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Méditez cette expression « … qui craint ou redoute le Miséricordieux », Dieu n’a pas dit « qui redoute le dominateur suprême (al-qahhar) » ou « qui craint le Tout Puissant (al-jabbar) », il dit plutôt « quiconque craint le Tout Miséricordieux ».

L’imam Abou Hamid al-Ghazali dit : « Dieu a voulu par là susciter le sentiment de crainte accompagné d’un sentiment de sécurité, Il a voulu susciter une réaction dans l’apaisement. Ainsi, Il na pas voulu associer la crainte aux noms évoquant Sa majesté et Sa grandeur, mais plutôt aux noms évoquant sa beauté et Sa bonté »

              La religion musulmane nous à enseigné que Dieu, Exalté, est Un dans son essence et dans Ses actes et qu’ Il est infiniment supérieur aux êtres créés ; elle a établi la preuve que le monde a un Créateur et que ce Créateur possède les attributs sublimes dont Sa création porte la marque tels que la science, la puissance, la volonté, etc…; qu’ Il ne ressemble en rien à ses créatures et que le seul rapport entre Lui et elles c’est qu’elles existent par Lui, qu’elle Lui appartiennent et qu’elles reviendront à Lui. «Dis : Il est le Dieu unique, le Dieu qu’implorent tous ceux qui sont dans le besoin, Il n’a engendré et Il n’a pas été engendré. Il n’a pas d’égal.» (Coran S112, V 1,2,3,4).           Quand aux expressions « son visage», «ses mains», «son ascension au trône » et d’autres semblables, les Arabes auxquels s’adressait…

L’Islam comprend des enseignements qu’il peut être utile de soumettre à tous ceux qui défendent la dignité des animaux. Le Coran affirme ainsi : « Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communautés. » (Coran, 6,38). Cela signifie que les espèces animales bénéficient du statut de créa- ture, tout comme les êtres humains.

Le Prophète Muhammad lui-même s’est exprimé très clairement sur ce thème en de nombreuses occasions. Il dit un jour (…) lire la suite

La réforme des sociétés ne peut se produire qu’en fonction de la réforme des indivi- dus, de même que l’édifice ne peut s’élever qu’en s’appuyant sur des pierres saines. L’individu est pour la société ce que la pierre est pour l’édifice. Mais l’individu ne peut se réformer sans réformer son âme. L’âme est donc la base de la réforme et de la bonté humaine, et c’est pour cette raison que nous poursuivons nos discours sur la purification de l’âme.

L’être doit œuvrer pour la purification de son âme, pour l’épuration de son cœur …

Un imâm, un savant doit être un homme de son époque vient-on de souligner dans l’article précédent ; on ne peut évaluer la pertinence ou l’impertinence d’un Ibn Tay- miyyah, par exemple, sans l’avoir replacé dans son environnement social, culturel, religieux, et parfois même économique. C’est dire qu’il est urgent que les « sciences humaines » prennent leur place centrale dans l’enseignement des sciences dites « re- ligieuses » parfois transmises en toute déconnexion de leur environnement.

Le changement de contexte : islam occidental, européen, américain, nécessite …

La satisfaction consiste à ressentir un profond contentement de ce que Dieu a choisi pour toi ; à être pleinement satisfait de ce que Dieu t’octroie comme subsistance, situation ou action.

Ce contentement ne contredit en rien l’ambition. A contraire, aspirer à une vie meilleu- re ; œuvrer pour améliorer ta condition de vie est demandée. Ce qu’on entend ici par la satisfaction « ar-rida » est exprimé est exprimé par Ibn ‘Ata qui dit : «Garde-toi …

Une des raisons de l’expansion de l’islam au moyen âge, peu soulignée, outre la sim- plicité de la foi, tient au contenu du message lui-même : l’égalité proposée entre ho- mmes et femmes, la suppression des hiérarchies sociales, raciales (un arabe est égal à un chinois ou un noir dans les principes, même si c’était beaucoup plus compliqué à mettre en œuvre), la place des orphelins, l’importance de la zakat, la justice, etc.

Ces idées ne pouvaient que séduire des masses de populations qui croupissaient sous des régimes où les lois des plus forts s’imposaient aux plus faibles.

Dans la mesure où tu es contraint, apprécie! C’est ce que je disais à un jeune homme qui souffrait du diabète: il buvait du thé sans sucre et se lamentait sur son sort.

Je lui demandai: « Si tu t’affliges et que tu t’attristes en buvant ton thé…l’amertume se transformera-t-elle en douceur? »

« Non », répondit-il… Je dis: « Dans la mesure où tu es contraint, apprécie! » Je veux dire que la vie n’apporte pas toujours ce que nous aimons. Cela se produit souvent …