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Durant sa vie, le Prophète (BDSL) était la référence de tout musulman désireux de connaître les prescriptions juridiques, quelles soient tirées du Coran ou de sa tradition (Sunna) qui englobe ses actes, ses dires et ses approbations.

Lorsque les compagnons n’étaient pas en compagnie du Prophète (BDSL), ils appliquaient leurs propres ijtihads dans la limite de leurs connaissances des prescriptions juridiques et des principes généraux de l’islam.

Tous les musulmans s’accordent à considérer le Coran et la Sunna comme étant les deux sources scripturaires principales et fondamentales pour connaître les prescriptions de l’islam.
Ils divergent, cependant, sur la légitimité juridique d’autres sources tels que le consensus « al’ijma’ », le raisonnement par analogie « al-qiyas », l’intérêt général indéterminé « al-maslaha al-moursala », l’usage ou la norme sociale « al-urf » …

Par Hassan SAFOUI

Le récit coranique est une source intarissable de leçons livrées à l’humanité, et le portrait qu’il nous dresse de la personnalité du Pharaon est riche, et d’actualité si l’on essaye de le croiser avec les agissements de despotes contemporains qui sévissent encore ou qui sont en pleine déchéance. Le Coran nous apprend :

La conversion d’Abû Bakr renforça considérablement les fondements de la nouvelle religion. Sa forte adhésion au Message de l’islam le poussa à défendre, non seulement le Prophète, mais aussi les opprimés et les persécutés parmi les nouveaux musulmans. Ainsi, racheta-t-il sur ses propres deniers la liberté de sept esclaves convertis à l’islam, dont Bilâl Ibn Rabâh et `Âmir Ibn Fuhayrah, afin de les sauver de la ferrule de leurs maîtres.

Le jeune Ja`far et son épouse étaient de fidèles adorateurs de Dieu, dévoués à l’islam. Ils endurèrent les terribles traitements et la persécution de Quraysh avec patience et persistance car ils savaient tous deux que le chemin de paradis était jonché d’épines et parsemé de douleurs et d’épreuves…

A l’approche de l’élection présidentielle, il n’est plus étonnant de voir que les discours – devrait-on dire les dérapages ? – stigmatisant les musulmans de France se fassent entendre. Cela n’en est pas moins lamentable.

Le ton a été donné par Marine Le Pen, qui, en décembre 2010, dénonçait le fait que certaines rues soient « occupées » par des musulmans pour la prière du vendredi. Mais cette attitude n’est nullement le monopole de l’extrême droite…

L’Imâm Mâlik L’Imâm de Médine lundi 24 novembre 2003 Introduction L’école malékite est l’une des quatre écoles juridiques [1] les plus répandues dans le monde musulman depuis le deuxième et le troisième siècle hégirien. Cette école, ou madhhab, doit son nom à l’illustre savant, le grand juriste, l’Imâm de Médine, Mâlik Ibn Anas, que Dieu l’agrée. Celui-ci occupa une place saillante parmi les juristes musulmans, excella dans la ville qui reçut la science et la bénédiction du Prophète, et porta le flambeau des sept célèbres juristes médinois : Abû Bakr Ibn `Abd Ar-Rahmân Ibn Al-Hârith Ibn Hishâm, Qâsim Ibn Muhammad Ibn Abî Bakr As-Siddîq, `Urwah Ibn Az-Zubayr Ibn Al-`Awwâm, Sa`îd Ibn Al-Musayyab, Sulaymân Ibn Yasâr, Khârijah Ibn Zayd et `Ubayd Allâh Ibn `Abd Allâh Ibn `Utbah Ibn Mas`ûd. L’époque de l’Imâm Mâlik L’Imâm Mâlik naquit à la fin du premier siècle hégirien et son âme retourna à Dieu environ vingt…