« Celui qui ne sait pas d’où il vient ne peut savoir où il va ». Cette célèbre et populaire citation illustre l’importance que revêt l’Histoire pour l’Homme. L’héritage de nos parents, de nos ancêtres, de notre ville ou de notre pays sont autant de richesses qui construisent et constituent le propre de l’être humain. Le Coran nous apprend l’importance de l’Histoire : un tiers du Coran relate l’histoire des Prophètes et hommes qui nous ont précédés. Où en sommes-nous, alors, aujourd’hui, dans notre éducation intellectuelle vis à vis de l’apprentissage de l’Histoire ? Cette matière fondamentale fait-elle partie de nos quotidiens ? La considère-t-on comme il se doit dans les parcours scolaires de nos enfants ?
Arrivé en France il y a trois ans, sans parler le moindre mot français, le jeune syrien Haytham Al-Aswad vient d’obtenir son baccalauréat avec la mention bien.
En 2012, il commence par une classe dite d’intégration « avec des Ukrainiens, des Indiens, des Coréens ». Bien loin de sa ville natale de Deraa, où ont débuté les premières manifestations en février 2011.
Ses talents en maths et physique le font remarquer de ses enseignants du lycée Balzac. Et en 2013, il entre en Première S.
Dernièrement, plusieurs polémiques ont surgit concernant l’heure légale pour prier tarawih. Est-ce uniquement après salat Icha ou peut-on la faire aussi avant Icha ? Dans cette vidéo, cheikh Moncef Zenati nous explique qu’il existe effectivement un avis dans l’école juridique Hanafite et également dans l’école Hanbalite, qui permet de prier tarawih juste après salat Maghreb. Cheikh Zenati cite dans cette vidéo les savants de ces écoles qui le permettent, leurs livres et la page où leur avis est exprimé, afin que chaque imam ou étudiant en sciences religieuses puisse aller vérifier par lui-meme. Cheikh Moncef Zenati rappelle néanmoins que cet avis n’est pas l’avis prédominant dans ces écoles. Il appelle également à l’éthique de la divergence et au respect des savants. Car finalement peu importe l’avis que l’on suit, les deux sont corrects et admis. Ce qui est par contre incorrect et inadmissible est qu’une personne prétende à l’exclusivité de…
L’âge n’a jamais été une limite pour les hommes d’action. Dans la mesure de leurs capacités, les personnes âgées peuvent et doivent continuer à contribuer à la vie de la communauté et de la société. Le professeur Hassan Iquioussen nous cite dans cette vidéo quelques exemples de ces héros musulmans qui étaient d’un âge avancé.
« Vois-tu celui qui traite de mensonge le jour du jugement dernier. C’est bien lui qui repousse l’orphelin, et qui n’encourage point à nourrir le pauvre. » (Sourate Al’Ma’un – Versets 1-3) « Celui qui traîte de mensonge le jour du jugement dernier », Qui est-il ? Celui qui ne croit pas ? Il s’agit du croyant qui a les moyens mais qui ne s’occupe pas de l’orphelin, ou de celui qui sans en avoir les moyens , n’incite pas à le faire. Ainsi, le Coran nous enseigne la place de l’orphelin, et l’importance pour le musulman de respecter son droit.
Certains orientalistes attaquent l’islam en prétendant que la religion musulmane s’est répandue par l’épée. Ils avancent notamment que lors de l’expansion de l’Islam et des conquêtes, les musulmans ont imposé leur religion par la force au peuple conquis. Ces accusations sont graves et mensongères. Cependant, il appartient aux Musulmans de démontrer à travers des arguments et des exemples historiques que ces thèses sont infondées. C’est ce que fait le professeur Hassan Iquioussen dans cette vidéo.
Il y a une grande confusion chez les musulmans quant à la définition et la traduction pratique de la Sunna du Prophète (saws). Parmi les actes et habitudes du Prophète (saws), seul ce qui était destiné à montrer l’exemple entre dans le cadre de la Sunna législative. Ce sont ces actes et comportements qu’il est conseillé au musulman de reproduire à travers leur propre comportement.







