La Sunna du Prophète (saws) n’est pas une voie contraignante et difficile. Au contraire, elle est venue apporter souplesse et facilité aux musulmans. A l’image du Prophète (saws) qui incitait ses compagnons à alléger la prière en commun lorsque ces derniers dirigeaient la prière. Le Prophète (saws) ne faisait pas culpabiliser les gens et chercher constamment à faciliter son entourage. Aussi, lorsque deux choses licites se présentaient face à lui et qu’il devait faire un choix, le Prophète (saws) choisissait toujours la plus facile. Le Prophète (saws) incarnait donc ce caractère souple et humaniste. Beaucoup aujourd’hui, qui se revendiquent de cette voie, agissent de manière contradictoire à la sunna, la rendant contraignante et compliquée. La sunna est un choix de vie équilibré, gare à nous de tomber dans les extrêmes.
Les grands hommes se distinguent dans différents domaines à travers lesquels apparaît leur grandeur et se manifestent leur sublimité et leur suprématie : Il y a les grands de la science, les grands de la guerre, les grands de la charité, les grands de la philosophie, et bien d’autres domaines qui sont des sources de la grandeur. La grandeur des grands hommes quelque soit l’origine de cette grandeur est fondée sur des éléments qui en sont les causes tout comme le tronc de l’arbre pousse sur les racines. Le niveau de la grandeur, son ampleur et sa pérennité sont en fonction de la force contenue dans les fondements et les sources de même que la force du tronc ainsi que sa grandeur et sa capacité de résister face aux vents et les intempéries sont en fonction de la capacité des ses racines à le nourrir et à le stabiliser. Et si…
Les musulmans célèbrent deux fêtes religieuses dans l’année : « ‘Aïd à al-fitr » (la fête de la rupture du jeûne annonçant la fin du mois de Ramadan) et « ‘Aïd al-adha » (la fête du sacrifice en commémoration du sacrifice du Prophète Ibrahim, que la Paix de Dieu soit sur lui). S’il y a deux fêtes en islam, cela ne veut pas dire que le musulman n’a le droit de célébrer aucun autre événement dans l’année. Bien évidemment, il n’y a rien de cultuel à fêter Al Mawlid, c’est à dire la naissance du Prophète (saws). Bien qu’il existe une divergence sur le fait que le Prophète (saws) soit né le 12 Rabi’a al Awal, il n’en demeure pas moins que le musulman peut saisir cette occasion pour réunir ses proches et discuter autour du Prophète (saws). Toutes les occasions pour parler du Prophète (saws), le connaitre et l’aimer,…
Fait peu connu, Winston Churchill était un fervent admirateur de l’islam et la culture orientale. A tel point que ses parents « craignaient qu’il puisse se convertir ». Winston Churchill était-il à deux doigts de se convertir à l’islam ? C’est en tout cas ce que craignait sa future belle-sœur, selon une lettre écrite en 1907 découverte récemment, rapporte le quotidien britannique le « Telegraph ». Dans cette lettre, dépoussiérée par Warren Dockter, un chercheur en histoire de l’Université de Cambridge, Lady Gwendoline Bertie supplie le futur Premier ministre britannique : « S’il vous plaît, ne vous convertissez pas à l’islam; J’ai remarqué votre tendance à l’orientalisme [fascination pour l’Orient et l’Islam], un peu comme un pacha. » Comme le note le « Telegraph », ces révélations peuvent être perçues « comme une surprise ». Car, fait peu connu, Winston Churchill était un fervent admirateur de l’islam et la culture orientale. A tel point que ces parents « craignaient qu’il puisse se convertir ». La lettre a…
Allah le Très Haut dit dans Son Livre : « C’est ainsi que nous fîmes de vous une communauté du juste milieu afin que vous soyez modèles/témoins aux gens, tout comme le Prophète vous est modèle/témoin » [2;143]. Il nous appelle donc, Exalté soit-Il, à devenir une communauté-modèle et guide, dans le fond comme dans la forme, dans les sentiments, le caractère, l’éthique, les paroles et les actes ; cela, afin d’indiquer et d’éclairer le droit chemin, tout comme l’a fait pour nous, notre Prophète, Mohammad (paix et salut sur lui) notre modèle et notre guide. Le souci de guider autrui à ce que Dieu aime, après s’être soi-même engagé dans la bonne voie, est l’un des soucis majeurs des bons serviteurs du Très Haut, comme l’affirme Sa Parole : « Les serviteurs du Miséricordieux sont ceux qui marchent humblement sur Terre (…) et [ils disent] fais que nous soyons nous-mêmes une source de guidée pour les pieux » [25;74]. Aussi, notre communauté…
Alors que certains résistent pour défendre la légitimé et sacrifient leurs vies pour faire respecter la volonté du peuple exprimée par les urnes, d’autres installés confortablement chez eux rejettent farouchement le concept de la démocratie. La démocratie contredirait à leurs yeux les enseignements de l’islam. La démocratie est assimilée au « kufr », elle serait même contradictoire avec le « tawhid ». La démocratie est une idole, le « taghut » ! Ils jettent l’anathème sur quiconque appellerait à la démocratie. Pour se justifier, ils avancent que la démocratie signifie que le pouvoir est au peuple, or en islam, le pouvoir appartient à Dieu et « le jugement n’appartient qu’à Dieu » (6 :57). De plus, la démocratie est un système importé de l’occident mécréant, or, il nous est interdit d’importer un système inventé par les « kuffars ». Cheikh Moncef Zenati prend donc le temps de redéfinir ce qu’est…
Un poison fait des dégâts au sein de notre communauté, il s’agit de la cigarette. Apparue sous l’empire Ottoman, elle s’est répandue comme une traînée de poudre dans les pays musulmans. Aujourd’hui, des milliers de personnes meurent chaque année à cause de ce poison. Au delà des dangers pour la santé, fumer une cigarette revient tout simplement à gaspiller son argent. Au lieu de nourrir l’orphelin et d’aider les nécessiteux, certains musulmans préfèrent acheter cette drogue criminelle. Une drogue entretenue par les lobbys de l’industrie du tabac, qui font des milliards de bénéfices annuels sur le dos des fumeurs.







