La règle en matière des Attributs Divins, est que Dieu « Allah » possède toutes les qualités de la perfection, et est exempt de toute imperfection ou insuffisance. La divinité de Dieu exige qu’Il soit doté de la perfection absolue.
Les Attributs de Dieu sont divisés en quatre catégories :
L’Attribut d’essence (as-sifa an-nafsiyya), les Attributs négatifs (sa-sifat as-salbiyya), les Attributs entitatifs (sifat al-ma’ani) et les Attributs intelligibles (as-sifat al-ma’nawiyya)
I. L’Attribut d’essence (as-sifa an-nafsiyya):
Cette catégorie ne contient qu’un seul Attribut à savoir l’Existence « al-woujoud ». C’est un attribut d’identification qui définit une essence propre.
Il y a deux sortes d’existence :
a) Une existence propre et indépendante : L’Existence de Dieu est une existence propre qui ne dépend pas d’une cause extérieure. L’une des caractéristiques de cette existence est qu’elle ne peut être réduite au néant.
b) Une existence dépendante d’une autre existence et d’un facteur étranger. L’une des caractéristiques de cette existence est qu’elle se situe obligatoirement entre deux néants : précédant et futur.
Seule l’Existence de Dieu est une existence propre et indépendante. Toute autre existence est dépendante.
II. Les Attributs négatifs (as-sifat as-salbiyya) :
C’est une catégorie qui consiste à exclure de Dieu toute imperfection. Cette catégorie comporte les cinq Attributs suivants :
- L’Unicité (al-wihdaniyya) :
Qui exclut l’existence d’un être semblable par Son Essence, Ses attributs et Ses actes.
a) L’Unicité de l’Essence (wihdaniyyat adh-dhat) :
C’est-à-dire qu’il ne peut exister un être semblable à Dieu par son essence. C’est-à-dire également que l’Essence de Dieu est indivisible. Dieu est unique dans son entité. Dieu n’est pas un tout constitué de parties, ni un ensemble constitué de d’éléments. Par exemple, l’humain est un nom donné à un genre constitué d’individus. Chaque individu est appelé humain. Dieu se distingue de l’ensemble des créatures qui toutes peuvent être dénombrées ou classées en genres et en espèces. La notion de l’unicité de Dieu interdit toutes les formes de représentation dualistes ou trinitaires de la divinité. Dieu dit : « Dis : « Il est Allah, Unique » » (112 : 1)
b) L’Unicité des actes (wihdaniyyat al-af’al) :
C’est-à-dire que Dieu est unique par Ses actes. Il est l’unique souverain et Celui qui administre les affaires de Ses créatures. C’est Lui le Seul Créateur, le Roi absolu, Celui qui donne la vie, Celui qui la reprend, le Seul qui a le pouvoir d’attribuer un profit ou un dommage, Celui qui exauce les vœux, Celui qui donne et qui interdit, Celui qui détient l’ordre de l’univers.
En d’autres termes, c’est de reconnaître que Dieu est l’Agent absolu dans l’univers, qu’il s’agisse de la création, de l‘administration, de la transformation, du pouvoir de vie ou de mort ou des autres actes. Nul ne s’associe à Lui dans la réalisation de Ses actions.
c) L’Unicité de l’adoration (wihdaniyyat al-‘ibada) :
Cela signifie d’une façon globale, croire fermement que Allah véritablement le Seul Dieu (ilah), qu’il n’y pas de divinité en dehors de Lui et de Lui vouer exclusivement toute forme d’adoration.
Le mot arabe (ilah) est synonyme de (ma’louh) qui signifie : celui qui est adoré. L’adoration signifie au sens propre : la soumission (al-inqiyad), l’humilité (at-tadhalloul) et obéissance ( al-khoudhou’). Certains savants l’ont défini comme étant « la plénitude de l’amour conjuguée à la plénitude de l’obéissance ».
La reconnaissance de l’unicité de l’adoration est basée sur la sincérité dans toutes les formes d’adoration au sens que toute adoration qu’elle soit apparente ou cachée doit être exclusivement vouée à Dieu.
C’est pour établir cet aspect du monothéisme que Dieu a envoyé Ses prophètes et a fait descendre Ses Livres. Dieu dit « Nous avons envoyé dans chaque communauté un Messager, pour leur dire : « Adorez Allah et écartez-vous du taghout (toute fausse divinité) » (16 36).
« Et Nous n’avons envoyé avant toi aucun Messager à qui Nous n’ayons révélé : « Point de divinité en dehors de Moi. Adorez-moi donc » (21 : 25)
Dieu nous rapporte que Ses Messagers Nouh, Houd, Salih et Chou’ayb ont tous transmis à leurs peuples respectifs cette parole : « Ô mon peuple ! Adorez Allah. Vous n’avez pas d’autre divinité en dehors de Lui » (23 : 23, 11 :61, 7 :65).
Les exigences de l’unicité de l’adoration :
- Aimer Dieu au-dessus de toute chose. Dieu : « Parmi les hommes, il en est qui prennent, en dehors d’Allah, des égaux à Lui, en les aimant comme on aime Allah. Or les croyants sont les plus ardents dans l’amour de Dieu » (2 : 165).
- N’implorer que Dieu, ne s’en remettre qu’à Dieu, et n’espérer qu’en Dieu dans tout ce qui est du domaine exclusif de Dieu. Dieu dit : « et n’invoque pas, en dehors d’Allah, ce qui ne peut te profiter ni te nuire. Et si tu le fais, tu seras alors du nombre des injustes » (10 : 106). « Et c’est en Allah qu’il faut avoir confiance, si vous êtes croyants » (5 : 23). « Certes, ceux qui ont cru, émigré et lutté dans la voie d’Allah, ceux-là espèrent la miséricorde d’Allah. Et Allah est Pardonner et Miséricordieux » (2 : 218).
- Ne craindre que Dieu. Croire que certaines créatures peuvent de par leur propre volonté et leur propre pouvoir est une forme de polythéisme. Dieu dit : « Ne craignez donc que Moi » (16 : 51), « Et si Allah fait qu’un mal te touche, nul ne peut l’écarter en dehors de Lui. Et s’Il te veut un bien, nul ne peut repousser sa grâce. Il en gratifie qui Il veut parmi Ses serviteurs. Et c’est Lui le Pardonneur, le Miséricordieux » (10 : 107). Il faut distinguer ici la peur qui constitue une forme d’adoration de la peur innée. La première consiste à croire fermement que seul Dieu détient le pouvoir de te nuire et que nul autre n’a le pouvoir de t’attribuer un bien ou un dommage. L’un de ses signes consiste à ce que le cœur soit pris de peur à chaque fois que le nom de celui dont on a peur est évoqué. Quant à la peur innée à la vue d’un animal féroce ou d’une arme, il s’agit d’une peur naturelle qui traverse le cœur au moment du danger sans incidence sur le principe de l’unicité de Dieu.
- Vouer toute forme d’adoration, qu’elle soit physique (Salat, prosternation, jeûne, sacrifice, circumambulation (tawaf…) ou verbale (vœu, invocation, imploration du pardon…), exclusivement à Dieu. Dieu dit : « Certes, Allah ne pardonne pas qu’on Lui donne quelque associé. A part cela, Il pardonne à qui Il veut. Mais quiconque donne à Allah quelque associé commet un énorme péché » (4 : 48).
d) L’Unicité des Attributs (wihdaniyyat as-sifat) :
Il s’agit de reconnaître que Dieu est Unique par Ses attributs.
Les savants divisent les attributs de Dieu en deux catégories : les attributs rationnels et les attributs textuels.
Les attributs rationnels « as-sifat al-‘aqliyya » : Les attributs dits rationnels sont les attributs que la raison conçoit tout à fait tels que l’existence, l’unicité, l’autosuffisance, la dissemblance avec les contingents, la vie, la science, la vue, la parole … Elle ne pourrait concevoir que Dieu en soit totalement ou partiellement dénué. Cette catégorie d’attributs n’est pas sujette à l’interprétation « ta-wil ». Nous devons donc y croire sans faire preuve d’anthropomorphisme et sans en définir le « comment ».
La « ta-wil » étant le fait de donner à un mot un sens différent de sa signification littérale, et ce, pour une raison juridiquement valable.
Quant à l’anthropomorphisme, il s’agit d’une tendance à attribuer à Dieu des caractéristiques propres à l’homme, à concevoir Dieu à l’image des hommes, à établir une ressemblance entre Dieu et Ses créatures.
Les attributs textuels « as-sifat al-khabariyya » : Les attributs textuels correspondent aux attributs dont la connaissance est exclusivement puisée dans les textes sans lesquels la raison n’aurait pu concevoir. Il s’agit des attributs dont la signification littérale laisse entendre une certaine ressemblance entre Dieu et Ses créatures tels que la main, les yeux, la descente, l’établissement sur le trône … etc.
La majorité des savants représentant l’orthodoxie musulmane « alh as-sunna » comprennent les attributs textuels en ayant recours à l’interprétation et à la Métaphore. Ainsi, la main désigne métaphoriquement le pouvoir ou la générosité, les yeux correspondent à la vue ou à l’attention, la face correspond à l’essence divine, l’établissement désigne la dominance …
Certains savants issus de l’école hanbalite interdisent le recours à l’interprétation « ta-wil ». Par conséquent, il faut comprendre les attributs textuels au sens littéral en évitant tout anthropomorphisme. Par exemple : Dieu a une main au sens littéral, mais différente de la main humaine ; une main qui correspond à Sa perfection. Il s’agit donc de reconnaître le sens en remettant le « comment » à Dieu.
L’important est que les deux tendances s’accordent à dire que Dieu ne ressemble en rien à Ses créatures et qu’Il est exempt de toute imperfection et de toute insuffisance. Ceci est un fondement qui fait l’objet d’un consensus. Quant à l’interprétation ou pas des attributs textuels, ceci fait partie des ramifications de la foi et non pas des fondements. Or, la divergence au sujet des ramifications ne pourrait mettre en cause la validité de la foi.
e) L’Unicité du pouvoir de légiférer (wihdaniyyatoul-houkm) :
C’est-à-dire que seul Dieu est en mesure de légiférer des lois traçant le mode de vie des gens. Il est le Seul à déterminer les éléments de leur croyance et les règles qui orientent leur comportement. Il n’appartient à personne, en dehors de Lui, de contredire ne serait-ce qu’une partie de cela ou de légiférer des lois d’une manière indépendante. Et si la raison fournit un effort de réflexion pour déduire les prescriptions juridiques en l’absence du texte, c’est à titre de la recherche de ce que Dieu a légiféré à la lumière des finalités et des règles mentionnées dans les textes. Il ne s’agit donc d’un raisonnement rationnel pour aboutir à la Loi divine. C’est là le sens du verset : « Le jugement n’appartient qu’à Dieu » (les bestiaux : 57)
2- L’Eternité (al-qidam) :
Qui exclut la non-existence antérieure. C’est-à-dire qu’il n’y a pas de début à l’existence de Dieu. Dieu dit : « C’est Lui le Premier et le Dernier » (57 :3). « Premier » signifie celui dont l’existence n’a pas de début. Si Dieu avait été précédé par le néant, Il aurait eu besoin d’un créateur pour exister, ce qui est inimaginable concernant Dieu.
3- La Permanence (al-baqa) :
Qui exclut la non-existence dans l’avenir. Cela signifie que Dieu n’a pas de fin. Il ne peut donc disparaître. « C’est Lui le Premier et le Dernier » (57 :3). De la même façon qu’il est impossible de concevoir une cause pour l’existence de Dieu, il est impossible de concevoir une cause pour le faire disparaître.
Ce qui n’a pas de commencement est éternel
4- L’Autosuffisance (al-qiyamou bidh-dhat) :
Qui exclut tout le besoin d’un sujet ou d’un principe déterminant. C’est-à-dire que Dieu n’a pas besoin d’une cause pour exister, ni de quiconque pour subvenir à Ses besoins. Dieu se passe de tout autre que Lui. Dieu dit : « Dis : Allah, l’Absolue « as-samad » (112 : 2). Le terme arabe « as-samad » signifie que Dieu est le maître éternel et parfait, se suffisant à Lui-même, ne dépendant d’aucun des éléments de Sa création, mais assurant Seul les besoins de Ses créatures. Il n’a donc besoin de rien, alors que toute chose a besoin de Lui.
5- La dissemblance avec les contingents (al-moukhalafatou lil-hawadith) :
Qui exclut la matérialité, l’accident et les caractères qui leur sont propres. C’est-à-dire qu’il est impossible que Dieu ressemble aux contingents par Son entité, par Ses attributs et par Ses actes. Cela signifie également que Dieu est exempt de tous les états et les contraintes qui saisissent l’être humain ou les autres créatures comme le sommeil, la fatigue, la distraction , la négligence, la faim, la soif, le besoin et autres états psychiques et physiques ; « Rien ne Lui ressemble » (42 : 11), « Et nul n’est égal à Lui » (112 : 4).
De ce fait, Dieu ne peut avoir de corps matériel, car prétendre cela (comme les corporéistes « moujassima »)
a) C’est prétendre que Dieu est long, large, profond…
b) Ou alors, il dit que Dieu est corps sans lui reconnaître les caractéristiques du corps !
On pourrait se poser la question suivante : L’être humain possède des attributs qui sont communs avec ceux de Dieu comme la science, la volonté, l’ouïe, la vue et autres, ceci n’est-il pas en contradiction avec la dissemblance absolue de Dieu avec Ses contingents ?
La réponse est que l’être humain ne partage en rien les attributs de Dieu pour les deux raisons suivantes :
a) Le « comment » des qualités humaines est totalement différent du « comment » des attributs divins. Le seul point de ressemblance est la correspondance des termes.
b) Les attributs de Dieu sont des attributs propres qui sont inhérents à l’essence divine. Quant aux qualités de l’être humain, elles ne lui sont pas propres (l’homme n’a pas choisi d’avoir une volonté), elles ne sont qu’en vérité, qu’un don divin.
III. Les attributs entitatifs (sifat al-ma’ani) :
Une catégorie d’Attributs, réels et inhérents à l’Essence divine, qui sont au nombre de sept :
1) La Science (al-‘ilm):
C’est un attribut par lequel Dieu dévoile les choses en ayant à leurs sujets une connaissance parfaite avant, pendant et après leur existence. Cet attribut n’a pas d’influence sur les choses. « Allah est Omniscient » (58 : 7)
La science de Dieu est englobante par son universalisme.
2) La Volonté (al-irada) :
C’est un attribut de Dieu donnant aux choses des particularités qui leur conviennent comme l’existence, la disparition ou le changement. La raison admet intuitivement cet attribut car si Dieu en était privé, Il serait contraint, ce qui est impossible concernant Dieu.
La volonté de Dieu s’applique à tout ce qui est. Rien ne s’impose à Dieu.
3) La Puissance (al-qoudra) :
C’est un attribut par lequel Dieu crée, fait disparaître, modifie toute chose selon sa volonté. Dieu n’a besoin pour cela d’aucun instrument ou moyen ni d’une cause. Si Dieu était incapable de réaliser ce qu’il veut, Sa puissance serait limitée. Dieu dit : « Et Allah est Omnipotent » (5 : 17)
Il y a deux sortes de puissance :
- Puissance éternelle : Celle de Dieu.
- Puissance adventice : la puissance humaine. La puissance humaine est capable d’acquérir uniquement alors que la puissance de Dieu peut créer à partir du néant.
4) L’Ouïe (as-sam’ou) :
C’est un attribut par lequel se découvrent toutes les choses audibles sans imagination, ni réaction d’un sens, ni réception d’ondes. Si Dieu ne possédait pas cet attribut, la surdité Lui serait attribuée, ce qui est impossible concernant Dieu. « Allah a bien entendu la parole de celle qui discute avec toi … » (58 :1)
5) La Vue (al-Basar) :
C’est un attribut par le quel se découvrent les choses visibles sans imagination, ni réaction d’un sens et ni réception de rayon.
6) La Parole (al-kalam) :
C’est un attribut par lequel Dieu prescrit, proscrit ou informe. Abou Hanifa dit : « Dieu parle différemment de nous. Nous nous parlons au moyen de dispositifs permettant d’émettre des sons et des lettres. Quant à Dieu, Sa parole ne se compose pas de lettres ni de sons ».
Quant à la façon dont Dieu transmet Son verbe à l’Ange Gabriel où à l’homme ou à quelqu’un d’autre, nous ne la connaissons guère car rien n’est venu l’indiquer ou l’expliquer d’une façon précise. Dieu dit : « Et Allah parla de vive voix à Moïse » (4 :164)
La parole de Dieu est incréée. Pour les mou’tazilites, c’est une création de Dieu.
L’avis des mou’tazilites n’a pas de sens car Dieu dit pour qu’une chose soit « kun » (sois) et elle est. Or, « kun » est Sa parole et le Coran aussi. Aurait-il dit à sa parole (Coran) d’être par sa parole « kun » ? Dieu aurait donc deux paroles ?
Pour les ash’arites la parole se divise en deux sortes: la parole interne (kalam nafsi), et la parole externe, formulée par des mots (kalam lafdhi). Ainsi, la parole émane du cœur alors que le sens sort de la langue. Dieu dit : « … et disent en eux-mêmes » (la discussion : 8)
Ainsi, pour les ash’arites la parole incréée de Dieu correspond à la parole interne (nafsi), et ce que nous récitons forment une succession de sons et de lettres dans un ordre précis, il s’agit donc d’une création. C’est également l’avis d’as-Shafi’i.
7) La vie (al-hayat) :
C’est attribut duquel résultent tous les autres attributs de Dieu. Dieu dit : « Allah ! Point de divinité à part Lui, le Vivant, celui qui subsiste par Lui-même » (2 :255). La vie de Dieu est une vie qui convient à sa grandeur et qui ne ressemble en rien à la vie d’aucune créature.
IV. Les attributs qualificatifs « as-sifat al-ma’nawiyya » :
Une catégorie d’Attributs appartenant à l’Essence divine indissociables des Attributs entitatifs et consistant en ce que Dieu « Allah » est Savant, Voulant, Puissant, Auditant, Voyant, Parlant et Vivant.
Les sunnites appellent « sifat » les entités (vie, science ….) dont Dieu est sensé tenir les qualificatifs correspondant (vivant, savant …)
Les attributs de Dieu sont les entités éternelles en l’Essence de Dieu. Ainsi, Dieu est Savant du fait d’une « entité science » en Lui. Puissant du fait d’une « entité puissance » en Lui. Vivant du fait d’une « entité vie » en Lui.
Le nom de Dieu est identique au nommé.
Ces attributs appartiennent au domaine du « nécessaire ». C’est-à-dire que Dieu est nécessairement doté de ces attributs. La raison ne peut concevoir que Dieu soit dénue de l’un de ces attributs. Rationnellement, Dieu ne pout être Dieu sans ces attributs.
Les attributs impossibles au sujet de Dieu :
1- La non-existence (al-‘adam)
2- L’adventice ou la contingence (al-houdouth)
3- L’extinction (al-fana)
4- La ressemblance avec les contingents (al-moushabahatou lil-hawadith)
5- Le besoin d’autrui (ihtiyajouhou lighayrih)
6- La pluralité (at-ta’addoud)
7- L’impuissance (al-‘ajz)
8- La contrainte (al-ikrah)
9- La mort (al-mawt)
10- La surdité (as-samam)
11- La cécité (al-’ama)
12- Le mutisme (al-boukm)
Moncef Zenati