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Prophète

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L’illettrisme de notre bien aimé prophète (sws) fut une barrière aux détracteurs qui tenteraient d’imputer la révélation du saint Coran à son imagination. Au dela de cette fonction, il s’agit d’une volonté divine de donner à cet illettrisme un sens profond. À travers cette courte vidéo, Sofiane Meziani nous invite à réfléchir sur la dimension symbolique de cette caractéristique de ce qu’il nomme « la virginité intellectuelle ». Il émet également la différence entre connaissance livresque et profondeur de la compréhension.

Le comportement présente une limite supérieure. Lorsqu’elle est dépassée, il devient outrage. Il présente également une limite inférieure. Si cette limite n’est pas atteinte, le comportement devient faiblesse et bassesse.

Ainsi, la colère présente une limite : il s’agit du courage digne d’éloges, et le refus de s’abaisser à l’infamie et à la vilenie. Voilà la forme la plus parfaite de colère. Si elle dépasse cette limite, la colère devient transgression et oppression. Si elle ne l’atteint pas, elle n’est que lâcheté, et elle n’empêche pas de sombrer dans l’infamie…

Sa lignée et sa naissance Al-Hasan Ibn Abî Al-Hasan Yasâr Abû Sa`îd Al-Basrî, l’Imâm de Bassora, l’emblème de la piété, le modèle des soufis, naquit en 21 A.H. à Médine, sous le califat de `Umar Ibn Al-Khattâb. Son père était un esclave affranchi de Zayd Ibn Thâbit, et sa mère une esclave affranchie de la Mère des Croyants, Umm Salamah. Lorsque sa mère s’absentait pour accomplir une tâche qu’Umm Salamah lui avait demandée, Al-Hasan pleurait ; Umm Salamah le portait et l’allaitait. On dit que cet allaitement fut une bénédiction pour Al-Hasan. Dans son enfance, il allait s’asseoir avec les Compagnons du Prophète – paix et bénédiction de Dieu sur lui. Notre maître `Umar Al-Fârûq invoqua Dieu d’accorder à Al-Hasan une profonde compréhension de la religion et l’amour des gens. Il apprit le Coran sous le califat de `Uthmân Ibn `Affân. Ses qualités Il fut connu pour son strict respect et…

La parole de l’unicité pure (al kalimat ul ikhlâs) comporte des bienfaits immenses qu’il serait impossible d’énumérer dans leur totalité, nous n’en citerons que quelques-uns : 1 – C’est la parole de piété, comme l’ont dit ‘Umar [Ibn Al Khattâb] (qu’Allah soit satisfait de Lui) et bien d’autres. 2 – C’est la parole de sincérité, de l’attestation et de l’appel à La Vérité, du désaveu de l’association et de sa délivrance. Et c’est la raison première de la création. Allah dit : « Je n’ai créé les génies et les hommes que pour qu’ils M’adorent » [Sourate51 – Verset 56]. 3 – C’est pour cette parole également que les Messagers ont été envoyés et que les Livres ont été révélés. Allah dit : « Et nous n’avons envoyé avant toi aucun Messager à qui Nous n’ayons révélé : « Point de divinité en dehors de Moi. Adorez-Moi donc. ». »…

C’est une phrase que les musulmans ont l’habitude d’entendre mais peut être est-elle obscure et ne l’ont-ils jamais vraiment comprise. Peut-être dira –t-on : « Qu’est-ce qu’ils ont à mettre par écrit des idées qui ne peuvent se réaliser ? Qu’ont-ils à se bercer de rêves et d’illusions ? »

Ne nous affolons pas, frères en islam et dans la tradition. Ce que vous tenez d’aujourd’hui pour difficile et lointain était pour vos devanciers quelque chose de simple et de proche…

Les deux derniers hadiths, isolés de l’ensemble des hadiths évoquant le jeûne du jour de ‘Ashoura, laisseraient entendre deux choses historiquement fausses. La première, c’est que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, n’observait pas le jeûne de ‘Ashoura avant l’arrivée à Médine. C’est en voyant les juifs jeûner ce jour que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, ordonna de le jeûner.