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“Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles.” cette maxime de William Shakespeare est plus que jamais d’actualité.

Véronique Genest, appelée aussi Julie l’Escroc, était invitée samedi dernier sur le plateau de l’émission « On n’est pas couché », présentée par Laurent Ruquier sur France 2.

La formation du groupe fait partie les rites de l’islam. Depuis la constitution de la société musulmane, la mosquée est le pivot de son activité et le lieu de rencontre de ses membres, dans lequel les visages et les mains se saluent, et dans lequel ils se retrouvent dans l’amour et la coopération.

Les croyants se tiennent en rangs, devant Dieu, pied contre-pied, épaule contre épaule, embellis par l’humilité qu’ils éprouvent en écoutant le Coran (…)

Il n’y a rien dans l’islam qui interdit d’attribuer à la femme une autorité sur elle-même ou sur autre qu’elle, qu’il s’agisse de l’autorité individuelle ou collective. Aucun texte coranique ne prive la femme de cette autorité. Au contraire les versets coraniques énoncent expressément l’égalité entre les hommes et les femmes en ce qui concerne l’exercice de l’autorité.

Dieu dit : « Les croyants et les croyantes sont alliés les uns aux autres. Ils commandent le convenable, interdisent le blâmable » (9 :71). Ainsi, les croyants et les croyantes sont aussi responsables les uns que les autres.

L’adoration d’Allah est la raison de notre création et elle est le fondement premier de notre mission sur terre : « Et Je n’ai créé les djinns et les Hommes que pour M’adorez ».

Allah a instauré Son adoration pour notre bien, car elle nous aidera à atteindre la piété qui nous permet d’éviter les péchés et les mauvais comportements ; nous atteindrons ainsi la satisfaction d’Allah et le paradis.

Les mouvements révolutionnaires du sud de la méditerranée ont ramené vers nos rivages un terme que certains utilisent pour effrayer : le mot « Charia ».

Pour certains, il est synonyme: de lapidation des femmes, de sections de bras, de restrictions de libertés. Pourtant, le mot shari’a utilisé par les Arabes signifie : point d’eau d’où les personnes puisaient l’eau pour épancher leur soif et duquel les animaux s’abreuvaient.

De plus le mot shari’a désigne un concept spécifique, celui d’un cours d’eau qui ne tarit jamais.

Le musulman est perdant s’il ne dépense pas son temps dans l’obéissance, même s’il ne le dépense pas dans le péché.

Que dire alors de celui qui dépense son temps dans les voies de la désobéi- ssance ?! Que dire, s’il le dépense dans les voies des choses répréhensi- bles qui mènent aux choses douteuses ; les choses douteuses mènent aux péchés mineurs ; les péchés mineurs mènent aux péchés majeurs ; et les péchés majeurs mènent à l’incroyance. »

La femme musulmane représente l’objet de tous les fantasmes en Europe, tout particulièrement en France.

Stigmatisée de toutes parts, des représentants politiques aux donneurs de leçons tous bords confondus en passant par les médias: la femme musulmane serait de surcroit une femme « soumise », considérée comme une « mineure » de par le poids des traditions culturelles et familiales (…)

Il s’agit dans ce chapitre de parler de leur existence, de leurs caractéristi- ques et de la fonction de certains d’entre eux. Les textes notoires « moutawatir » émanant du Coran et le Sunna prouvent d’une manière catégorique et irréfutable leur existence.

Dieu dit : « Le Messager a cru en ce qu’on a fait descendre vers lui venant de Son Seigneur, et aussi les croyants : tous ont cru en Allah, en Ses anges à Ses livres et en Ses Messagers » (2 :285).