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J’ai bien aimé cette expression que mon fils ‘Abd al-Rahmân répétait un jour. Je pen- se qu’à son âge, il n’en connaissait pas le sens. Il disait : « Jette certaines choses aux oubliettes et tu vivras heureux ! ».

Je méditais sur cette parole en faisant attention aux critiques des gens, à leurs opi- nions et à leurs conversations : je compris qu’ils étaient très divers, tant par leurs conversations que par leurs critiques. Parmi eux, il y a ce conseilleur sincère qui ne maîtrise pas l’art du conseil. Par conséquent, il te fait de la peine plus qu’il ne te …

On rapporte que As Sulamî -qu’Allâh lui fasse Miséricorde- a dit : « Lorsque l’on apprenait 10 versets du Qur’ân, nous n’en apprenions pas 10 autres tant que nous ne connaissions pas ce qu’il contenait en matière de licite et d’illicite (halâl wal harâm), d’interdictions et d’injonctions. »

Dans Al Muwattâ’, Mâlik -qu’Allâh lui fasse Miséricorde- rapporta qu’il entendit que ‘Abdu Llâh Ibn ‘Umar -qu’Allâh les agrée- mit 8 ans pour apprendre la Sourate al-Baqarah.

D’après Souhayb (qu’Allah l’agrée), le Messager d’Allah (??? ???? ???? ? ???) a dit :

« Jadis vivait un roi qui avait un sorcier. Quand le sorcier se sentit vieillir, il dit au roi : « Me voilà maintenant âgé. Envoies-moi donc un jeune homme pour que je lui enseigne la magie ». Il lui envoya un jeune homme. Sur son chemin vers le sorcier, le jeune homme …

Nous poursuivons notre série de discours consacrée à la purification de l’âme ; à la purification de ce morceau de chair qui, s’il est sain, rend tout le corps sain, mais s’il est corrompu, corrompt tout le corps, il s’agit bien sûr du cœur. Les pieux prédécesseurs disaient : « Le cœur est un roi et les membres du corps sont ses soldats. Aussi, si le roi est bon, les soldats seront bons, mais s’il est corrompu, les soldats seront corrompus ».

Comment Mohammed, pouvait-il, dans son état de pauvreté, et appartenant à la classe moyenne de son peuple, réclamer la royauté et prétendre au pouvoir. Il n’avait ni richesse, ni autorité, ni armée, ni soutien ; il n’avait ni dispositions pour la poésie, ni l’élégance du style, ni la réputation de l’éloquence ; il n’avait rien qui put lui procurer une situation prépondérante parmi le peuple et l’élever jusqu’aux rangs de l’élite.

Or, quelle fut la force qui l’éleva au-dessus des hommes, qui fit que sa tête se dressa au-dessus des autres têtes, qui haussa sa volonté au-dessus des autres volontés…

Je suis scandalisé par cette hypocrisie qui consiste, en France, à faire la chasse aux drogues diverses et variées, mais jamais, ou timidement contre l’alcool.

Je me rappelle encore d’un reportage télévisé où j’apprenais, il y a quelques années, qu’un pauvre étudiant avait perdu la vie en tombant dans une rivière, ivre de son état…

Le présent article vise à répondre à la controverse présentant l’islam comme une religion violente, une religion sanguinaire, prêchée par un homme sanguinaire. En effet, plusieurs magasines ont publié des comparaisons entre Le Prophète Mohammad (saws) et Jésus, présentant Jésus comme un homme pacifique, extrê- mement pacifique, et Mohammed (saws), ou Mahomet comme ils aiment l’appeler, comme un chef de guerre sanguinaire.

Pour répondre à cette accusation aussi ridicule qu’infondée, il suffit tout d’abord…