Elles sont divisées en deux catégories Concernant l’individu : il doit être musulman 1- Les savants s’accordent, d’un avis consensuel, sur le fait que la zakat est une obligation pour chaque musulman pubère et responsable (jouissant de sa raison). Elle n’est pas obligatoire en ce qui concerne le non-musulman car elle constitue l’un des éléments constitutifs de l’islam et conformément aux propos de Messager de Dieu saws adressés à Mou’adh ibn Jabal radio lorsqu’il l’envoya au Yémen : « informe les que Dieu leur a prescrit une aumône relative à leurs biens, prélevée de leurs riches et redistribuée à leurs pauvres… » (rapporté par al Boukhari et Mouslim). Il s’agit donc d’une obligation qu’on ne peut exiger des gens qu’après conversion à l’islam. Bien que la zakat soit une charge sociale dont bénéficie l’ensemble de la société, elle est également un acte d’adoration. L’islam a donc fait primer le sens de l’adoration,…
Au Nom de Dieu Le Clément Le Tout Miséricordieux A l’occasion de la nouvelle année hégirienne 1436, Dar el Fatwa tient à exprimer ses meilleurs vœux aux musulmans de France, d’Europe et du monde entier en souhaitant que cet événement soit accompagné de beaucoup de bonheur et de bénédiction pour notre communauté. Puisse Dieu nous le faire revivre dans la joie, la paix et la sécurité. La Zakat, qui constitue le sujet de notre propos ici, est un des cinq piliers fondamentaux de l’Islam, il s’agit d’un devoir incombant à tout musulman remplissant les conditions, qui devra par conséquent en verser le montant à ceux qui ont le droit d’en bénéficier. Le Saint Coran mentionne à plusieurs reprises la Zakat à travers ses versets parmi lesquels : « Ceux qui ont la foi, qui ont fait de bonnes œuvres, qui ont accompli la Salat et se sont acquittés de la Zakat, auront…
La da’wa est-elle dépendante de la science ? Faut-il se former et emmagasiner beaucoup de savoir avant de le transmettre aux autres ? En somme, la da’wa est-elle réservée aux savants ? Cheikh Moncef Zenati nous explique dans cette vidéo que le prédicateur en islam ne doit-pas être forcement un savant pour faire de la da’wa. Certes, le Prophète saws nous incite à le faire avec clairvoyance, mais chaque musulman qui possède un savoir, aussi minime soit-il, doit le transmettre. Pour résumer, le prédicateur a pour obligation de transmettre en fonction de ses connaissances et de son niveau. « Et qui profère plus belles paroles que celui qui appelle à Dieu, fait bonne oeuvre et dit : « Je suis du nombre des musulmans » »(Sourate 41, Verset 33).
A travers cette vidéo, nous proposons une étude objective et complète sur le caractère légal ou non de la musique. Cheikh Moncef Zenati aborde cette étude en plusieurs étapes : il commence par rappeler les règles juridiques permettant d’établir une interdiction de manière générale, ainsi cela nous servira de base pour analyser les arguments concernant la musique. Il aborde ensuite les arguments dans le Coran que certains utilisent pour interdire la musique. Ensuite, il procède de la même manière concernant la sunna en analysant les hadiths et surtout leurs chaines de transmission. Dans une quatrième étape, il présente les pieux prédécesseurs (Salafs) qui écoutaient de la musique et qui le permettaient. Puis il termine en énonçant les conditions qui encadrent la licité de la musique.
Dans des moments de faiblesse, lorsque le musulman est atteint d’un mal, il peut lui arriver d’oublier sa place. Il devient alors ingrat envers son Créateur. « Pourquoi Allah m’a fait ça ? » est la parole qui revient lorsque le musulman qui oublie son rang est touché par l’épreuve. À celui ou celle qui tient ce discours, il faut être pédagogue et lui rappeler que l’univers tout entier appartient à Allah le Majestueux. Allah peut-il se montrer injuste lorsqu’il éprouve Son serviteur ? Allah est-il injuste lorsqu’il reprend l’âme d’un être proche ? Bien évidemment, non ! Tout ce qui est sur terre et dans les cieux appartient à Allah. Il ne peut se montrer injuste puisqu’Il dispose de ce qui Lui appartient comme bon lui semble. Telle est la volonté de notre Seigneur. Aussi, lorsqu’on est confronté à ce genre de situations, il faut faire preuve d’intelligence, et plutôt que de…
On a beaucoup et longtemps parlé de la question de la résidence du musulman en dehors des pays musulmans. Nous avons, par ailleurs, entendu des avis caractérisés par un rigorisme absolu, imposant à tout musulman vivant dans un pays non-musulman, de le quitter immédiatement conformément à un hadith qu’on rapporte à ce sujet dans lequel le Prophète (saws) dégage sa responsabilité de tout musulman résidant parmi les idolâtres. Ces avis ont suscité une gêne chez beaucoup de musulmans. Ce que nous pensons, c’est que ce sujet mérite une réponse détaillée. Sans aucun doute, il n’est pas permis au musulman de vivre parmi les non-musulmans sans son identité musulmane, sauf pour quelqu’un qui ne peut pas faire autrement. La raison étant la possibilité ou l’impossibilité pour le musulman de préserver sa vie et sa religion ainsi que la vie et la religion de ceux dont il a la charge, à l’instar…
« O Prophète ! Nous t’avons envoyé pour être témoin, annonciateur, avertisseur, appelant à Allah, par Sa permission; et comme une lampe éclairante » (Sourate 33, Versets 45-46). La da’wa (prédication) est une mission qui incombe à chaque musulman, à l’instar du Messager de Dieu Mohamed saws, et de tous les Prophètes. Cheikh Moncef Zenati nous explique ici pourquoi la da’wa constitue un des piliers de l’islam. Elle n’est ni un choix, ni une option, elle est en réalité un engagement obligatoire. Le musulman ne doit pas s’isoler et a pour obligation de se confronter aux autres. Tout d’abord pour faire da’wa, mais aussi pour se réformer et devenir meilleur, car c’est au contact des autres que l’on prend conscience de ses propres défauts et manquements. Le sujet abordé dans cette vidéo est donc primordial pour tout croyant qui désire s’améliorer, se purifier et comprendre le réel sens de son engagement.
Combien sont-ils à se préparer à vivre à deux, à former un couple, à cheminer ensemble vers l’horizon d’une famille qui prend corps et s’établit ? Certains y pensent, d’autres déjà s’y sont engagés. Ici ou là des histoires… on est parfois ému par l’expression des attentes et de l’espoir infini des uns, et tellement attristé à l’écoute de la douloureuse expérience des autres. Peut-être es-tu toi aussi, ma sœur, mon frère, en train de te préparer à vivre cette étape de ta vie, le mariage, la moitié de ta foi… ou peut-être t’es-tu déjà engagé(e) dans cette vie à deux où ton attente, grâce à Dieu, s’est peut-être comblée mais au cours de laquelle, parfois, quelques doutes ont pu surgir. Tu t’attendais à… autre chose. Mon frère, ma sœur, il ne faut rien idéaliser… l’époux parfait ou l’épouse parfaite n’existe que dans tes rêves. À toi comme à chacun,…







