Tag

compagnon

Browsing

La parole de l’unicité pure (al kalimat ul ikhlâs) comporte des bienfaits immenses qu’il serait impossible d’énumérer dans leur totalité, nous n’en citerons que quelques-uns : 1 – C’est la parole de piété, comme l’ont dit ‘Umar [Ibn Al Khattâb] (qu’Allah soit satisfait de Lui) et bien d’autres. 2 – C’est la parole de sincérité, de l’attestation et de l’appel à La Vérité, du désaveu de l’association et de sa délivrance. Et c’est la raison première de la création. Allah dit : « Je n’ai créé les génies et les hommes que pour qu’ils M’adorent » [Sourate51 – Verset 56]. 3 – C’est pour cette parole également que les Messagers ont été envoyés et que les Livres ont été révélés. Allah dit : « Et nous n’avons envoyé avant toi aucun Messager à qui Nous n’ayons révélé : « Point de divinité en dehors de Moi. Adorez-Moi donc. ». »…

Les deux derniers hadiths, isolés de l’ensemble des hadiths évoquant le jeûne du jour de ‘Ashoura, laisseraient entendre deux choses historiquement fausses. La première, c’est que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, n’observait pas le jeûne de ‘Ashoura avant l’arrivée à Médine. C’est en voyant les juifs jeûner ce jour que le Prophète, que la Paix et la Bénédiction de Dieu soit sur lui, ordonna de le jeûner.

Depuis quelques temps, on voit apparaître sur internet une véritable cabale contre Mu’awiya Ibn Abi sufyan, le compagnon du Prophète Muhammad (saws). Ces attaques sont pour la plupart mensongères comme le démontre cheikh Moncef Zenati dans cette vidéo. L’hypocrisie de ces attaques vise à nous faire croire que si on ne critique pas Mu’awiya, on considère qu’il est infaillible et qu’il n’a jamais fait d’erreurs. Certes Mu’awiya a fait des erreurs, et cela fait unanimité chez les savants de l’orthodoxie sunnite. Malgré ses erreurs, on ne peut nier que Mu’awiya a également beaucoup de qualités. Ces mensonges visant Mu’awiya sont basés sur des hadiths faibles ou totalement déformés dans le but de le salir. Et cela démontre la perversion intellectuelle des personnes qui essayent de le salir à tout prix. La haine qu’ils portent à ce noble compagnon leur enlève toute objectivité.

Le Prophète (saws) à dit à ses compagnons : « Celui qui achètera le puits d’al-Ruma entrera au paradis ». Dans cette vidéo, Moncef Zenati nous raconte l’histoire du puits du compagnon ‘Othman Ibn ‘Affan qui va faire une transaction très stratégique pour gagner le Paradis. Cette vidéo a été tournée devant la mosquée du Prophète Mohammed (saws) à Médine lors de la Omra organisée par Havre De Savoir en Février 2014. Moncef Zenati est titulaire d’une maîtrise en sciences islamiques, et professeur à l’Institut Européen des Sciences Humaines de Château-Chinon et auteur de nombreux livres dont : « La sunna : mode d’emploi ».

Les compagnons du Prophète (saws) étaient la meilleure génération sur terre. Ils sont le premier maillon de la chaîne de la transmission des hadiths. Il nous convient donc de nous arrêter un moment et de définir qu’est-ce qu’un compagnon et quelles sont les caractéristiques des compagnons. Moncef Zenati : Titulaire d’une maîtrise en sciences islamiques, professeur à l’Institut Européen des Sciences Humaines de Château-Chinon et auteur de nombreux livres dont : « Les sciences du hadith ».

Nous avons accueilli, il y a quelques jours, le mois de Sha’ban ; le mois qui précède le Ramadan. C’était pendant ce mois que le Prophète (saws) jeûnait le plus. Ousama ibn Zeyd (rad) dit un jour au Prophète (saws) :

« Ô Messager de Dieu ! Je ne t’ai jamais vu jeûner pendant un mois comme tu jeûnes pendant Sha’ban ? » Il dit : « C’est à mois que les gens négligent. Situé entre Rajab et Ramadan, c’est un mois pendant le quel les œuvres…

Il est de notre devoir d’attirer l’attention sur la nécessité de définir certaines notions et d’éclaircir les termes qui suscitent une certaine polémique, en évitant les détails qui ont fait l’objet de plusieurs ouvrages spécifiques. Je tiens donc à tirer l’attention sur les points suivants :

Il est nécessaire de faire la distinction entre le sens littéral de l’innovation « bid’a » et son sens terminologique. En effet, l’innovation au sens littéral du terme ne constitue pas forcément une cause d’égarement menant à l’Enfer.

Nous sommes au sixième siècle du calendrier grégorien, en plein cœur de l’Arabie, dans une ville nommée La Mecque. Située au milieu du désert du Hijaz à quatre vingt kilomètres de la mer rouge, cette ville entourée de petites montagnes et parsemées de palmiers possède l’un des climats les plus chauds du monde.

Déjà à l’époque, la Mecque était une ville sainte et qui représentait tout ce qu’il y avait de plus sacré chez les arabes. Ce fut le cas depuis la …