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Le nom « hijra », du verbe « hajara » signifie émigration, exode. A chaque fois qu’un prophète exalta son peuple à adorer un Dieu unique sans rien lui associer, une partie adoptait une attitude belliqueuse envers ce dernier et l’excluait de sa ville.

C’est le 15 juillet 622 de notre ère que le verset de l’hégire fut révélé. Il incita les musulmans à quitter la Mecque pour s’installer à Médine. Cette date correspond aussi au début du calendrier musulman, l’an 1 de l’ère islamique…

Jamais je n’ai connu d’hospitalité aussi sincère, de fraternité aussi bouleversante que celles des hommes et de femmes de toutes races réunis sur cette vieille Terre Sainte, patrie d’Abraham, de Mohamed et des autres prophètes des Saintes Ecritures. Jamais je n’ai été honoré comme ici. Jamais je ne me suis senti plus humble et plus digne.

L’Amérique a besoin de comprendre l’islam, parce que c’est la seule religion

Les musulmans célèbrent deux fêtes principales dans l’année : « ‘Aïd à al-fitr » (la fête de la rupture du jeûne annonçant la fin du mois de Ramadan) et « ‘Aïd al-adha » (la fête du sacrifice en commémoration du sacrifice du prophète Ibrahim, que la Paix de Dieu soit sur lui). Mais les fêtes en islam ne sont pas de simples occasions pour organiser des cérémonies festives ou pour se réunir autour d’un festin bien que cela en fasse partie. En effet, au-delà de leur dimension festive, l’islam vise à réaliser à travers ces deux fêtes des objectifs d’ordre spirituel et humanitaire. Dimension spirituelle de l’Aïd La dimension spirituelle se manifeste à travers l’Aïd dans la mesure où cette fête commence par la célébration de la Prière, par le « takbir » (dire allahou akbar », le « tahlil » (dire la ilaha illallah), le « tahmid » (dire al-hamou lillah). La fête de l’Aïd en islam est ornée d’invocations. Les…

Le Prophète (saws) a accomplit sa mission car il était le symbole de la délicatesse et de la douceur. Son entourage en témoigne, à commencer par les femmes qui l’ont accompagné dans sa mission prophétique. Il est comme Allah le décrit une miséricorde pour l’humanité, une miséricorde qui s’est manifestée par un comportement exemplaire envers les femmes. Dans une société et une époque qui n’accordaient que très peu, voire aucune importance aux femmes, l’islam est venu lui redonner ses droits et lui permettre de s’accomplir.

Lors des rites du petit et du grand pèlerinage, il fait partie de la sunna pour l’homme de courir entre deux repères se situant entre le mont Safa et le mont Marwa. Cette sunna ne concerne pas les femmes. Il ne s’agit en fait pas d’une interdiction pour les femmes, cela ne fait simplement pas partie de la sunna pour elles. La question est plutôt : pourquoi les hommes doivent-ils courir ? Cette pratique est lié à un événement apparenté à une démonstration de force à l’époque du Prophète (saws). Découvrez l’histoire de cet épisode et de cette pratique devenue un acte cultuel pour tous les pèlerins jusqu’à aujourd’hui.

Etant donnée la place réservée aujourd’hui à la femme dans certains pays, et l’attribution à tort, à l’Islam, de plusieurs injustices commises à son égard, il est intéressant de connaître quels étaient la place et rôle de la femme dans la Sira du Prophète (saws). La vérité sur la place de la femme en politique, dans le domaine scientifique, de la prédication et dans le djihad doit être rétablie. Cheikh Moncef Zenati, à travers des exemples pratiques présente plusieurs portraits féminins et décrit leur rôle dans la Sira du Prophète (saws). Khadija, ‘Aicha, ou Noussayba… Découvrez les histoires de ces femmes hors du commun.