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Da’esh suscite beaucoup de curiosité et même d’enthousiasme. Mais qu’est-ce-que réellement l’État islamique Da’esh ? Dans cette vidéo, cheikh Moncef Zenati apporte une analyse de Da’esh à travers l’aspect juridique. Pour mieux comprendre ce qu’est l’État islamique, un retour sur l’Histoire est nécessaire. Revenons tout d’abord sur la notion du « califat » en islam. Beaucoup de groupes, et notamment les kharijites au temps de ‘Ali ibn Abu Talib, ont déclaré des califats et nommé des califes. En Andalousie, on a eu jusqu’à 6 califes. Donc, rien d’étonnant de voir aujourd’hui des hommes s’autoproclamaient califes , que ce soit pour Da’esh ou Boko Haram. Mais diriger les musulmans nécessite des conditions. ‘Omar ibn al Khattab a dit « Celui qui prête allégeance à quelqu’un sans consulter les musulmans, on ne peut pas lui prêter allégeance ni à lui, ni à celui qui lui a prêté allégeance ». Cheikh Moncef Zenati revient donc sur cette…

Alors que certains résistent pour défendre la légitimé et sacrifient leurs vies pour faire respecter la volonté du peuple exprimée par les urnes, d’autres installés confortablement chez eux rejettent farouchement le concept de la démocratie. La démocratie contredirait à leurs yeux les enseignements de l’islam. La démocratie est assimilée au « kufr », elle serait même contradictoire avec le « tawhid ». La démocratie est une idole, le « taghut » ! Ils jettent l’anathème sur quiconque appellerait à la démocratie. Pour se justifier, ils avancent que la démocratie signifie que le pouvoir est au peuple, or en islam, le pouvoir appartient à Dieu et « le jugement n’appartient qu’à Dieu » (6 :57). De plus, la démocratie est un système importé de l’occident mécréant, or, il nous est interdit d’importer un système inventé par les « kuffars ». Cheikh Moncef Zenati prend donc le temps de redéfinir ce qu’est…

Il faut suivre les « salafs » ! Untel est du « minhaj » (voie) ! untel n’est pas du « minhaj » ! Tel savant fait partie de ahl-as-sunna wal-jama’a, l’autre pas ! Autant d’expressions qui interviennent dans les discussions sans en définir le sens véritable. Sans même le définir, ce fameux « minhaj » est devenu un artifice d’exclusion. Le minhaj, c’est la voie des « salafs » diront certains, c’est comprendre le Coran et la Sunna selon la compréhension des salafs. Mais qui sont les « salafs » et quels sont les contours de cette compréhension ? Cheikh Moncef Zenati répond à ces questions.

Il est connu que le Prophète (saws) n’a jamais levé la main sur une femme. Il étonnant pourtant de voir des musulmans frapper leurs épouses alors que cela a été explicitement interdit par le Prophète (saws). Frapper sa femme au nom de l’Islam est une honte. Un homme, un vrai, est celui qui sait régler les conflits sans violence. Certains, malheureusement jouent des rôles à l’extérieur de chez eux, ils sont serviables et doux, notamment à la mosquée et une fois chez eux, ce sont des Pharaons, des tyrans. Cette vidéo est extraite d’une conférence sur « Les 5 clefs du bonheur conjugal » en cliquant ici 

Havre De Savoir vous présente sa nouvelle émission « Déconstruisons les préjugés » animée par Medine, qui abordera à chaque épisode un thème ou une notion qui porte à confusion. Le but étant de l’éclaircir et de la développer en présence d’un invité de qualité. Le premier volet « Déconstruisons les préjugés » concerne la musique et l’islam. Sortons des débats stériles, et essayons de comprendre pourquoi elle fait tant polémique au sein de la communauté. Est-elle réellement haram ? Y-a-t-il une interdiction catégorique appuyée par un texte ? Quel genre de musique le musulman est-il autorisé à écouter ? Toutes ces questions trouveront certainement échos auprès d’une jeunesse musulmane qui a soif de savoir. Un savoir qui doit aussi répondre aux problématiques de notre contexte. D’où la possibilité de nous soumettre vos questions et propositions pour les prochains épisodes. La devise de notre émission reprend la citation de Sénèque : « Étudie, non pour…

La da’wa est-elle dépendante de la science ? Faut-il se former et emmagasiner beaucoup de savoir avant de le transmettre aux autres ? En somme, la da’wa est-elle réservée aux savants ? Cheikh Moncef Zenati nous explique dans cette vidéo que le prédicateur en islam ne doit-pas être forcement un savant pour faire de la da’wa. Certes, le Prophète saws nous incite à le faire avec clairvoyance, mais chaque musulman qui possède un savoir, aussi minime soit-il, doit le transmettre. Pour résumer, le prédicateur a pour obligation de transmettre en fonction de ses connaissances et de son niveau. « Et qui profère plus belles paroles que celui qui appelle à Dieu, fait bonne oeuvre et dit : « Je suis du nombre des musulmans » »(Sourate 41, Verset 33).

Dans des moments de faiblesse, lorsque le musulman est atteint d’un mal, il peut lui arriver d’oublier sa place. Il devient alors ingrat envers son Créateur. « Pourquoi Allah m’a fait ça ? » est la parole qui revient lorsque le musulman qui oublie son rang est touché par l’épreuve. À celui ou celle qui tient ce discours, il faut être pédagogue et lui rappeler que l’univers tout entier appartient à Allah le Majestueux. Allah peut-il se montrer injuste lorsqu’il éprouve Son serviteur ? Allah est-il injuste lorsqu’il reprend l’âme d’un être proche ? Bien évidemment, non ! Tout ce qui est sur terre et dans les cieux appartient à Allah. Il ne peut se montrer injuste puisqu’Il dispose de ce qui Lui appartient comme bon lui semble. Telle est la volonté de notre Seigneur. Aussi, lorsqu’on est confronté à ce genre de situations, il faut faire preuve d’intelligence, et plutôt que de…