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Voici des questions posées à Cheikh Moncef Zenati par les participants lors de la ‘Omra organisée par Havre de Savoir en Décembre 2014. Des questions souvent posées par nos jeunes, auxquelles Cheikh Zenati apporte un éclairage détaillé. Concernant le Qamis, il faut différencier ce qui fait partie du domaine législatif, ou ce qui appartient à la nature humaine du Prophète (saws), sans présence de texte apportant de recommandation précise. Il en est de même en ce qui concerne la longueur du pantalon ou le port du Jilbeb. Il y a donc une différence entre ce qui fait partie de l’éthique du vêtement, et ce qui relève de coutumes culturelles.

Moment émouvant sur ce lieu historique, près duquel sont enterrés des grands compagnons tels que l’oncle du Prophète (saws), Hamza ibn Abd al-Muttalib, qu’Allah l’Agrée. Cheikh Moncef Zenati nous livre ici un récit sur la bataille de Uhud, célèbre bataille qui a coûté la défaite aux musulmans. Une défaite riche en enseignements, puisqu’on peut en tirer de belles leçons. A l’image du très jeune compagnon Abou Said al-Khoudri, qui s’est vu confier la mission de veiller sur Médine en l’absence du Prophète (saws), alors qu’il n’était encore qu’un jeune enfant. Découvrez donc toutes les histoires de cette bataille, que le Prophète (saws) a appelée « le jour de Talha »…

La miséricorde Habituellement, les cœurs des hommes qui ont mené des guerres et dirigé des peuples s’endurcissent et  leurs larmes s’assèchent. Ils sont rarement caractérisés par la miséricorde, mais le Prophète (saws) et ceux qui l’ont pris comme exemple ne sont pas de ce genre. Quel que soit le degré de force, de fermeté et de patience qui les caractérise, ces caractéristiques ne sauraient jamais prendre le dessus sur la miséricorde. De même que le Prophète (saws) était caractérisé par perfection de la patience, il était imprégné par la miséricorde dans sa perfection. Dans le chapitre précédent[1], nous avons pu le voir verser des larmes dans plusieurs situations exprimant ainsi sa miséricorde et sa compassion. Son cœur débordait de miséricorde au point de pleurer et de verser des larmes. Il arrivait aussi parfois qu’on entende ses pleurs. Mohammad (saws) était une âme débordante de miséricorde. « Et Nous ne t’avons…

On entend par « salafis » (as-salafiyoun) ceux qui se sont attribués ce qualificatif, bien que l’attribution de leurs avis aux pieux-prédécesseurs est discutable. Cette tendance est apparue la première fois au quatrième siècle de l’Hégire au sein de l’école hanbalite. Elle réapparaît au 7ème siècle à travers Ibn Taymiya qui va revivifier ce courant. Jusqu’à Ibn Taymiya, les hanbalites étaient ash’arites (voir vidéo). Ibn Taymiya va s’opposer à la méthodologie ash’arite en voulant ramener l’étude des dogmes à ce qu’elle était du temps des compagnons et des tabi’ines. Il affirme que la position des salafs consiste à reconnaître le sens littéral de tout ce qui est énoncé dans le Coran, sans recours à l’interprétation métaphorique (ta-wil). Les salafis sont malheureusement tombés dans l’excès lorsqu’ils sont devenus intransigeants avec les autres avis, considérant leurs avis comme les seuls à être fidèles aux salafs. Comme nous relate cheikh Moncef Zenati dans cette vidéo,…

Etant donnée la place réservée aujourd’hui à la femme dans certains pays, et l’attribution à tort, à l’Islam, de plusieurs injustices commises à son égard, il est intéressant de connaître quels étaient la place et rôle de la femme dans la Sira du Prophète (saws). La vérité sur la place de la femme en politique, dans le domaine scientifique, de la prédication et dans le djihad doit être rétablie. Cheikh Moncef Zenati, à travers des exemples pratiques présente plusieurs portraits féminins et décrit leur rôle dans la Sira du Prophète (saws). Khadija, ‘Aicha, ou Noussayba… Découvrez les histoires de ces femmes hors du commun.

Le monde fête aujourd’hui la journée de la femme. C’est une occasion pour parler de la femme ; des droits de la femme. Quel est donc la position de l’islam vis-à-vis de la femme ? Quel regard portent les musulmans sur la femme ? Qu’en est-il de la femme musulmane aujourd’hui, dans les pays musulmans, mais aussi dans notre pays la France ? L’islam est venu changer le regard que portait le monde entier sur la femme. En effet, pendant la période préislamique en Arabie, la femme était un objet qu’on héritait comme n’importe quel meuble de la maison. Chez les grecs, on vendait et achetait la femme. Chez les romains, elle était constamment sous tutelle étant donné qu’elle ne jouissait pas de toutes ses capacités mentales. En France, les ecclésiastiques se réunirent lors du concile de Macon en 586 pour discuter autour de la question de savoir si la femme avait une âme.…

D’après Tamim ad-Dari (ra), le Prophète (saws) dit : « La religion, c’est le bon conseil « an-naçiha » Nous dîmes : « Envers qui ? » Il dit : « Envers Dieu, Son Livre, Son Messager, les dirigeants des musulmans et l’ensemble de la communauté musulmane » » (rapporté par Mouslim) Ce hadith est un hadith succinct et hautement éloquent. Il est l’un des hadiths sur lequel est fondé l’islam. At-Tabarani rapporte d’après Houdhayfa ibn al-Yaman (ra) que le Prophète (saws) dit : « Quiconque ne porte pas d’intérêt à la situation des musulmans n’est pas de leur nombre, et quiconque n’est pas de bon conseil, matin et soir, pour Dieu, Son Messager, Son Livre, leurs dirigeants et l’ensemble des musulmans n’est pas de leur nombre ». L’imam Ahmed rapporte d’après Abou Oumama que le Prophète (saws) dit : « Dieu dit : « La chose la plus aimée de Moi à travers laquelle Mon serviteur M’adore est le bon conseil en vue d’obtenir Ma satisfaction » ». La religion, c’est « an-naçiha »  Cela signifie que « an-naçiha »…

L’école doctrinale matouridite est attribuée à Abou Mansour Mohamed al-Matouridi, qui était un savant hanafite. L’école matouridite s’est répandue en Asie Centrale, en extrême-orient et en Turquie. Ce qui est surprenant, c’est que l’école matouridite rejoint sur de nombreux points l’école ash’arite, alors que ces deux savants contemporains ont vécu à la même époque sans jamais se rencontrer. Cela prouve que ces deux écoles sont bien de l’orthodoxie sunnite « ahl as sunna wal jama’a ». Matouridi rejoint al-Ash’ari sur de nombreuses positions au point de dire qu’il ne l’a contredit que sur treize questions, développées ici par cheikh Moncef Zenati. Pour savoir ce qu’est le ash’arisme, voici un cours complet dans cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=5R_wAfD9wKQ