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Havre De Savoir

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"Celui que Dieu aime, Il lui accorde la compréhension de la religion"

Épisode 9 : Interdiction de la fornication en Islam. Cette vidéo est le neuvième épisode d’une série intitulée : « Les qualités des serviteurs du Tout Miséricordieux ». L’islam est venu entre autre pour préserver l’honneur et la filiation. C’est pour cette raison qu’il a interdit la fornication. Les serviteurs du Tout Miséricordieux ont parfaitement saisi ce sens, par conséquent, ils ne commettent nullement la fornication et ne tombent pas dans ce péché capital que Dieu a formellement interdit en disant : « Et n’approchez pas de la fornication (c’est à dire ne la commettez pas et ne commettez pas ce qui y mène). En vérité, c’est une turpitude et quel mauvais chemin » (17 :32) A partir de là, l’islam a interdit la fornication de même que tout ce qui pourrait y mener ou s’en approcher. Il interdit ainsi de s’isoler avec une femme étrangère (qui ne fait pas partie de…

Au sens étymologique, le terme arabe « bid‘a » est tiré du verbe « bada‘a » qui signifie : créer sans se référer à un modèle préalable. C’est dans ce sens que Dieu se qualifie dans le Coran de « badî‘u s-samâwâti wa Al-ard » (Créateur des cieux et de la terre). Le terme « bid‘a » correspond donc à « innovation », action de créer, d’inventer quelque chose de nouveau. Au sens terminologique, l’imam Ash-Shâtibî définit le terme « bid‘a » comme étant « une manière d’agir inventée dans le domaine de la religion, qui ressemble à une pratique cultuelle légale, dans l’intention de pousser à l’extrême l’adoration de Dieu ». Cette définition nous apporte des éléments de compréhension indispensables : Premièrement : D’après cette définition, la « bid‘a » correspond à l’innovation en matière de religion ; introduire quelque chose de nouveau dans le domaine de la religion. Dans ce sens, la « bid‘a » constitue un égarement qu’il faut rejeter conformément aux hadîth : « Celui qui introduit dans notre religion-ci une…

Dans cette vidéo, cheikh Moncef Zenati nous présente les caractéristiques générales de la Shari’a (la source divine, la moralité, le réalisme, l’humanisme, l’harmonie et la globalité). Moncef Zenati : Titulaire d’une maîtrise en sciences islamiques, professeur à l’Institut Européen des Sciences Humaines de Château-Chinon et auteur de nombreux livres dont : « La sunna : mode d’emploi ».

Je me permets d’ajouter ici une règle que je pense indispensable pour bien comprendre la Sunna : comprendre les hadiths à la lumière du développement des sciences modernes. Il ne s’agit point d’une invention de ma part. Les savants font allusion à cette règle pour illustrer le changement de « fatwa » en fonction du changement de connaissances.

En effet, nous avons, aujourd’hui, à notre disposition des connaissances que les savants anciens n’avaient pas. Ils ont donc fondé leurs jugements sur les connaissances dont ils disposaient à leur époque.

Dans cette vidéo, le professeur Tariq Ramadan nous parle de la vie du Prophète (que la paix et la bénédiction de Dieu soient sur lui), plus précisément de la période médinoise. Durant cette période, qui durée dix années, le Prophète (que la paix et la bénédiction de Dieu soient sur lui) s’est attaché à construire un État musulman. Tariq Ramadan est Docteur ès Lettres en Islamologie-Arabe, écrivain & Directeur du Centre de recherche pour la Législation Islamique et l’Ethique (CILE).

Les expressions des spécialistes des fondements du droit musulman concernant les finalités et les intérêts pourraient laisser entendre que leur attention est orientée principalement vers l’individu mais pas assez vers la société. Ils pourraient alors se justifier en disant que les sociétés sont constituées d’individus, et donc si l’individu est bon, toutes les sociétés seront saines, et les individus ne peuvent êtres sains que si nous préservons les éléments fondamentaux de leur vie spirituelle et profane, morale et matérielle. Quelque soient leurs justifications, il importe d’affirmer que la législation musulmane accorde un grand intérêt à la société de même qu’elle accorde un intérêt à l’individu. Elle établit un équilibre parfait entre l’individu et la société. A signaler que le premier à avoir donné aux finalités et aux intérêts une dimension collective et sociale fut sheikh Mohamed Taher ibn ‘Ashour. Cela se manifesste clairement dans son livre «maqasid ash-shari’a al-islamiyya » (les…

Épisode 8 : L’interdiction du meurtre et le respect de la vie en Islam. Cette vidéo est le huitième épisode d’une série intitulée : « Les qualités des serviteurs du Tout Miséricordieux ». Le Coran a associé le meurtre à l’idolâtrie pour l’horreur et la monstruosité de ce crime. L’idolâtrie est une atteinte à la religion. Le meurtre est une atteinte à la vie. L’islam est venu interdire l’effusion du sang. Il est venu déclarer que l’âme humaine est inviolable, que la vie humaine est sacrée. L’islam respecte l’âme humaine au point où il ne permet pas de porter atteinte au fœtus par l’avortement sauf s’il présente un danger pour la mère. L’islam a interdit de tuer, y compris les animaux par pure corruption sur terre ; une femme est entrée en Enfer pour un chat ! Parce qu’elle l’a enfermé jusqu’à sa mort. Elle ne l’a pas nourrit et ne l’a…

Dans cette vidéo, le professeur Moncef Zenati aborde une question récurrente sur l’héritage : pourquoi la part de l’homme est elle le double de celle de la femme ? Moncef Zenati : Titulaire d’une maîtrise en sciences islamiques, professeur à l’Institut Européen des Sciences Humaines de Château-Chinon et auteur de nombreux livres dont : « La sunna : mode d’emploi ». Enregistrer