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La question des souffrances du mort dans la tombe pour les actes commis par ceux qui l’entourent amène beaucoup d’interrogations. La première : est-ce que le mort va être puni pour les pleurs exagérés des vivants ? Il ne s’agit pas, ici, des pleurs naturels qui reflètent la tristesse humaine et légitime d’avoir perdu un être cher, mais il existait, par exemple, des personnes payées pour venir pleurer sur les tombes. La deuxième: est-ce que le mort entend-il les souffrances des morts enterrés à côté de lui ? Nous entendons chez nous quand il y a du bruit chez nos voisins, qu’en est-il des personnes enterrées côte à côte ? La troisième question qui peut-être posée est, qu’en est-il de la personne que l’on tarde à enterrer ? Dans cette vidéo, Cheikh Othmane Iquioussen nous donne des arguments tirés du Coran et des hadith pour répondre à ces questions.

La religion musulmane nous préconise d’avoir le meilleur comportement avec autrui. D’ailleurs, il n’est pas rare que des passages du coran ou des hadiths du prophète (saws) évoquent cela. Pour autant, il peut arriver que l’être humain vive au cours de sa vie des situations problématiques, douloureuses ou conflictuelles avec sa famille, ses amis, son entourage. Alors en tant que croyant, comment réagir de la meilleure des manières lorsque nous vivons une situation complexe avec autrui ? Ai-je le droit de rompre les liens avec mon entourage ? Dans quel cas puis-je mettre de la distance avec ma famille si celle-ci semble me causer du tort? Est-il permis de rester en mauvais terme indéfiniment avec une personne? À la lumière d’une histoire vécue par Aïcha, la mère des croyants (qu’Allah l’agrée) mais également au travers de hadiths, Othmane IQUIOUSSEN nous éclaire quant aux subtilités que peut comporter la question de…

La croyance en la prédestination qu’elle soit bonne ou mauvaise est l’un des six piliers de la foi. Chaque musulman doit y croire avec certitude.Le destin se définit comme étant la connaissance profonde et détaillée qu’ Allah (swt) a de toute chose, le fait que rien ne Lui échappe dans le temps comme dans l’espace, de par Son Omniscience. Allah (swt) a connaissance de tous les faits passés et ceux à venir, tout cela est inscrit dans un livre appelé « le Livre mère ». Mais cette connaissance a t-elle une influence sur la prise de décision et les choix des croyants ?Le destin est-il incompatible avec la notion de liberté ? Dans cette intervention Cheikh Othmane IQUIOUSSEN, nous explique qu’ Allah (swt) a certes la connaissance de notre destin, mais que cela n’a pas d’influence sur nos choix.En effet, ces derniers restent libres à tout un chacun. Il nous expose des…

De manière générale, l’Histoire des grandes femmes est souvent méconnue. Si l’islam est venu honorer la femme, réaffirmer sa place et garantir ses droits, il n’en est pas moins nécessaire de le rappeler et de continuer à éduquer les jeunes générations dans ce sens. Pour ce faire, quel meilleur moyen que d’étudier l’Histoire des grandes femmes de l’Islam ? Parmi les grandes figures du Moyen Âge, nous trouvons Sayyida al Hurra, la princesse libre. Née en 1485 dans le royaume de Grenade en pleine période de Reconquista, elle sera amenée à fuir l’Espagne avec sa famille et à se réfugier au Maroc. Femme de caractère, elle deviendra une femme politique charismatique. S’entourant de personnalités engagées telles que le musulman Barberousse (Kheyrou Eddine) et peut-être même le corsaire devenu musulman Jack Sparrow, Sayyida al Hurra est notamment connue pour avoir repoussé les attaques des Portugais et des Espagnols.

Aïcha (rad) était la fille d’ Abû Bakr (rad), proche compagnon du Prophète (saws). Elle devint l’épouse du Messager (saws) sur un ordre divin, après qu’elle lui fut présentée par l’ange Gibril dans un rêve. “Lorsqu’elle entendait quelque chose de la bouche de son époux, elle revenait à la charge jusqu’à ce qu’elle l’eût bien comprise”.(Bukhârî). Aïcha (rad) était douée d’une très bonne mémoire ce qui lui permit, tout au long de sa vie, de retenir et de transmettre les enseignements du Prophète (saws) ainsi que ses faits et gestes. Elle fut reconnue par ses contemporains comme la femme la plus cultivée se son époque. En effet, un quart de la religion nous a été transmise par Aïcha (rad). Le Messager (saws) l’aimait énormément et avait confiance en elle. Dans cette vidéo Cheikh Othmane IQUIOUSSEN nous dresse le portrait de cette merveilleuse femme en insistant sur sa mémoire, son éloquence,…

Fille de l’envoyé de Dieu (saws) et de Khadîja. Fatîma était la cadette d’une fratrie de quatre soeurs. Elle fut choyée par ses parents et vécut dans un environnement plein d’amour et de douceur. Elle reçut la meilleure des éducations, et il est certain que toutes les valeurs morales qui lui furent inculquées lui servirent par la suite, notamment face aux épreuves. Contrairement à ses soeurs, Fâtima vécut le début de la prophétie et la prédication auprès de son père, cela explique le pourquoi de ce lien si fort avec lui, l’affection qu’il éprouvait pour elle était remarquable, elle était tellement tendre et s’était énormément occupée de lui notamment après le décès de sa mère, qu’on l’a surnommée “ la mère de son père “. Elle était en outre sa confidente et avait une place privilégiée auprès de lui. Au delà de ce lien, on rapporte qu’elle ressemblait énormément au…

“ Elle a eu confiance en moi lorsque les autres ne m’ont pas cru, elle a mis ses biens à ma disposition pour la cause de l’Islam. ” Bukhari et Muslim Dans ce hadith, Le Prophète (saws) nous décrit son épouse Khadija bint Khuwaylid (rad). Elle était dotée de qualités morales exceptionnelles et c’est donc naturel qu’elle ait épousé le meilleur homme que cette terre ait porté, notre noble Prophète, le Messager de Dieu, Muhammad (saws). Elle fut pour lui un soutien financier, moral, tout comme elle lui dispensa de précieux conseils et endura à ses côtés les épreuves. Elle avait toujours les mots pour le réconforter à tel point que d’après Abu Hourayra (rad), l’ange Djibril vint trouver le Prophète (saws) et lui dit : “ Ô Envoyé de Dieu (saws), voici Khadija qui t’apporte un vase dans lequel il y aura de la graisse. Quand elle te l’apportera,…

D’après Abou Hourayra (rad), le Prophète (saws) a dit: “ Chacun des enfants de Adam est touché par le Chaytan le jour où sa mère le met au monde sauf Maryam et son fils. ” Muslim Cette exception qui toucha Maryam (as) et ‘Issa (as) provient d’une invocation faite par la mère de Maryam (as) à Allah (swt) : {فَلَمَّا وَضَعَتْهَا قَالَتْ رَبِّ إِنِّى وَضَعْتُهَآ أُنثَىٰ وَٱللَّهُ أَعْلَمُ بِمَا وَضَعَتْ وَلَيْسَ ٱلذَّكَرُ كَٱلْأُنثَىٰ ۖ وَإِنِّى سَمَّيْتُهَا مَرْيَمَ وَإِنِّىٓ أُعِيذُهَا بِكَ وَذُرِّيَّتَهَا مِنَ ٱلشَّيْطَٰنِ ٱلرَّجِيمِ} {Puis, lorsqu’elle en eut accouché, elle dit: “ Seigneur, voilà que j’ai accouché d’une fille ” or Allah savait mieux ce dont elle avait accouché ! Le garçon n’est pas comme la fille. “ Je l’ai nommée Maryam (Marie), et je la place, ainsi que sa descendance, sous Ta protection contre le Diable, le banni ”.} S 3 v 36 Dans cette vidéo Cheikh Othmane Iquioussen…