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Quelques années après la mort du Prophète (صلى الله عليه وسلم) vivait un homme nommé al-Waqidi. Ce dernier avait deux amis auxquels il tenait très fort, dont l’un était un descendant du Prophète (un Hashimi). Tous trois avaient un lien très particulier qui dépassait l’amitié et se rapprochait d’avantage du lien fraternel. Ils aimaient le petit groupe qu’ils formaient car il les poussait à donner le meilleur d’eux-mêmes. D’ailleurs, les gens les taquinaient en leur disant qu’ils ne formaient qu’une seule et même personne tant ils étaient inséparables. Une année, arriva le moment de l’aïd. Al-Waqidi était un homme qui avait peu de moyens mais cette année-là avait été plus dure que les autres, et il vivait alors dans une grande pauvreté. Son épouse vint le voir et lui dit : – Tu sais, je suis bien consciente qu’il faut faire preuve de patience et attendre que Dieu nous favorise de…

Ce nouveau nom qui est sur toutes les lèvres depuis quatorze siècles est en fait, l’intitulé d’une réalité ancienne qui a vu le jour avec la création. Cette réalité a accompagné l’être humain dans sa marche et a suivi, sans discontinuer, tous les Messages qui ont relié les hommes à leur Maître Suprême et leur ont fait connaître ce que Dieu attendait d’eux. Ces propos méritent d’être précisés. Qu’entend-t-on par « réalité ancienne » ? La réponse est la suivante: c’est l’essence de la relation entre Dieu et les humains, telle qu’elle a été définie par toutes les religions et telle qu’elle a été enseignée par l’ensemble des Envoyés de Dieu, ces Messagers qui sont apparus dans le passé et auxquels différents peuples ont cru. Il n’y a donc absolument aucune différence entre ce que Dieu a dit à Moïse (عليه السلام)et ce qu’Il a révélé à Jésus (عليه السلام)…

La question qui se pose est donc : que se passe-t-il lorsque les musulmans manquent à leur obligation de transmettre le message de leur religion, d’expliquer ses enseignements et de faire connaître la morale de leur Prophète (saws). Ce manquement ouvre la porte pour permettre aux chefs de file des idées fausses, aux leaders de l’égarement et de l’erreur, d’expliquer l’islam selon leur propre point de vue et de donner aux gens une image faussée de leur religion. Les gens ont besoin de guides et de preuves : qu’arrivera-t-il si les croyants sont trop paresseux pour accomplir leur mission de faire connaitre aux gens notre religion, notre Prophète (saws), notre morale et nos valeurs ? Le Prophète (saws) a dit : « Dieu ne prend pas la science en l’arrachant à ses Serviteurs, mais il l’a reprend en reprenant les savants. Quand il n’y a plus de savant, les gens prennent pour chefs des ignorants…

Quand on a procède à la rénovation d’un bâtiment ou d’une œuvre d’art, l’objectif est de retrouver la pureté originelle et de débarrasser celle-ci de tout de ce qui s’est ajouté à elle, à travers les siècles, sans en faire partie initialement. Ainsi, réformer l’islam c’est revenir à l’islam originel. Ce n’est pas modifier les fondements de la religion ou de la croyance. Bien sûr quand on parle de revenir à l’islam originel, on parle de la croyance et de la méthodologie, et non pas d’un contexte historique.

Havre De Savoir a le plaisir de vous présenter le prochain gîte spirituel: « En compagnie du Prophète » par cheikh Moncef Zenati. Lors de ce séjour, cheikh Moncef Zenati nous présentera les moments phares de la vie du Prophète (pbsl) ainsi que les qualités morales de Mohamed (pbsl). Ce gîte sera également l’occasion d’aborder les controverses qui se sont créées autour de notre bien aimé (pbsl) et d’y apporter des réponses. Cheikh Moncef Zenati est enseignant à l’IESH de château Chinôn et auteur du livre « Voici le Prophète ». Venez passer un agréable week-end dans la campagne havraise « En compagnie du Prophète », vous y trouverez certainement une source de purification qui va changer votre vie! Un lieu resplendissant vous attend durant ce week-end spirituel où vous profiterez d’un environnement ressourçant et apaisant. L’équipe du Havre De Savoir est impatiente de vous (re)voir! Ne perdez pas de…

Croire en Allah (qu’Il soit glorifié et exalté) n’a de sens que si le désir de Le glorifier et que les sentiments de crainte et d’espérance, de révérence et d’humiliation face à une telle Grandeur, devant tant d’imperfections humaines, sont présents. Il suffit d’éprouver une seule fois de tels sentiments, que chaque croyant ressente aussi fortement que ses convictions le sont, pour qu’ils restent à jamais dans le cœur, sauf de temps à autre, à l’occasion d’une prière par exemple, où le cœur et le désir de se confier à Allah (qu’Il soit glorifié et exalté) sont absents, et l’attention retenue par des idées impromptues. Le croyant ne peut être détourné de sa prière autrement. Seules des idées impromptues réussissant à fixer son esprit y parviennent. Aussi, l’absence du cœur ne peut être guérie qu’en éliminant de telles pensées. Ce qui nécessite d’en étudier les causes, toutes origines confondues, quelles…