Celui qui a une maladie dans son cœur, prends de chaque parole ce qui s’accorde avec sa maladie. Ibn Taymiyyah Cette citation fait référence au fait que si une personne a une maladie dans son cœur, c’est-à-dire des préjugés, des désirs malsains ou une mauvaise intention, alors elle interprétera les paroles et les enseignements selon ce qui correspond à sa maladie. En d’autres termes, cela signifie que lorsque quelqu’un a des inclinations négatives ou des intentions corrompues, il choisira de comprendre les paroles d’autrui de manière à soutenir ou justifier ses propres mauvaises actions ou croyances. Cette interprétation biaisée est influencée par les motivations et les intentions internes de cette personne, qui peuvent être déformées par ses propres défauts ou faiblesses. Ibn Taymiyyah souligne donc l’importance de purifier le cœur et de travailler sur soi-même afin de prévenir de telles maladies qui peuvent altérer la compréhension correcte des paroles et…

L’ultime souhait des morts dans leur tombe sera d’être ramenés à la vie ne serait-ce qu’un instant, afin d’y rattraper ce qui leur a manqué comme repentir et acte vertueux. Et cela, tandis que les gens de ce bas monde perdent leur temps, voient leurs années passées dans l’insouciance ou pire encore, noyés dans les péchés. L’imam Ibn Rajab Dans son ouvrage précieux, Lataif al-Ma’arif, Ibn Rajab a souligné une réalité profonde. Il nous rappelle l’ultime souhait des défunts dans leur tombe : être ramenés à la vie, ne serait-ce qu’un instant, pour combler ce qui leur a manqué en termes de repentir et d’actes vertueux. C’est une pensée qui devrait nous faire réfléchir profondément. Alors que nous vivons dans ce bas monde, trop souvent nous gaspillons notre temps précieux. Nous laissons les années s’écouler dans l’insouciance, ou pire encore, nous sommes engloutis dans les péchés. Il est facile de se laisser distraire par…

Au cœur de notre vie quotidienne, il existe des trésors insoupçonnés, des bienfaits qui se cachent dans les moindres détails. Souvent, nous les négligeons, sans prendre conscience de l’effort colossal qui les rend possible.