Parce que c’est un journal qui se drape dans la liberté d’expression, uniquement lorsqu’elle sert ses intérêts, je ne peux être solidaire de Charlie Hebdo.
C’est à se demander devant les provocations que ne cesse de diffuser ce journal, si la liberté supporte encore des limites. La réponse et certes oui, mais ces limites sont dictées par la loi et force est de constater que l’islamophobie ne jouit pas, à titre de comparaison, du même statut que l’antisémitisme.