Tag

religion

Browsing

Havre de Savoir fait sa rentrée ! Et c’est avec plaisir que nous vous retrouvons pour un nouveau séminaire. Sorcellerie, mauvais œil, possession… Qui n’a jamais entendu parler de ces « phénomènes? Qui ne s’est pas déjà posé la question de la frontière entre l’imagination de l’Homme et leur réelle existence? Entre fantasme et réalité, quelle est leur véritable place dans l’islam?C’est pour répondre à toutes ces interrogations et apporter un éclaircissement face aux idées reçues que nous avons l’honneur d’accueillir Cheikh Othmane IQUIOUSSEN.( Imam et diplômé en shari’a de la célèbre université de Al-Azhar). Rendez-vous Dimanche 24 octobre 2021 de 14h00 à 16h00 sur Zoom; nous vous attendons de près comme de loin grâce au séminaire en ligne. Inscription obligatoire et places limitées. Que la paix soit sur vous.

Jamais je n’ai connu d’hospitalité aussi sincère, de fraternité aussi bouleversante que celles des hommes et de femmes de toutes races réunis sur cette vieille Terre Sainte, patrie d’Abraham, de Mohamed et des autres prophètes des Saintes Ecritures. Jamais je n’ai été honoré comme ici. Jamais je ne me suis senti plus humble et plus digne.

L’Amérique a besoin de comprendre l’islam, parce que c’est la seule religion

Sa lignée et sa naissance Al-Hasan Ibn Abî Al-Hasan Yasâr Abû Sa`îd Al-Basrî, l’Imâm de Bassora, l’emblème de la piété, le modèle des soufis, naquit en 21 A.H. à Médine, sous le califat de `Umar Ibn Al-Khattâb. Son père était un esclave affranchi de Zayd Ibn Thâbit, et sa mère une esclave affranchie de la Mère des Croyants, Umm Salamah. Lorsque sa mère s’absentait pour accomplir une tâche qu’Umm Salamah lui avait demandée, Al-Hasan pleurait ; Umm Salamah le portait et l’allaitait. On dit que cet allaitement fut une bénédiction pour Al-Hasan. Dans son enfance, il allait s’asseoir avec les Compagnons du Prophète – paix et bénédiction de Dieu sur lui. Notre maître `Umar Al-Fârûq invoqua Dieu d’accorder à Al-Hasan une profonde compréhension de la religion et l’amour des gens. Il apprit le Coran sous le califat de `Uthmân Ibn `Affân. Ses qualités Il fut connu pour son strict respect et…

C’est une phrase que les musulmans ont l’habitude d’entendre mais peut être est-elle obscure et ne l’ont-ils jamais vraiment comprise. Peut-être dira –t-on : « Qu’est-ce qu’ils ont à mettre par écrit des idées qui ne peuvent se réaliser ? Qu’ont-ils à se bercer de rêves et d’illusions ? »

Ne nous affolons pas, frères en islam et dans la tradition. Ce que vous tenez d’aujourd’hui pour difficile et lointain était pour vos devanciers quelque chose de simple et de proche…

Les deux derniers hadiths, isolés de l’ensemble des hadiths évoquant le jeûne du jour de ‘Ashoura, laisseraient entendre deux choses historiquement fausses. La première, c’est que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, n’observait pas le jeûne de ‘Ashoura avant l’arrivée à Médine. C’est en voyant les juifs jeûner ce jour que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, ordonna de le jeûner.

Les musulmans célèbrent deux fêtes principales dans l’année : « ‘Aïd à al-fitr » (la fête de la rupture du jeûne annonçant la fin du mois de Ramadan) et « ‘Aïd al-adha » (la fête du sacrifice en commémoration du sacrifice du prophète Ibrahim, que la Paix de Dieu soit sur lui). Mais les fêtes en islam ne sont pas de simples occasions pour organiser des cérémonies festives ou pour se réunir autour d’un festin bien que cela en fasse partie. En effet, au-delà de leur dimension festive, l’islam vise à réaliser à travers ces deux fêtes des objectifs d’ordre spirituel et humanitaire. Dimension spirituelle de l’Aïd La dimension spirituelle se manifeste à travers l’Aïd dans la mesure où cette fête commence par la célébration de la Prière, par le « takbir » (dire allahou akbar », le « tahlil » (dire la ilaha illallah), le « tahmid » (dire al-hamou lillah). La fête de l’Aïd en islam est ornée d’invocations. Les…

La société a besoin d’entraide et de cohésion La religion joue un rôle primordial dans la consolidation des relations entre les Hommes, en les considérant tous comme les serviteurs d’un Seul Maître qui les a créés, et les enfants d’un seul père qui les a engendrés ; sans oublier la fraternité religieuse et les liens de foi qu’établit la religion entre eux : « Les croyants ne sont que des frères. » (49 : 10) Cette fraternité religieuse a un impact sur les âmes et la vie au point de trouver l’un d’eux aimer pour son frère ce qu’il aime pur lui-même. Plus encore, au point de préférer son frère à sa propre personne, même si lui-même était dans le besoin. Dr. Cheikh Mohammad `Abd Allah Draz dit dans son livre Ad-Dîn (la religion) : « Il n’est pas nécessaire d’attirer l’attention sur le fait que la vie en société ne peut s’établir que par l’entraide…

La société a besoin de sources de motivation et de règles morales Le religion est aussi un besoin d’un autre point de vue : il s’agit d’un besoin sociétal, le besoin de motivations et de règles : des motivations qui poussent les individus à l’accomplissement du bien, et à l’acquittement de ses devoirs, même en l’absence de personnes qui les surveillent ou les récompensent, de normes qui régissent leurs différentes relations de manière à imposer à chacun des limites auxquelles il se tiendra, et à ne pas transgresser le droit d’autrui ou négliger le bien de la société pour des passions personnelles ou des intérêts prompts et matériels. On ne pourrait dire ici que les lois et les règlements (établis par l’homme) suffisent à établir ces normes et ces motivations, car les lois ne fondent aucune motivation et ne pourraient suffire comme norme. En effet, échapper aux lois est possible, et les…