Cette vidéo tournée lors de la ‘omra organisée par Havre De Savoir en décembre 2014, est tout simplement MAGNIFIQUE. Il est très rare d’entendre en français l’histoire du grand père du Prophète (saws), à savoir Abd al-Muttalib. Il est important de comprendre la généalogie du Prophète (saws) car nous devons aimer la famille du Prophète (saws) sur laquelle nous prions. D’autant plus que le grand père du Prophète (saws) est celui qui s’est chargé de prendre en charge le Prophète une fois qu’il était orphelin. Abd al-Muttalib est un surnom que l’on a donné au grand père du Prophète (saws), son vrai nom est Chayba Ibn Hashim. Il a une histoire particulière avec le puits de Zam Zam à La Mecque. On vous laisse découvrir cette très belle histoire et cette promesse qu’il a fait si Dieu lui donnait 10 garçons. Une promesse qui s’est réalisée…
Le Prophète (saws) faisait preuve d’une extrême indulgence et aimait voir ce caractère chez les autres. Il dit un jour à un homme du nom de Ashaj ‘Abd al-Qays : « Il y a en toi deux qualités que Dieu aime : « L’indulgence et la patience » »[1]. Zeyd ibn Sa`na, un rabin juif, nous raconte l’histoire de sa conversion à l’islam. Il dit : « J’avais reconnu en Mohammad (saws) tous les signes de la prophétie sauf deux : sa mansuétude devance sa colère, et l’extrême insolence à son encontre ne fait qu’augmenter sa mansuétude. Je voulus alors le connaître de plus près afin de savoir ce qu’il en était.» Zeyd alla voir le Prophète (saws) et lui dit : « Ô Mohammad ! Veux-tu me vendre telle quantité de dattes du jardin d’untel à tel terme ? Il répondit : « Non ! Mais je te vendrai…
Moment émouvant sur ce lieu historique, près duquel sont enterrés des grands compagnons tels que l’oncle du Prophète (saws), Hamza ibn Abd al-Muttalib, qu’Allah l’Agrée. Cheikh Moncef Zenati nous livre ici un récit sur la bataille de Uhud, célèbre bataille qui a coûté la défaite aux musulmans. Une défaite riche en enseignements, puisqu’on peut en tirer de belles leçons. A l’image du très jeune compagnon Abou Said al-Khoudri, qui s’est vu confier la mission de veiller sur Médine en l’absence du Prophète (saws), alors qu’il n’était encore qu’un jeune enfant. Découvrez donc toutes les histoires de cette bataille, que le Prophète (saws) a appelée « le jour de Talha »…
La miséricorde Habituellement, les cœurs des hommes qui ont mené des guerres et dirigé des peuples s’endurcissent et leurs larmes s’assèchent. Ils sont rarement caractérisés par la miséricorde, mais le Prophète (saws) et ceux qui l’ont pris comme exemple ne sont pas de ce genre. Quel que soit le degré de force, de fermeté et de patience qui les caractérise, ces caractéristiques ne sauraient jamais prendre le dessus sur la miséricorde. De même que le Prophète (saws) était caractérisé par perfection de la patience, il était imprégné par la miséricorde dans sa perfection. Dans le chapitre précédent[1], nous avons pu le voir verser des larmes dans plusieurs situations exprimant ainsi sa miséricorde et sa compassion. Son cœur débordait de miséricorde au point de pleurer et de verser des larmes. Il arrivait aussi parfois qu’on entende ses pleurs. Mohammad (saws) était une âme débordante de miséricorde. « Et Nous ne t’avons…
Au même titre qu’il existe des écoles de Fiqh (jurisprudence islamique), il existe également des écoles dans la foi musulmane. La doctrine Ash’rite fait partie des doctrines reconnues de l’Orthodoxie Sunnite. Elle est très répandue dans le monde musulman. L’immense majorité des savants musulmans sont de cette école notamment l’imam al-Jouwayni, l’imam an-Nawawi, Abd al-Qahir al-Baghdadi, l’imam Abu Hamid al-Ghazali, et tant d’autres. Elle est la doctrine adoptée par les malikites, les shafi’ites et les hanbalites (jusqu’à l’arrivée d’Ibn Taymiya au septième siècle de l’Hégire). Son fondateur Abou Hassan al-Ash’ari est né à Bassora (en Irak) en 260 de l’Hégire. Il passa son enfance dans sa Bassora natale avant de poursuivre ses études à Bagdad. Les Ash’arites sont les premiers que l’on surnommera Ahl Sunna Wal Jamaa. Abou Hassan défendra et rétablira l’orthodoxie sunnite face aux excès de la doctrine mou’tazilite. Cheikh Moncef Zenati donne dans cette vidéo un cours…
Il n’est pas rare, de nos jours, qu’accomplissement de soi rime avec échec d’autrui et le vieil adage » le malheur des uns fait le bonheur des autres » n’est pas pour infirmer ce constat. Nous pourrions nuancer le propos en émettant l’hypothèse qu’il ne serait que le corollaire de la politique élitiste de notre société, où l’on vous apprend dès votre cursus scolaire, et ainsi votre plus jeune âge, à vous battre pour faire votre place en vous insufflant l’intime conviction qu’il n’y a pas, ici, de place pour les faibles. De ce fait, l’entraide perd du terrain, et nos collaborations professionnelles ressemblent bientôt à une prépa médecine. Chacun pour sa peau et advienne que pourra. Bien qu’elle soit regrettable, concédons-lui une certaine légitimité. Après tout, réussite professionnelle est mère de confort en besoins primaires, et pourrait donc justifier une certaine détermination dans la compétition. Ceci étant dit, il…
Comme chacun le sait, le Prophète Muhammad (saws) est l’objet de nombreuses critiques, à l’instar des caricatures malsaines qui portent atteinte à son intégrité, et dévoilent l’image d’un homme à l’opposé à ce qu’il était vraiment, c’est à dire un homme d’une moralité exemplaire. Face à toutes ces attaques, il est important de garder son calme et de réagir avec la meilleure attitude possible. Il ne faut pas céder à l’émotion en réagissant de manière disproportionnée car c’est exactement la réaction que les détracteurs de l’islam attendent de notre part. Il est préférable de prendre du recul et d’adopter une réaction intelligente. Il faut par exemple multiplier les rencontres autour du Prophète (saws), et présenter son œuvre par tous les moyens possibles. Il est grand temps de montrer au monde qui est réellement le Prophète (saws), et surtout de le prendre réellement comme modèle au quotidien, de manière intelligente en…
An-Nou’man ibn Bashir (rad) dit : « J’ai entendu le Messager de Dieu (saws) dire : « Le licite est évident. L’illicite est évident. Entre les deux il est des choses qui suscitent le doute et que beaucoup de gens ne connaissent pas. Aussi, celui qui se garde des choses douteuses, a-t-il préservé, par la même, sa religion et son honneur. Et quiconque s’aventure dans les choses douteuses finit par commettre l’illicite. Tel le berger qui fait pâturer ses bêtes autour d’un enclos risquant d’y pénétrer. Or, tout souverain possède un domaine inviolable. Le domaine inviolable de Dieu correspond à ses interdits. Il y a certainement dans le corps un morceau de chair qui, s’il est sain, rend tout le corps sain ; mais, s’il est corrompu, tout le corps devient corrompu. Il s’agit du cœur » (rapporté par al-Boukhari et Mouslim). Commentaire : Ce hadith constitue l’un des fondements de la législation musulmane. Abou Daoud as-Sajistani dit : « L’islam tourne…







