L’unanimité des savants considère que celui ou celle qui interrompt son jeûne de manière volontaire, sans excuse, a commis un péché majeur.

La divergence se porte sur le fait d’accomplir al-kaffara (expiation), c’est à dire affranchir un esclave, jeûner deux mois consécutifs ou nourrir soixante pauvres.

Qui doit accomplir al-Kaffara ? Qu’en est-il de celui ou celle qui interrompt son jeûne en ayant un rapport sexuel ? Cheikh Moncef Zenati apporte des précisions dans cette vidéo

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