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Les arabes forment un peuple composé de plusieurs tribus Nous savons que le Prophète (saws) est un arabe et que les arabes parlent la langue arabe. Du temps du Prophète (saws), le peuple arabe était composé de tribus : certaines habitaient à Mecque, d’autres à Yathrib, à Taïf, à Najran … L’Arabe est la langue maternelle de ces tribus Le Prophète (saws) appartenait à la plus grande et plus noble tribu, à savoir, Quraysh, dont les membres descendent d’Ismaïl fils d’Abraham. D’une manière générale, le vocabulaire utilisé par les arabes faisait en grande partie une unanimité. Cependant, certains mots présentaient une certaine divergence linguistique. Cette diversité de vocabulaire au sein d’une même langue est appelée « dialecte » (lahja). Les arabes parlaient plusieurs dialectes Les principaux points de différences entre les dialectes arabes : La prononciation d’un même mot : Certaines tribus prononçaient quelques mots d’une manière différente des autres tribus. Certains arabes prononçaient la…

Les savants de notoriété chez les chiites cités dans la vidéo, affirment tous l’aversion et la falsification du Coran. Selon, eux, seul ‘Ali ibn Abitalib (rad) a assemblé le Coran comme il a été révélé. Par exemple, Mizra Hussein ibn Mohamed Taqi An Nuri At Tabrisi, dans son livre le plus célèbre, a regroupé les textes des savants chiites affirmant que le Coran avait était falsifié. Ce livre avait provoqué une indignation en Iran, non pas pour son contenu, mais pour avoir révélé en public la falsification du Coran. D’autres dignitaires chiites abondent également dans ce sens. Écoutons cheikh Moncef Zenati nous citait ces nombreux exemples.

Le Prophète (saws) a transmis le Coran par deux voies : une voie écrite et une voie orale. Ce qui représente deux gages d’authenticité du Coran. Transmission du Coran par voie écrite Il s’agit ici de la transmission du texte coranique. La transcription du Coran est passée par les phases suivantes : Aussitôt après la révélation, devant le Prophète (saws), en présence de l’Ange Gabriel, éparpillé sur différents supports. Au temps d’Abou Bakr (rad) : Le Coran est assemblé dans une seule copie, versets et sourates ordonnés, comprenant les sept modes de révélation. Au temps de ‘Othman ibn ‘Affan (rad) : Reproduction de plusieurs copies du moshaf d’Abou Bakr, en se contentant d’un seul mode de révélation. Une copie est envoyée aux principales villes du monde musulman. Reproduction de nombreuses copies de Coran à partir de ces copies et leur diffusion dans l’ensemble du monde musulman. Apparition d’ouvrages spécialisés réunissant les règles de la graphie…

Deux Néerlandais, Sacha et Alexander, ont acheté une Bible, mais y ont placé la couverture du Coran autour. Leur objectif ? Démontrer l’ignorance des gens à propos du christianisme et les généralisations ou amalgames concernant l’islam. Leur méthode ? Interpeller des gens dans la rue et leur réciter des passages « controversés » ou « violents » de la Bible qu’ils présentent comme étant des versets du Coran. Quelle sera donc la réaction des passants ?

Qui sont ces jeunes qui deviennent djihadistes et se radicalisent en quelques mois voire quelques semaines? Selon Peter Harling, ce n’est pas l’islam qui est leur point commun, mais bien leur soif de violence.

Ils invoquent Allah à chaque phrase mais pour les jihadistes d’un genre nouveau, comme ceux qui ont ensanglanté Paris le 13 novembre, l’islam est un prétexte permettant surtout de canaliser une révolte intime et une soif de violence, estiment des experts.

Le Coran invite à croire en Dieu et à adhérer à la religion par l’unique voie de la sagesse et de la bonne exhortation: « Par la sagesse et la bonne exhortation, appelle les gens au sentier de ton Seigneur » (16: 125). Le Coran interdit toute contrainte en matière de religion car la contrainte ne pourrait engendrer l’adhésion des cœurs ; elle n’engendre que l’hypocrisie. L’adhésion à l’islam ne peut se réaliser qu’après un choix libre loin de toute pression psychologique ou physique. C’est pourquoi, le Coran proclame clairement: « Eh bien rappelle! Tu n’es qu’un rappeleur, et tu n’es pas un dominateur sur eux » (88: 21 – 22), « Nulle contrainte en matière de religion » (2: 256), « Si ton Seigneur l’avait voulu, tous ceux qui sont sur terre auraient cru. Est-ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants ? » (10 : 99). Au contraire, Il propose aux non-musulmans un vivre ensemble fondé sur le respect…

Un certain philosophe médiatisé sillonne les plateaux télévisés (sans jamais faire face à un spécialiste pour lui donner la réplique) en brandissant une feuille contenant des passages coraniques (avec une certaine liberté dans la traduction) tels que: « exterminez les incrédules[1] jusqu’au dernier », « Ô Prophète encourage les croyants au combat », « Frappez-les sur le cou et aux jointures », « tuez-les là où vous les trouverez »… autant de passages qui, cités de cette façon, donnent la chair de poule et démontreraient, selon ce philosophe, que le Coran serait un livre violent, sanguinaire qui fait l’apologie de la violence. Or, citer des passages coraniques en les isolants de l’ensemble de l’énoncé et en abstraction de leur contexte de révélation est une manipulation grotesque et une malhonnêteté intellectuelle déconcertante. Que dit vraiment le Coran à propos de la violence? Que signifie la notion de « djihad » en islam? Les médias et certains écrits occidentaux ont créé, le plus souvent…