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La simplicité et la modestie font partie des traits de caractère les plus remarquables chez le Prophète (saws). La modestie était inhérente à sa personne. Il ne forçait pas sa nature pour laisser apparaître une image trompeuse de modestie. Mohammad (saws) était et demeure la simplicité et la modestie personnifiées. La modestie émanait du plus profond de son être. Même s’il avait un certain pouvoir, il s’écartait de tous les signes ostentatoires et n’aimait pas recevoir les marques de révérence. Il était simple et accessible. Il accueillait le lointain, le proche, ses compagnons, ses ennemis, sa famille et les délégations des rois naturellement et sans adopter un comportement artificiel. Il dit au sujet de la modestie : « Voulez-vous que je vous dise qui sont les gens du Paradis ? Tout être modeste, dont les gens abusent de sa modestie, s’il implorait Dieu en jurant que Dieu lui exauce son…

En islam, la générosité est une qualité qui mène au Paradis. Le Prophète (saws) était d’une générosité incomparable, inégalée et inégalable. Dieu lui a octroyé le cinquième du butin. Si le Prophète (saws) était motivé par les richesses de ce bas-monde, il serait certainement devenu l’être le plus riche de son époque. A titre d’exemple, le cinquième du butin de la bataille de Hounayn correspondait à huit mille ovins, quatre-mille-huit-cents chameaux, huit mille onces d’or et mille-deux-cents captifs ! Le cinquième de ceci revenait de droit au Messager de Dieu (saws) et à sa famille ! A combien pourrait s’élever la fortune du Prophète (saws) s’il avait amassé sa part de butin lors de toutes les batailles remportées? Mais l’histoire nous dit que le Prophète (saws) décéda alors que son bouclier était hypothéqué chez un juif, en garantie d’une dette. Le Prophète (saws) ordonnait de distribuer son éventuel héritage aux…

« Réussit, certes, celui qui se purifie, et se rappelle le nom de son Seigneur, puis célèbre la prière. Mais vous préférez plutôt la vie présente, alors que l’au-delà est meilleur et plus durable. Ceci se trouve, certes, dans les Feuillets anciens, les Feuillets d’Abraham et de Moïse. » [1] Le défi quotidien du musulman consiste à s’efforcer de vivre dans ce monde en se conformant au mode de vie des Prophètes de Dieu, de tous ses Prophètes, depuis le premier, Adam, jusqu’au tout dernier, le Sceau des Prophètes, Muhammad – que la paix soit sur eux tous. Tous étaient porteurs du même message et se fondaient sur des principes et des valeurs communs. Le mode de vie des Prophètes n’a rien de semblable à celui des rois ou des dirigeants, ni à celui des politiciens, des chefs militaires, ou des gens riches ou issus de milieux aisés. La façon de vivre des…

Cette vidéo tournée lors de la ‘omra organisée par Havre De Savoir en décembre 2014, est tout simplement MAGNIFIQUE. Il est très rare d’entendre en français l’histoire du grand père du Prophète (saws), à savoir Abd al-Muttalib. Il est important de comprendre la généalogie du Prophète (saws) car nous devons aimer la famille du Prophète (saws) sur laquelle nous prions. D’autant plus que le grand père du Prophète (saws) est celui qui s’est chargé de prendre en charge le Prophète une fois qu’il était orphelin. Abd al-Muttalib est un surnom que l’on a donné au grand père du Prophète (saws), son vrai nom est Chayba Ibn Hashim. Il a une histoire particulière avec le puits de Zam Zam à La Mecque. On vous laisse découvrir cette très belle histoire et cette promesse qu’il a fait si Dieu lui donnait 10 garçons. Une promesse qui s’est réalisée…

Le Prophète (saws) faisait preuve d’une extrême indulgence et aimait voir ce caractère chez les autres. Il dit un jour à un homme du nom de Ashaj ‘Abd al-Qays : « Il y a en toi deux qualités que Dieu aime : « L’indulgence et la patience » »[1]. Zeyd ibn Sa`na, un rabin juif,  nous raconte l’histoire de sa conversion à l’islam. Il dit : « J’avais reconnu en Mohammad (saws) tous les signes de la prophétie sauf deux : sa mansuétude devance sa colère, et l’extrême insolence à son encontre ne fait qu’augmenter sa mansuétude. Je voulus alors le connaître de plus près afin de savoir ce qu’il en était.» Zeyd alla voir le Prophète (saws) et lui dit : « Ô Mohammad ! Veux-tu me vendre telle quantité de dattes du jardin d’untel à tel terme ? Il répondit : « Non ! Mais je te vendrai…

La miséricorde Habituellement, les cœurs des hommes qui ont mené des guerres et dirigé des peuples s’endurcissent et  leurs larmes s’assèchent. Ils sont rarement caractérisés par la miséricorde, mais le Prophète (saws) et ceux qui l’ont pris comme exemple ne sont pas de ce genre. Quel que soit le degré de force, de fermeté et de patience qui les caractérise, ces caractéristiques ne sauraient jamais prendre le dessus sur la miséricorde. De même que le Prophète (saws) était caractérisé par perfection de la patience, il était imprégné par la miséricorde dans sa perfection. Dans le chapitre précédent[1], nous avons pu le voir verser des larmes dans plusieurs situations exprimant ainsi sa miséricorde et sa compassion. Son cœur débordait de miséricorde au point de pleurer et de verser des larmes. Il arrivait aussi parfois qu’on entende ses pleurs. Mohammad (saws) était une âme débordante de miséricorde. « Et Nous ne t’avons…

En parfait modèle, le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soient sur lui, a montré une immense tolérance à l’égard de ceux qui ont préféré ne pas répondre à son appel et rester fidèles à leur croyance. Ceci s’est clairement manifesté tout d’abord à la Mecque, où le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soient sur lui, et les musulmans constituaient une minorité religieuse dans une société non-musulmane, puis à Médine à la tête d’une société musulmane comprenant une minorité non-musulmane. En effet, lors de sa préparation à l’émigration vers Médine, le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soient sur lui, chargea son jeune cousin ‘Ali ibn Abi Talib de rester à la Mecque, risquant sa vie, afin de remettre aux mecquois, alors non-musulmans, les dépôts que ces derniers lui confiaient en raison de la totale confiance qu’ils avaient à son…

L’imam Youssef al-Qaradawi, président de l’Union Mondiale des Savants Musulmans et président du Conseil Européen de la Fatwa et de la Recherche, a adressé une lettre au président français François Hollande, remise à l’ambassade française à Doha. Dans cette lettre, l’imam al-Qaradawi a présenté ses condoléances pour la mort des citoyens français assassinés au siège du journal « Charlie hebdo », affirmant la totale condamnation de cet acte par l’Union Mondiale des Savants Musulmans et le Conseil Européen de la Fatwa et de la Recherche. Et ce, quel que soit l’auteur, quelles que soient ses motivations et quelle que soit sa croyance, car le meurtre et la terreur ne sont pas des moyens d’expression ou d’indignation, ni dans la religion musulmane ni dans la culture islamique imprégnée de tolérance. L’imam al-Qaradawi a salué le discours du président Hollande dans lequel il a appelé à ne pas faire d’amalgames entre le terrorisme et l’islam,…