Les structures de beaucoup d’associations musulmanes sont fragiles, et leur proximité des jeunes faible. Ces jeunes éprouvent toujours une grande fierté de disposer d’une belle mosquée car il est des fiertés profondes, spirituelles que rien ne peut rempla- cer.
Il est plus que temps que le relais leur soit passé, progressivement et avec confiance. Le propos n’est bien sûr pas de congédier les bâtisseurs et les pionniers, mais plutôt qu’ils s’investissent pour léguer cet héritage aux générations montantes…