les détails qui ont fait l’objet de plusieurs ouvrages spécifiques. Je tiens donc à tirer l’attention sur les points suivants :

Il est nécessaire de faire la distinction entre le sens littéral de l’innovation « bid’a » et son sens terminologique. En effet, l’innovation au sens littéral du terme ne constitue pas forcément une cause d’égarement menant à l’Enfer.

L’imam Ahmed Ibn Hanbal à dit : « Chaque jour, j’essaie d’être meilleur, j’essaie d’évoluer parce que si vous n’évoluez pas, vous régressez »

Fondateur de la quatrième école de jurisprudence sunnite, l’Imâm Ahmad fut l’un des Imâms de la guidance des tous premiers siècles de l’hégire. Une référence pour ses contemporains et un modèle vivant d’attachement à la Sunnah et de pratique droite et sincère. Son cercle de savoir était une

La raison de cette zakat est la rupture du jeûne. Elle fut instaurée la deuxième année de l’Hégire. Elle se distingue de zakat « al-mal » par le fait qu’elle soit prélevée en fonction des personnes et non pas en fonction des biens.

La majorité des savants, dont les quatre imams, estiment qu’elle est obligatoire. Ibn ‘Omar dit : « le Prophète (BDSL) a prescrit la zakat « al-fitr », un sa’ (quatre doubles poignées) de dattes, ou d’orge pour chaque personne, esclave ou libre, masculin ou féminin » (al-Boukhari et Mouslim).

Sache que la majorité des savants contemporains de l’Islam nous dit que la finalité de la zakat al fitr est de permettre aux pauvres de connaitre la joie de l’Aïd et de ne pas demander la charité ce jour-là : la donner en argent permet donc d’atteindre cette finalité.


Enfin, l’Imam Ibnu Taymiya a dit : « La divergence entre les maîtres concernant les affaires juridiques, doit susciter de la part des musulmans un grand respect pour les divers avis, et que chacun applique ce dont il est convaincu sans pour autant dénigrer ou renier ce dont il n’est pas convaincu car la compréhension des gens ordinaires est inférieure aux efforts des maîtres jurisconsultes » (fatawa)