La spiritualité est l’objectif final de l’islam. Dans cette vidéo, l’imam Abdallah nous explique que le soufisme peut être défini comme la science de la purification de l’âme. Non purifiée, cette dernière constitue effectivement une entrave à notre cheminement spirituel.
La vie du croyant est faite de diverses étapes et épreuves envoyées par Dieu. Celles-ci peuvent avoir un effet bénéfique ou mauvais sur son rapport à son créateur. En effet, les épreuves peuvent avoir pour effet un rapprochement et un repentir vis à vis d’Allah. A l’inverse, elles peuvent aussi faire que le croyant s’éloigne de Dieu, pensant que ce n’est pas une bonne chose pour lui-même. Dans cette vidéo, l’imam Abdallah met en lumière la définition du « vrai malheur » pour le croyant et nous donne les pistes pour comprendre la finalité divine dans nos épreuves.
La méditation où quand le cœur rencontre les signes de Dieu : Le véritable croyant est celui qui sait se taire et contempler le monde qu’il a autour de lui. Cette contemplation ne doit pas seulement se faire avec les yeux ou l’esprit mais surtout avec son cœur. Au travers de passages issus du Noble Coran ou encore d’exemples étayés par des savants, Sofiane Meziani nous démontre l’importance dans un cheminement spirituel de la méditation. En effet, dans cette vidéo, ce dernier nous rappelle qu’il ne s’agit pas seulement d’avoir des connaissances théoriques et scientifiques du monde qui nous entoure car l’aspect physique n’épuise pas la puissance de la création. Ainsi, dépasser les barrières du « mental » et du factuel permet d’illuminer son cœur et d’entrer au plus profond de soi, en connexion avec notre Créateur.
À travers des exemples historiques, Sofiane Meziani nous invite à trouver (ou retrouver) en nous la force spirituelle pour s’accomplir. Durant cette intervention, il nous questionne sur notre rapport à la spiritualité, à la science, à la sagesse et au monde qui nous entoure.
Dans cette vidéo, Sofiane Meziani nous livre une critique de certaines dérives du « développement personnel » visant à se substituer à la spiritualité.
« Oeuvre pour ta vie ici-bas comme si tu devais vivre toujours et pour ta vie dans l’au-delà comme si tu devais mourir demain » (Imam Ali) La vie et la mort sont donc intimement liées, la mort ne serait elle pas la seule certitude dont l’être humain a conscience en venant au monde ? Accepter cette idée de mort permettrait donc à l’homme de vivre sa vie avec sagesse puisque Dieu dit dans le Coran, sourate 2 Verset 67 : “C’est Dieu qui a créé la mort et la vie afin de vous éprouver pour savoir qui de vous est le meilleur en œuvre ”. C’est en sens que la vie éternelle constitue l’objectif à atteindre de chaque individu. Alors la mort deviendrait le commencement vers cette vie éternelle, loin de l’idée d’une finitude, il s’agit du début. Ce commencement prend la forme d’un rendez-vous durant lequel chaque croyant goûtera à…
La science du comportement (‘ilm al-mu’âmalât) a pour objet la science des états spirituels du cœur, comme la crainte, l’espérance, le contentement, la véracité, la sincérité etc… Grâce à cette science, les grands savants ont atteint les sommets et par sa réalisation, ils ont obtenu la notoriété. Il en est ainsi des grands noms comme Sufyân al Thawri, Abu Hanifa, Malik, al-Shafi i et Ahmad ibn Hanbal. Le rang de ceux qu’on appelle les fuqahâ’ et les savants a été inférieur par rapport à ces stations sublimes parce que ces derniers se sont occupés surtout des formes du savoir sans s’imposer l’obligation d’atteindre personnellement ses réalités et d’agir selon ses exigences et ses subtilités. Ainsi tu vois le faqih ergoter des termes techniques comme le dhihâr (le fait de répudier sa femme) al-li’ân (le fait de se maudire), al-sabq (la prééminence), al-ramy (l’accusation), et se lancer dans des détails dont il ne se…
Comme nous l’a indiqué cheikh Farid Al-Ansari, trois certitudes habitent le cœur du croyant : 1) Il sait qu’il va mourir, 2) Il ne sait pas quand est-ce qu’il va mourir, 3) Il ne sait pas dans quel état il va mourir. En effet, la mort est une certitude absolue, aucun n’être humain ne peut se prévaloir de l’immortalité. Seul Lui est éternel. IL n’a besoin de rien alors que toute la création a besoin de Lui. Aucun d’entre nous ne peut déterminer où choisir le moment exact de sa mort. Les hôpitaux sont plein de personnes qui ont raté leurs tentatives de suicide. On ne peut donc ni avancer ni retarder notre rendez-vous avec l’ange de la mort. Quant à la troisième certitude, Il y a en effet des personnes qui sont musulmanes aujourd’hui mais qui quitteront cette terre en étant non-musulmanes. Comme il y a des personnes qui…