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Le mérite des dix premiers jours de Dhoul Hijja Al-Boukhari rapporte d’après Ibn ‘Abbas, que Dieu l’agrée, que le Prophète (BDSL) dit : « Il n’y a pas de jours où les actions de bien sont plus aimés de Dieu que ces jours (c’est-à-dire les dix premiers jours de Dhoul Hijja) ». Al-imam Ahmed rapporte d’après Ibn ‘Omar, que Dieu l’agrée, que le Prophète (BDSL) dit : « Il n’y a pas de jours où l’action est plus méritoire et plus aimée de Dieu que ces dix jours. Pendant ces jours, faites le « tahlil » (dire « la ilaha illal-lah »), le « takbir » (dire « allahou akbar ») et le « tahmid » (dire « al-hamdou lil-lah ») en abondance ». Ibn Hibban rapporte d’après Jabir ibn ‘Abdillah, que le Prophète (BDSL) dit : « Le meilleur jour de l’année est le jour de ‘Arafat ». Les actions recommandées durant ces dix jours 1- Accomplir le Pèlerinage et la ‘Omra. Il s’agit là de la meilleure des actions conformément à plusieurs…

Le nom « hijra », du verbe « hajara » signifie émigration, exode. A chaque fois qu’un prophète exalta son peuple à adorer un Dieu unique sans rien lui associer, une partie adoptait une attitude belliqueuse envers ce dernier et l’excluait de sa ville.

C’est le 15 juillet 622 de notre ère que le verset de l’hégire fut révélé. Il incita les musulmans à quitter la Mecque pour s’installer à Médine. Cette date correspond aussi au début du calendrier musulman, l’an 1 de l’ère islamique…

Prêche de l’imâm ‘Abdul Qadîr al-Jîlânî sur le renoncement à ce bas monde :

Ô gens, œuvrez [en accomplissant les devoirs et en évitant les interdits] ! Accomplissez les actes du cœur, purifiez-le et soyez sincères !

La connaissance de Allah ‘azza wa jall est le fondement de la Religion. Votre bas-monde a aveuglé vos cœurs de sorte que vous ne pouvez rien voir à cause de lui !

« Est-ce-que j’ai le droit de ne pas aller en cours pour aller prier al-Joumou’a ? » est la question qui a été posée à cheikh Moncef Zenati lors de la ‘omra Havre De Savoir en décembre 2014. Il est vrai que beaucoup de jeunes étudiants se posent cette question car la prière du Joumou’a est une obligation. Celui qui ne l’accomplit pas sans excuse valable et avec négligence tombe dans un péché, et Allah lui scelle le cœur, conformément au hadith. Seulement, étudier ou travailler dans un pays non-musulman est une excuse valable, puisqu’il est demandé au musulman de s’investir, de s’accomplir et de ne pas rester dans l’oisiveté. Le comportement de ceux qui disent « je ne travaille pas pour pouvoir accomplir mes prières » n’est pas un comportement islamique.

Il est de notre devoir d’attirer l’attention sur la nécessité de définir certaines notions et d’éclaircir les termes qui suscitent une certaine polémique, en évitant les détails qui ont fait l’objet de plusieurs ouvrages spécifiques. Je tiens donc à tirer l’attention sur les points suivants :

Il est nécessaire de faire la distinction entre le sens littéral de l’innovation « bid’a » et son sens terminologique. En effet, l’innovation au sens littéral du terme ne constitue pas forcément une cause d’égarement menant à l’Enfer.

En décrivant les pieux, Dieu dit : « Les pieux seront dans des jardins et parmi des sources, recevant de leur Seigneur ce qu’Il leur aura donné. Car ils ont été auparavant des bienfaisants. Ils dormaient peu la nuit, et aux dernières heures de la nuit, ils imploraient le Pardon de Dieu » (51 : 15 – 18)

Aujourd’hui tiraillé par un mercantilisme généralisé ou la consommation à outrance devient le salut ultime, ou le paraître prend le dessus sur l’être, ou la fin justifie les moyens, il est du devoir de chacun de remettre l’homme au centre de la question.

Comment ne pas rester indifférent en ces temps de crise financière, depuis les Etats-Unis ou le modèle du « American way of life  » est profondément remis en cause avec la crise des sub-primes jusqu’en Europe qui porte le boulet du mauvais élève Grecque berceau de la démocratie.