Lors d’un voyage spirituel à Istanbul organisé par l’association Havre De Savoir, le professeur Hassan Iquioussen a tenu à s’adresser aux jeunes participants en leur donnant 3 conseils très précieux.
Le Conseil* a pris connaissance de la décision 155 (4/17) en relation avec ce sujet, émise par le Conseil International du Droit Musulman (al-majma’ al-fiqhi ad-douwali) affilié à l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI) lors de sa 17ème session. Le Conseil confirme cette décision stipulant ce qui suit : « On entend par « citoyenneté » (mouwatana), l’appartenance à un pays particulier, au niveau de l’espace et du contexte, et le fait de porter la nationalité de ce pays. Par les prescriptions immuables de l’islam, on entend : les prescriptions juridiques dogmatiques, pratiques et éthiques énoncées par les textes juridiques catégoriques, ou les prescriptions qui font l’objet du consensus de la communauté musulmane. Ceci comprend ce qui relève de la préservation des cinq nécessités : la préservation de la religion, de la vie, de l’intellect, de la progéniture et de la propriété » « La contribution du musulman dans les pays non-musulmans dans les activités sociales, politiques et…
« Est-ce-que j’ai le droit de ne pas aller en cours pour aller prier al-Joumou’a ? » est la question qui a été posée à cheikh Moncef Zenati lors de la ‘omra Havre De Savoir en décembre 2014. Il est vrai que beaucoup de jeunes étudiants se posent cette question car la prière du Joumou’a est une obligation. Celui qui ne l’accomplit pas sans excuse valable et avec négligence tombe dans un péché, et Allah lui scelle le cœur, conformément au hadith. Seulement, étudier ou travailler dans un pays non-musulman est une excuse valable, puisqu’il est demandé au musulman de s’investir, de s’accomplir et de ne pas rester dans l’oisiveté. Le comportement de ceux qui disent « je ne travaille pas pour pouvoir accomplir mes prières » n’est pas un comportement islamique.
Dix choses, desquelles on ne tire aucun profit, sont inutiles : Une science que l’on ne met pas en pratique ; une œuvre dénuée de toute sincérité et non conforme à la Sunna ; des biens que l’on ne dépense pas, dont le propriétaire ne jouit pas dans ce bas monde et qu’il n’investit pas non plus pour l’au-delà ; un cœur vide de l’amour d’Allah, de l’ardent désir de Le rencontrer et de jouir de Sa compagnie ; un corps incapable d’obéir à Allah et de Le servir ; un amour qui ne se soucie pas de plaire à l’ Etre aimé ou d’obéir à Ses ordres ; du temps que l’on utilise pas dans l’expiation des fautes passées, ou dont on ne profite pas pour accomplir un acte de bien qui rapproche d’Allah ; des pensées qui portent sur des sujets vains ; se mettre au service d’une créature dont le service ne rapproche pas d’Allah et…
Cette vidéo tournée lors de la ‘omra organisée par Havre De Savoir en décembre 2014, est tout simplement MAGNIFIQUE. Il est très rare d’entendre en français l’histoire du grand père du Prophète (saws), à savoir Abd al-Muttalib. Il est important de comprendre la généalogie du Prophète (saws) car nous devons aimer la famille du Prophète (saws) sur laquelle nous prions. D’autant plus que le grand père du Prophète (saws) est celui qui s’est chargé de prendre en charge le Prophète une fois qu’il était orphelin. Abd al-Muttalib est un surnom que l’on a donné au grand père du Prophète (saws), son vrai nom est Chayba Ibn Hashim. Il a une histoire particulière avec le puits de Zam Zam à La Mecque. On vous laisse découvrir cette très belle histoire et cette promesse qu’il a fait si Dieu lui donnait 10 garçons. Une promesse qui s’est réalisée…
Le Prophète (saws) faisait preuve d’une extrême indulgence et aimait voir ce caractère chez les autres. Il dit un jour à un homme du nom de Ashaj ‘Abd al-Qays : « Il y a en toi deux qualités que Dieu aime : « L’indulgence et la patience » »[1]. Zeyd ibn Sa`na, un rabin juif, nous raconte l’histoire de sa conversion à l’islam. Il dit : « J’avais reconnu en Mohammad (saws) tous les signes de la prophétie sauf deux : sa mansuétude devance sa colère, et l’extrême insolence à son encontre ne fait qu’augmenter sa mansuétude. Je voulus alors le connaître de plus près afin de savoir ce qu’il en était.» Zeyd alla voir le Prophète (saws) et lui dit : « Ô Mohammad ! Veux-tu me vendre telle quantité de dattes du jardin d’untel à tel terme ? Il répondit : « Non ! Mais je te vendrai…
Lors d’un Masterclass organisé par l’UOIF et Havre De Savoir à Paris, cheikh Ahmed Jaballah a été interrogé par un enseignant sur la manière de réagir face à la théorie du genre. La théorie du genre existe, personne ne peut le nier. Cheikh Ahmed Jaballah nous explique dans cette vidéo que cette question ne concerne pas uniquement les enseignants musulmans, mais bien l’ensemble des acteurs de la société. Cheikh Ahmed Jaballah incite donc les musulmans à s’impliquer d’avantage dans le domaine de l’éducation, surtout dans les associations de parents d’élèves, afin de suivre de très près ce qui se passe dans nos écoles. Car il est de notre responsabilité de ne pas se focaliser uniquement sur la théorie du genre mais de se mobiliser pour la préservation de toutes les valeurs morales et éthiques. La théorie du genre et d’autres théories, notamment sur la création de l’homme, sont autant de…
Après avoir étudié les recherches présentées à ce sujet, le Conseil est parvenu à la décision suivante : Premièrement : l’objectif de la participation politique est la préservation des droits et des libertés, et la défense des valeurs morales et spirituelles, de la présence musulmane dans ce pays et des intérêts légitimes des musulmans. Deuxièmement : le principe est la permission de la participation politique des musulmans en Europe. Elle est soit licite « moubah », soit recommandée (mandoub), soit obligatoire (woujoub). Ceci est prouvé par le verset : « Entraidez-vous dans l’accomplissement des bonnes œuvres et de la piété et ne vous entraidez pas dans le péché et dans la transgression » (5 :2). Ceci est également une exigence de la citoyenneté. Troisièmement : la participation politique englobe le fait de s’inscrire dans les institutions de la société civile, de rejoindre des formations politiques, de former des tendances et de participer aux élections en votant ou en se présentant. Quatrièmement :…







