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Le mérite des dix premiers jours de Dhoul Hijja Al-Boukhari rapporte d’après Ibn ‘Abbas, que Dieu l’agrée, que le Prophète (BDSL) dit : « Il n’y a pas de jours où les actions de bien sont plus aimés de Dieu que ces jours (c’est-à-dire les dix premiers jours de Dhoul Hijja) ». Al-imam Ahmed rapporte d’après Ibn ‘Omar, que Dieu l’agrée, que le Prophète (BDSL) dit : « Il n’y a pas de jours où l’action est plus méritoire et plus aimée de Dieu que ces dix jours. Pendant ces jours, faites le « tahlil » (dire « la ilaha illal-lah »), le « takbir » (dire « allahou akbar ») et le « tahmid » (dire « al-hamdou lil-lah ») en abondance ». Ibn Hibban rapporte d’après Jabir ibn ‘Abdillah, que le Prophète (BDSL) dit : « Le meilleur jour de l’année est le jour de ‘Arafat ». Les actions recommandées durant ces dix jours 1- Accomplir le Pèlerinage et la ‘Omra. Il s’agit là de la meilleure des actions conformément à plusieurs…

L’adolescence est une période riche en changements et en rebondissements. D’ailleurs, bon nombre de parents sont inquiets quant à la gestion de cette « étape » dans la vie de leurs enfants. Ces questionnements se figent notamment sur la relation entre l’adolescent et la prière. Comment aborder de manière sereine et apaisée la question de l’obligation de la prière avec l’adolescent? Quelle organisation mettre en place avec son enfant pour permettre que ce « rendez-vous » avec Dieu soit facile? Comment prendre du recul en tant que parent face à l’investissement que cela demande? Dans cette vidéo, Othmane IQUIOUSSEN répond en quelques minutes aux interrogations que peuvent se poser les parents sur cet aspect si important de notre religion.

La vie du musulman pratiquant est bercée par la prière. Cette prescription Divine fait partie des cinq piliers de l’Islam et est un moteur au développement sain et serein de la foi. Ce « rendez-vous » intimiste avec Dieu procure, de manière certaine, une lumière de quiétude, de joie mais aussi de sagesse dans le coeur du croyant. Une lumière que tout parent souhaite transmettre à son enfant. Ce premier espère, de manière innée, le meilleur pour ses enfants. Et que souhaiter de mieux que de voir son enfant affectionner la prière? En effet, l’amour de la prière et donc de « la connexion à Dieu » n’a pas d’âge. Néanmoins, il s’agit plutôt pour l’adulte, pour le parent, de s’adapter à l’enfant se trouvant face à lui en fonction de son âge, de sa maturité, de son histoire mais également de sa sensibilité. Dans cette vidéo, Othmane IQUIOUSSEN, nous explique au travers d’exemples…

La prière se doit d’être un entretien privilégié avec Dieu. Cependant, qui n’a jamais rencontré de difficultés pour se concentrer dans sa prière ? Qui n’a jamais culpabilisé de ce manque de concentration ? Qui n’a jamais prié avec ce sentiment de n’avoir tiré aucune élévation spirituelle de ce moment ? Dans cette courte intervention, cheikh Othmane Iquioussen, nous prodigue des conseils afin d’optimiser le temps de prière et ainsi de vivre chacun de ces moment comme des moyens de parler à Dieu, de se rapprocher et de vivre pleinement cette adoration.

Sacrifier une bête le jour de la fête du sacrifice (le 10ème jour de dhoul-hajja) est un rite instauré par l’islam. Dieu dit : « Accomplis la Salat pour ton Seigneur et sacrifie » (108 :2) D’après Anas ibn Malik (que Dieu l’agrée) : « le Prophète (BSDL) sacrifia deux béliers, gros, blancs, cornus. Il évoqua le nom d’Allah (en disant bismillah), prononça le takbir (Allahou akbar), posa son pied sur leur flancs et les immola de sa main » ( al-Boukhari et Mouslim). D’après une autre version rapportée par Mouslim d’après Aïsha (que Dieu l’agrée), le Prophète (BSDL) dit (en immolant) : « Au nom d’Allah (bismillah). Seigneur Dieu ! Accepte ceci de la Part de Mohammad, de la famille de Mohammad et de la communauté de Mohammad » Le Prophète (BSDL) encouragea « le sacrifice » en disant : « L’homme ne peut accomplir, le jour du sacrifice, un acte plus aimé de Dieu que l’immolation d’une bête » (At-Tirmidhi) Le statut juridique du « sacrifice »  La majorité des savants…

Deux éléments fondamentaux permettent de bonifier la prière et de la rendre plus profitable encore : la prière en groupe et la présence du coeur (autrement dit la concentration). La prière en groupe, particulièrement à la mosquée, est très méritoire individuellement et joue un rôle spirituel édifiant d’un point de vue collectif. Aussi, la présence du coeur lors des prières permet de profiter pleinement de ses bienfaits spirituels et de nous aider à changer positivement nos vies.

L’activité professionnelle peut rendre difficile la pratique de la prière pour beaucoup d’entre nous, aussi bien dans le secteur privé que public. Dans ce cas le Conseil Européen de la Fatwa et de la Recherche propose des solutions d’aménagement, prévu dans la jurisprudence islamique, afin de préserver ce pilier fondamental. Le but de ces solutions est d’empêcher le regroupement de toutes les prières le soir.