Je n’aime pas Nicolas Sarkozy car tout d’abord il a ravivé les blessures, élargi les fissures, creusé davantage de fossés, fragilisant l’édifice sur lequel reposent les valeurs de la fraternité. Je n’aime pas Nicolas Sarkozy, car en libérant les discours raciste et xénophobe, il a donné la force aux vieux démons de notre pays de briser toutes les chaînes qui les retenaient à l’ombre de la honte depuis les horreurs de la Seconde guerre.Je n’aime pas Nicolas Sarkozy car il a fait croire que les pauvres étaient des coupables, et qu’ils sont même responsables non seulement de leur misère, mais également de la misère de toute la France. Je n’aime pas Nicolas Sarkozy car il n’aime pas les gens modestes comme moi qui demandent juste droit à la dignité, au respect, en somme, à la vie. En fait, je n’aime pas ce fils d’immigré qui a horreur des autres fils…
A travers cette vidéo, nous proposons une étude objective et complète sur le caractère légal ou non de la musique. Cheikh Moncef Zenati aborde cette étude en plusieurs étapes : il commence par rappeler les règles juridiques permettant d’établir une interdiction de manière générale, ainsi cela nous servira de base pour analyser les arguments concernant la musique. Il aborde ensuite les arguments dans le Coran que certains utilisent pour interdire la musique. Ensuite, il procède de la même manière concernant la sunna en analysant les hadiths et surtout leurs chaines de transmission. Dans une quatrième étape, il présente les pieux prédécesseurs (Salafs) qui écoutaient de la musique et qui le permettaient. Puis il termine en énonçant les conditions qui encadrent la licité de la musique.
« Je ne sais pas trop comment ça va être pris, car tout le monde n’est pas forcément au courant. » Maxence Buttey se doute que son annonce ne va pas passer inaperçue : le jeune homme vient de se convertir à la religion musulmane. Un choix qui ne regarde pas le grand public… mais peut être ses électeurs car, à 22 ans, il est conseiller municipal Front national à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis). « J’ai découvert cette religion grâce à un camarade, sur les bancs de la fac de médecine, à 19 ans, raconte-t-il. Nous avons beaucoup parlé, et j’ai été amené à m’interroger. J’étais catholique mais, en relisant la Bible, je me suis aperçu de toutes les incohérences. En lisant le Coran de manière approfondie, j’ai compris que cette religion est plus ouverte. » Il rate le concours d’entrée en médecine et s’oriente vers un BTS de gestion qui ne l’intéresse pas, avant de tout plaquer pour faire…
Dans des moments de faiblesse, lorsque le musulman est atteint d’un mal, il peut lui arriver d’oublier sa place. Il devient alors ingrat envers son Créateur. « Pourquoi Allah m’a fait ça ? » est la parole qui revient lorsque le musulman qui oublie son rang est touché par l’épreuve. À celui ou celle qui tient ce discours, il faut être pédagogue et lui rappeler que l’univers tout entier appartient à Allah le Majestueux. Allah peut-il se montrer injuste lorsqu’il éprouve Son serviteur ? Allah est-il injuste lorsqu’il reprend l’âme d’un être proche ? Bien évidemment, non ! Tout ce qui est sur terre et dans les cieux appartient à Allah. Il ne peut se montrer injuste puisqu’Il dispose de ce qui Lui appartient comme bon lui semble. Telle est la volonté de notre Seigneur. Aussi, lorsqu’on est confronté à ce genre de situations, il faut faire preuve d’intelligence, et plutôt que de…
On a beaucoup et longtemps parlé de la question de la résidence du musulman en dehors des pays musulmans. Nous avons, par ailleurs, entendu des avis caractérisés par un rigorisme absolu, imposant à tout musulman vivant dans un pays non-musulman, de le quitter immédiatement conformément à un hadith qu’on rapporte à ce sujet dans lequel le Prophète (saws) dégage sa responsabilité de tout musulman résidant parmi les idolâtres. Ces avis ont suscité une gêne chez beaucoup de musulmans. Ce que nous pensons, c’est que ce sujet mérite une réponse détaillée. Sans aucun doute, il n’est pas permis au musulman de vivre parmi les non-musulmans sans son identité musulmane, sauf pour quelqu’un qui ne peut pas faire autrement. La raison étant la possibilité ou l’impossibilité pour le musulman de préserver sa vie et sa religion ainsi que la vie et la religion de ceux dont il a la charge, à l’instar…
Aichouche Sahnoune, étudiante à l’IESH (Institut Européen de Sciences Humaines), obtient la mention très bien pour ses travaux sur le Waqf islamique. Ce Lundi 20 octobre a eu lieu au sein de l’IESH la soutenance de fin d’études supérieurs approfondies en théologie musulmane (bac+5) de Mme ‘Aichouche Sahnoune. Son sujet d’étude portait sur “Le Waqf islamique et l’action de bienfaisance en France” (الوقف الاسلامي والواقع الخير ي في فرنسا), et fut présenté face au Jury composé de Cheikh Ahmed Jaballah, doyen de l’IESH, Dr. Bechri Larbi, directeur de projet, et Dr. Khadmi Nourdine. Nous avons assisté à une présentation brillante d’une étude du contexte français en matière de bienfaisance, d’une étude exhaustive des caractéristiques de la jurisprudence du Waqf, et d’une projection sur l’application du Waqf en France. Ses conclusions sont les suivantes : “Le système de Waqf est utile pour prendre en charge les ambitions et les attentes de la communauté musulmane en France.…
« O Prophète ! Nous t’avons envoyé pour être témoin, annonciateur, avertisseur, appelant à Allah, par Sa permission; et comme une lampe éclairante » (Sourate 33, Versets 45-46). La da’wa (prédication) est une mission qui incombe à chaque musulman, à l’instar du Messager de Dieu Mohamed saws, et de tous les Prophètes. Cheikh Moncef Zenati nous explique ici pourquoi la da’wa constitue un des piliers de l’islam. Elle n’est ni un choix, ni une option, elle est en réalité un engagement obligatoire. Le musulman ne doit pas s’isoler et a pour obligation de se confronter aux autres. Tout d’abord pour faire da’wa, mais aussi pour se réformer et devenir meilleur, car c’est au contact des autres que l’on prend conscience de ses propres défauts et manquements. Le sujet abordé dans cette vidéo est donc primordial pour tout croyant qui désire s’améliorer, se purifier et comprendre le réel sens de son engagement.
Des meurtres passés sous silence Nous sommes le 17 octobre 1961, alors que la guerre d’Algérie est en train de se terminer dans la douleur, les Algériens et les sympathisants de leur cause sont invités à manifester dans le calme à Paris, pour revendiquer l’arrêt de la guerre, l’autodétermination du peuple algérien et la levée du couvre-feu imposé aux Algériens de Paris, en vigueur depuis le 5 octobre de la même année. Les manifestants étaient environs 50.000 dans les rues de Paris à manifester pacifiquement. Ces milliers d’hommes et femmes sont alors pris pour cibles par les fonctionnaires de police, dirigés par Maurice Papon, Préfet de police depuis mars 1958. Le bilan fut très lourd,11.730 arrestations et plus de 300 morts, exécutés de sang-froid et lâchement jetés dans les eaux glacés de la Seine. Longtemps passé sous silence, il faudra attendre le 20 mai 1998 pour que le sujet soit abordé au grand public. Jean-Luc Einaudi, écrit alors dans le journal «…







