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Allah est avec toi. Les peuples arabes et musulmans sont avec toi. Tous les êtres libres du monde sont avec toi. Et nous, les savants musulmans à l’Est et à l’Ouest, sommes avec toi, ainsi que l’ange Gabriel et les vertueux d’entre les croyants, et les anges sont par surcroît un soutien.

Nous sommes tous avec toi, car tu es avec la vérité contre le mensonge; avec la justice contre l’injustice; avec les peuples contre les dictateurs; avec la liberté contre les bourreaux; avec la consultation (shoura) et la démocratie contre ceux qui mènent les peuples par le fouet et les soumettent par la violence.

Ô noble président, avance dans ton chemin droit pour construire la Turquie comme tu veux et comme nous voulons, guidant les gens vers la vérité, les appelant à la raison, soutenant les opprimés et défendant les persécutés.

Nous sommes avec toi. Nous te soutenons et soutenons ton parti et tes partisans. Dieu dit: »Ô vous qui avez cru! Craignez Dieu et soyez avec les véridiques » (9: 119)

Le président turc Erodgan s’est rendu aux Etats-Unis dans le Maryland la semaine dernière pour l’ouverture du plus grand centre religieux du pays. L’édifice, le seul des Etats-Unis sur lequel se dressent deux minarets, a été bâti sur le modèle de l’âge d’or de l’architecture ottomane du XVIe siècle. Le financement de la mosquée du centre s’élève à plus de 110 millions d’euros. Cette visite officielle et ce chef d’oeuvre architectural ont vite laissé place à une nouvelle polémique, relayée notamment par les français.

Le président Erdogan adresse un message fort aux savants et aux musulmans du monde entier. Dans cette vidéo, Erdogan appelle à la responsabilité de chacun face aux différentes tragédies que connaissent les pays musulmans. Préoccupé par le sang qui coule en Palestine et ailleurs, il est grand temps de mettre fin aux divisions, de s’unir, et de combattre fermement l’injustice là où elle se trouve. Le discours du président Erdogan est tellement fort et poignant, qu’il nous était devenu primordial de le traduire. Des paroles qui doivent maintenant laisser place à la méditation, mais surtout à l’action. « S’il n’y avait pas eu de Aksemseddin, il n’y aurait pas eu de Mohamed al-Fatih ».

Qui sont ceux qui trahissent le sermon d’Arafat ? Dans cette vidéo, Recep Tayip Erdogan fustige les ennemis de la Turquie. Il appelle les jeunes turques à soutenir leurs frères musulmans partout dans le monde. Avec ce genre de discours très engagé, on comprend mieux pourquoi ses ennemis sont si nombreux. Havre De Savoir tenait à traduire et sous titrer cette vidéo en français, car le message véhiculé dans le discours est tellement fort, que le public francophone ne pouvait s’en passer. . Enregistrer

Yusuf Al-Qaradawi a vivement dénoncé, lundi 8 décembre, son placement dans la liste rouge d’Interpol à la demande des autorités égyptiennes.Le président de l’Union internationale des savants musulmans, a indiqué n’avoir « jamais tué personne ni incité au meurtre », balayant les accusations qui fondent le mandat d’arrêt égyptien. « Ceux qui ont tué des milliers d’innocents… sont bien connus (mais) ils sont reçus dans les capitales occidentales, la Russie et les Nations Unies comme s’ils étaient présidents sans égard pour la justice ou le droit », a-t-il signifié, en faisant allusion à Abdel Fattah al-Sissi.. Le président turc Recep Erdogan a lui aussi critiqué l’Egypte, à la source de la notice rouge d’Interpol. « Regardez, une personne qui est arrivé au pouvoir par un coup d’Etat donne des instructions à Interpol », a déclaré le chef d’Etat lors d’un conseil religieux à Ankara. Erdogan, grand soutien aux Frères musulmans, avait dénoncé dès les premières heures du renversement de Mohamed…

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a défendu lundi sa décision controversée d’imposer, « quoi qu’on en dise », l’enseignement dans des lycées du turc ottoman, ou turc ancien, écrit avec un alphabet arabe. Le Conseil national de l’éducation turc, composé majoritairement de proches de son gouvernement, a demandé par un vote ce weekend que l’enseignement de la langue ottomane devienne obligatoire dans les lycées religieux, et optionnel dans les autres lycées. Il est nécessaire de renouer « avec nos racines », a souligné M. Erdogan lors d’une réunion religieuse à Ankara. L’ottoman « n’est pas une langue étrangère. C’est une forme de turc qui ne vieillira jamais. Donc il sera enseigné quoi que puissent en dire ses détracteurs », a-t-il ajouté. Mustafa Kemal Ataturk, le fondateur de la Turquie moderne, qui avait imposé une séparation stricte entre religion et Etat, avait remplacé l’alphabet arabe par l’alphabet latin en 1928. Le turc ottoman, ou turc ancien,…

New York, le 25 septembre 2014, à l’occasion de la 69ème session de l’Assemblée générale des Nations Unies, le président turc Recep Tayyip Erdogan s’est exprimé et a dénoncé avec force les injustices dans le monde. Rappelant d’abord le nombre croissant d’enfants tués dans le monde, il a abordé avec insistance le cas de la Palestine et de la Syrie.Rappelant des vérités qui blessent, il a de nouveau condamné le coup d’État égyptien en 2013, visant clairement le dictateur Sissi présent à l’Assemblée. Si le discours à l’ONU en 2006 du regretté Hugo Chavez reste dans les mémoires, celui de Erdogan va lui aussi s’inscrire dans les esprits, critiquant publiquement le fait que les 5 membres permanents de l’ONU sont les seuls à pouvoir prendre réellement des décisions. Il a également demandé de ne pas faire l’amalgame entre terrorisme et islam.

Recruté avant l’inauguration officielle de l’édifice  en avril dernier, l’imam Saïd Nait-Ouaziz de la mosquée de Cannes-La-Bocca, a été licencié pour avoir tenu des propos jugés trop politiques lors du sermon du vendredi du 15 août 2014. On reproche à ce jeune imam d’avoir évoqué la situation en Turquie avec l’élection démocratique du président Erdogan.  Il a également vivement dénoncé l’injustice, le massacre et la tuerie subie par les égyptiens en août 2013 sous les ordres du général Sissi, et critiqué l’accueil qui lui était réservé lors de sa visite à La Mecque, suivi de son entrée au sein de la Kaaba. La réaction ne s’est pas fait attendre, notamment chez le saoudien Saleh Kamel qui a financé la construction de la mosquée à hauteur de 2 millions d’euros. Ce millionnaire saoudien, proche de la famille royale, n’a pas du tout apprécié ce genre de discours et a donc demandé le limogeage…