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Elles sont divisées en deux catégories Concernant l’individu : il doit être musulman  1- Les savants s’accordent, d’un avis consensuel, sur le fait que la zakat est une obligation pour chaque musulman pubère et responsable (jouissant de sa raison). Elle n’est pas obligatoire en ce qui concerne le non-musulman car elle constitue l’un des éléments constitutifs de l’islam et conformément aux propos de Messager de Dieu saws adressés à Mou’adh ibn Jabal radio lorsqu’il l’envoya au Yémen : « informe les que Dieu leur a prescrit une aumône relative à leurs biens, prélevée de leurs riches et redistribuée à leurs pauvres… » (rapporté par al Boukhari et Mouslim). Il s’agit donc d’une obligation qu’on ne peut exiger des gens qu’après conversion à l’islam. Bien que la zakat soit une charge sociale dont bénéficie l’ensemble de la société, elle est également un acte d’adoration. L’islam a donc fait primer le sens de l’adoration,…

Les cercles de la religion ‘Omar (rad) dit : « Alors que nous étions assis auprès du Messager de Dieu (saws), voici qu’apparut à nous un homme aux habits d’une vive blancheur et aux cheveux d’une noirceur intense, sans trace visible sur lui de voyage et personne parmi nous ne le connaissait. Il vint s’asseoir en face du Prophète (saws), plaça ses genoux contre les siens, posa les paumes de ses mains sur les deux cuisses du Prophète (saws) et lui dit : « Ô Mohammad ! Informe-moi au sujet de l’islam. Le Messager de Dieu dit : « L’islam consiste à ce que tu attestes qu’il n’est de dieu que Dieu et que Mohammad est le Messager de Dieu, accomplisses la Prière, t’acquittes de la zakat, jeûnes le mois de Ramadan et te rendes à la Maison sacrée pour y accomplir le Pèlerinage si tu en as les moyens » « Tu dis vrai ! » dit l’homme. Nous fûmes pris d’étonnement : il…

Au Nom de Dieu Le Clément Le Tout Miséricordieux A l’occasion de la nouvelle année hégirienne 1436, Dar el Fatwa tient à exprimer ses meilleurs vœux aux musulmans de France, d’Europe et du monde entier en souhaitant que cet événement soit accompagné de beaucoup de bonheur et de bénédiction pour notre communauté. Puisse Dieu nous le faire revivre dans la joie, la paix et la sécurité. La Zakat, qui constitue le sujet de notre propos ici, est un des cinq piliers fondamentaux de l’Islam, il s’agit d’un devoir incombant à tout musulman remplissant les conditions, qui devra par conséquent en verser le montant à ceux qui ont le droit d’en bénéficier. Le Saint Coran mentionne à plusieurs reprises la Zakat à travers ses versets parmi lesquels : « Ceux qui ont la foi, qui ont fait de bonnes œuvres, qui ont accompli la Salat et se sont acquittés de la Zakat, auront…

La da’wa est-elle dépendante de la science ? Faut-il se former et emmagasiner beaucoup de savoir avant de le transmettre aux autres ? En somme, la da’wa est-elle réservée aux savants ? Cheikh Moncef Zenati nous explique dans cette vidéo que le prédicateur en islam ne doit-pas être forcement un savant pour faire de la da’wa. Certes, le Prophète saws nous incite à le faire avec clairvoyance, mais chaque musulman qui possède un savoir, aussi minime soit-il, doit le transmettre. Pour résumer, le prédicateur a pour obligation de transmettre en fonction de ses connaissances et de son niveau. « Et qui profère plus belles paroles que celui qui appelle à Dieu, fait bonne oeuvre et dit : « Je suis du nombre des musulmans » »(Sourate 41, Verset 33).

A travers cette vidéo, nous proposons une étude objective et complète sur le caractère légal ou non de la musique. Cheikh Moncef Zenati aborde cette étude en plusieurs étapes : il commence par rappeler les règles juridiques permettant d’établir une interdiction de manière générale, ainsi cela nous servira de base pour analyser les arguments concernant la musique. Il aborde ensuite les arguments dans le Coran que certains utilisent pour interdire la musique. Ensuite, il procède de la même manière concernant la sunna en analysant les hadiths et surtout leurs chaines de transmission. Dans une quatrième étape, il présente les pieux prédécesseurs (Salafs) qui écoutaient de la musique et qui le permettaient. Puis il termine en énonçant les conditions qui encadrent la licité de la musique.

« Je ne sais pas trop comment ça va être pris, car tout le monde n’est pas forcément au courant. » Maxence Buttey se doute que son annonce ne va pas passer inaperçue : le jeune homme vient de se convertir à la religion musulmane. Un choix qui ne regarde pas le grand public… mais peut être ses électeurs car, à 22 ans, il est conseiller municipal Front national à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis). « J’ai découvert cette religion grâce à un camarade, sur les bancs de la fac de médecine, à 19 ans, raconte-t-il. Nous avons beaucoup parlé, et j’ai été amené à m’interroger. J’étais catholique mais, en relisant la Bible, je me suis aperçu de toutes les incohérences. En lisant le Coran de manière approfondie, j’ai compris que cette religion est plus ouverte. » Il rate le concours d’entrée en médecine et s’oriente vers un BTS de gestion qui ne l’intéresse pas, avant de tout plaquer pour faire…

On a beaucoup et longtemps parlé de la question de la résidence du musulman en dehors des pays musulmans. Nous avons, par ailleurs, entendu des avis caractérisés par un rigorisme absolu, imposant à tout musulman vivant dans un pays non-musulman, de le quitter immédiatement conformément à un hadith qu’on rapporte à ce sujet dans lequel le Prophète (saws) dégage sa responsabilité de tout musulman résidant parmi les idolâtres. Ces avis ont suscité une gêne chez beaucoup de musulmans. Ce que nous pensons, c’est que ce sujet mérite une réponse détaillée. Sans aucun doute, il n’est pas permis au musulman de vivre parmi les non-musulmans sans son identité musulmane, sauf pour quelqu’un qui ne peut pas faire autrement. La raison étant la possibilité ou l’impossibilité pour le musulman de préserver sa vie et sa religion ainsi que la vie et la religion de ceux dont il a la charge, à l’instar…

Aichouche Sahnoune, étudiante à l’IESH (Institut Européen de Sciences Humaines), obtient la mention très bien pour ses travaux sur le Waqf islamique. Ce Lundi 20 octobre a eu lieu au sein de l’IESH la soutenance de fin d’études supérieurs approfondies en théologie musulmane (bac+5) de Mme ‘Aichouche Sahnoune. Son sujet d’étude portait sur “Le Waqf islamique et l’action de bienfaisance en France” (الوقف الاسلامي والواقع الخير ي في فرنسا), et fut présenté face au Jury composé de Cheikh Ahmed Jaballah, doyen de l’IESH, Dr. Bechri Larbi, directeur de projet, et Dr. Khadmi Nourdine. Nous avons assisté à une présentation brillante d’une étude du contexte français en matière de bienfaisance, d’une étude exhaustive des caractéristiques de la jurisprudence du Waqf, et d’une projection sur l’application du Waqf en France. Ses conclusions sont les suivantes : “Le système de Waqf est utile pour prendre en charge les ambitions et les attentes de la communauté musulmane en France.…