Francis Ford Coppola, célèbre réalisateur mondialement connu pour sa trilogie Le Parrain, était le président du Jury du Festival International du Film de Marrakech (FIFM) 2015. Il est également fondateur de la société de production Zoetrope dont les films ont obtenu 16 Oscars et 70 nominations. S’il est une légende incontournable du cinéma, Francis Ford Coppola s’est illustré lors du FIFM, pour ses propos clairvoyants tenus sur l’islam. La traduction est signée Havre De Savoir.
Deux Néerlandais, Sacha et Alexander, ont acheté une Bible, mais y ont placé la couverture du Coran autour. Leur objectif ? Démontrer l’ignorance des gens à propos du christianisme et les généralisations ou amalgames concernant l’islam. Leur méthode ? Interpeller des gens dans la rue et leur réciter des passages « controversés » ou « violents » de la Bible qu’ils présentent comme étant des versets du Coran. Quelle sera donc la réaction des passants ?
Qui sont ces jeunes qui deviennent djihadistes et se radicalisent en quelques mois voire quelques semaines? Selon Peter Harling, ce n’est pas l’islam qui est leur point commun, mais bien leur soif de violence.
Ils invoquent Allah à chaque phrase mais pour les jihadistes d’un genre nouveau, comme ceux qui ont ensanglanté Paris le 13 novembre, l’islam est un prétexte permettant surtout de canaliser une révolte intime et une soif de violence, estiment des experts.
Le Coran invite à croire en Dieu et à adhérer à la religion par l’unique voie de la sagesse et de la bonne exhortation: « Par la sagesse et la bonne exhortation, appelle les gens au sentier de ton Seigneur » (16: 125). Le Coran interdit toute contrainte en matière de religion car la contrainte ne pourrait engendrer l’adhésion des cœurs ; elle n’engendre que l’hypocrisie. L’adhésion à l’islam ne peut se réaliser qu’après un choix libre loin de toute pression psychologique ou physique. C’est pourquoi, le Coran proclame clairement: « Eh bien rappelle! Tu n’es qu’un rappeleur, et tu n’es pas un dominateur sur eux » (88: 21 – 22), « Nulle contrainte en matière de religion » (2: 256), « Si ton Seigneur l’avait voulu, tous ceux qui sont sur terre auraient cru. Est-ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants ? » (10 : 99). Au contraire, Il propose aux non-musulmans un vivre ensemble fondé sur le respect…
Un certain philosophe médiatisé sillonne les plateaux télévisés (sans jamais faire face à un spécialiste pour lui donner la réplique) en brandissant une feuille contenant des passages coraniques (avec une certaine liberté dans la traduction) tels que: « exterminez les incrédules[1] jusqu’au dernier », « Ô Prophète encourage les croyants au combat », « Frappez-les sur le cou et aux jointures », « tuez-les là où vous les trouverez »… autant de passages qui, cités de cette façon, donnent la chair de poule et démontreraient, selon ce philosophe, que le Coran serait un livre violent, sanguinaire qui fait l’apologie de la violence. Or, citer des passages coraniques en les isolants de l’ensemble de l’énoncé et en abstraction de leur contexte de révélation est une manipulation grotesque et une malhonnêteté intellectuelle déconcertante. Que dit vraiment le Coran à propos de la violence? Que signifie la notion de « djihad » en islam? Les médias et certains écrits occidentaux ont créé, le plus souvent…
La jeunesse a toujours occupé une place particulière en islam. A de nombreuses reprises dans le Coran et la Sunna, Allah et Son Messager (saws) font l’éloge des jeunes. D’ailleurs, le Prophète (saws) s’est entouré de beaucoup de jeunes dès la Révélation. On imagine souvent les compagnons du Prophète (saws) comme des personnes âgées, or, les compagnons étaient majoritairement jeunes. A l’instar de Zoubayr ibn Al ‘awwam, Talha ibn ‘oubeydallah, Saad Ibn Abi Waqqas et bien d’autres… Cheikh Moncef Zenati développe ici les qualités de ces jeunes compagnons que l’on doit prendre pour modèles, puis donne 10 conseils aux jeunes musulmans.
Une lecture du Coran a eu lieu pour la première fois en 85 ans dans l’enceinte Sainte-Sophie, monument emblématique d’Istanbul devenu un musée après avoir été une église puis une mosquée, ont rapporté les médias samedi. Oeuvre architecturale majeure construite au VIe siècle, Sainte-Sophie a été désaffectée puis transformée en musée dans les années 30 sous le régime laïque de Mustafa Kemal Atatürk. Vendredi 10 avril, un passage du Coran a été lu lors de l’inauguration d’une exposition ayant pour thème « L’amour du Prophète », à laquelle assistaient des responsables turcs dont le chef de l’agence des affaires religieuses de Turquie, Mehmet Gormez. Cette lecture du Coran, la première dans l’enceinte de Sainte-Sophie depuis 85 ans, a été assurée par Ali Tel, imam de la mosquée Ahmet Hamdi Akseki d’Ankara. L’exposition qui sera visible jusqu’au 8 mai présente des œuvres calligraphiques à la gloire du prophète Mohammed (saws). Construite à l’entrée…
En l’an 6 de l’Hégire, le Prophète saws se dirige avec environ 1400 compagnons à la Mecque pour accomplir une ‘Omra. Alors qu’ils approchent de leur destination, la chamelle du Prophète saws s’arrête à un endroit particulier. Cet endroit c’est Houdeybia. Les mecquois s’opposent à cette Omra et des négociations débutent entre les deux camps. Un pacte de paix, est signé entre les idolâtres et les musulmans. En apparence, ce traité accorde plus d’avantages aux idolâtres et les musulmans doivent renoncer à accomplir leur Omra cette année. Beaucoup de déception chez les compagnons qui voient dans ce traité une défaite, alors qu’elle est en réalité une victoire éclatante. En temps de paix, l’islam connaît une grande expansion. Le Prophète saws se consacre à l’expansion et à la transmission de la religion dans le monde. Deux années après le traité, ce sont maintenant 10000 musulmans qui se présentent aux portes de…