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Havre De Savoir

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"Celui que Dieu aime, Il lui accorde la compréhension de la religion"

La Rencontre Annuelle des Musulmans de France a fêté ses 30 ans cette année … Une rencontre inoubliable à la hauteur de cet anniversaire symbolique : Rencontres, émotions, engagement, interventions… Sans oublier un public toujours au rendez-vous.

L’UOIF vous propose une vidéo afin de nous replonger l’espace de dix minutes dans cette rencontre

Depuis bientôt plusieurs mois que de nouvelles élections sont annoncées pour renouveler les instances dirigeantes des CRCM et du CFCM, tous les observateurs constatent que les déchirements et la convoitise sont de règle dans la plupart des régions.

Ces attitudes sont évidemment à l’encontre de l’idée même qui fonde le CFCM. Elles contredisent les accords qui ont conduit au retour de l’UOIF dans les instances dirigeantes du CFCM en janvier de cette année. Ce retour a été, en effet, conditionné par un travail entre les grandes fédérations musulmanes dans la collégialité, l’entente et la mise en avant de l’unité et des intérêts des musulmans de France.

Le  Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soient sur lui, a utilisé le terme arabe « bir » pour qualifier les rapports des enfants à leurs parents. En effet, Ibn Mas’oud interrogea le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soient sur lui : « Quelle est l’œuvre la plus aimée de Dieu ? » Il dit : « La Prière en son temps » Il dit : « Et puis ? » Il dit : « Faire preuve de « bir » envers les parents » » (rapporté par al-Boukhari et Mouslim). Il n’a pas dit : le respect des parents, la bienfaisance envers les parents ou la bonne compagnie avec les parents. Il a plutôt choisi le terme « bir » qui englobe toutes les belles qualités : la miséricorde, la tendresse, l’amour, la bienfaisance, la bonté, le sacrifice … Le « bir » correspond en arabe au plus haut niveau du bon comportement. Par opposition, il a utilisé le terme « ‘ouqouq » car ce terme est plus fort et plus percutant que…

Cet habitant de Lunel a nié les propos racistes. Ses bergers allemands répondent pourtant aux noms d’Adolf et Blondi (le nom du chien d’Hitler, NDLR). Il a été condamné à un mois de prison et a décidé de faire appel.

Un habitant de Lunel a été condamné, la semaine dernière, par le tribunal correctionnel à un mois de prison ferme pour des violences commises par ses chiens sur son voisin d’immeuble d’origine maghrébine.

Il est du devoir de chaque groupe de gens unis par une action de se comprendre mutuellement. De même qu’ils doivent comprendre la nature de l’action pour laquelle ils s’entraident afin qu’ils évoluent en toute clairvoyance.
En effet, certains peuvent se réunir pour accomplir une action tout en ayant des compréhensions différentes, chacun tirera alors d’un côté provoquant ainsi les querelles et l’interruption de l’action. Cela peut même les mener à la scission et à l’animosité. Or, s’ils s’étaient compris d’amblé, ils ne se seraient pas disputés.

Il est de notre devoir d’attirer l’attention sur la nécessité de définir certaines notions et d’éclaircir les termes qui suscitent une certaine polémique, en évitant les détails qui ont fait l’objet de plusieurs ouvrages spécifiques. Je tiens donc à tirer l’attention sur les points suivants :

Il est nécessaire de faire la distinction entre le sens littéral de l’innovation « bid’a » et son sens terminologique. En effet, l’innovation au sens littéral du terme ne constitue pas forcément une cause d’égarement menant à l’Enfer.

Syrians & Friends Paris est une association humanitaire, créée il y a plus d’un an, dans le but de subvenir aux besoins de première nécessité des syriens face aux évènements que connait le pays depuis plus de 2 ans. Nos actions allient campagnes de sensibilisation et collectes de fonds.

Récemment, nous avons eu l’occasion de mener une action de terrain avec une équipe de bénévoles. Ce fut une expérience très riche autant sur le plan humain que sur le plan émotionnel.

Tout connaisseur de la « shari’a » ne peut que constater que celle-ci a instauré ses lois dans le but de préserver les intérêts des gens, de repousser d’eux tout préjudice et de réaliser leur bonheur.

En effet, Dieu a fait du message du Prophète Mohammad (saws) une miséricorde pour toute l’humanité. Dieu dit : « Et nous ne t’avons envoyé qu’en miséricorde pour l’univers » (Sourate les prophètes : Verset 107)