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N’oublions pas la condescendance avec laquelle les socialistes traitent les « immi- grés », et comment des couloirs des hautes sphères socialistes, sont nées des asso- ciations comme « SOS racisme », et « Ni putes ni soumises ».

N’oublions pas non plus que c’est le Sénat, fraîchement élu et passé aux mains des socialistes, qui a lancé une nouvelle machine du laïcisme inquisitoire avec la propo- sition de loi contre les nounous voilées… D’un côté, on nourrit la discrimination envers les musulmans au nom de l’identité nationale menacée d’altération…

L’odeur de la défaite flotte sur la Sarkozie. Il faudrait un miracle pour sauver le
«président des riches», celui dont le quinquennat a signifié plus de privilèges pour les privilégiés, plus de fardeau pour les plus faibles. Et il faut l’incroyable culot du président sortant pour faire écrire sur un tract électoral intitulé « Cinq raisons de voter pour Nicolas Sarkozy » : « Je ne veux pas d’une société où les élites confisquent le pouvoir. »

Mais le chef de l’Etat s’accroche désormais à la seule bouée qui pourrait, pense-t-il, le sauver : la xénophobie, l’islamophobie, la haine des immigrés.

L’homme se repent de ses péchés dans le but de se purifier. Quiconque commet un péché est comparable à celui qui se roule dans la souillure. Il veut donc se laver de cette souillure ; se débarrasser de cette crasse, mais ceci ne peut se réaliser que par le repentir.

L’homme doit donc se garder des péchés, mais pour cela, il doit saisir parfaitement la vérité de ces péchés…

Pour commencer ton cheminement sur de bonnes bases tu dois le commencer par un repentir sincère.

Si tu veux édifier une construction solide, tu dois tout d’abord commencer par déblayer les décombres. Pour persister sur le chemin du bien et de l’obéissance, tu dois commencer par te purifier. De la même façon que tu te laves le corps avant d’enfiler des vêtements propres, tu dois aussi commencer par déblayer le chemin, le purifier, or sa purification réside dans le repentir.

Et si les extrêmes, par leur crispation maladive, imposent insidieusement leur vision et leurs sujets de préoccupation aux acteurs politiques, médiatiques et intellectuels de notre pays ?

Comment, autrement, peut-on comprendre que le discours pétri de haine et de peur que véhiculent les acteurs xénophobes et racistes de notre pays devient à ce point banalisé alors qu’il fut, il n’y a pas si longtemps, unanimement rejeté ?

Contrairement à ce qui est répandu, le Conseil Européen de la Fatwa n’est pas le seul à avoir autorisé le recours au prêt bancaire avec intérêts en vue de l’acquisition d’un logement en guise de résidence principale.

En effet, bien avant (en 1985) le CEFR, le Comité général de la Fatwa du Koweït (al-hay-a al-‘amma lil-fatwa bil-kouweït), dont les savants ne peut être accusés de laxisme, a permis cette transaction usuraire pour les musulmans d’Amérique (qui vivent le même contexte que les musulmans en Europe).

La première rencontre fut l’inauguration du CEFR, le 29 et 30 mars 1997 à Londres en Grande Bretagne.

Le rôle de ce conseil est d’essayer de rapprocher les savants d’Europe, et d’unifier leurs avis jurisprudentiels sur des sujets de droit musulman. Ces savants se réunissent pour émettre des fatwâs (un avis juridique autorisé et déterminé par des savants avertis) sur des questions concernant les musulmans d’Europe en se référant à diverses sources qui sont en accord avec les principes islamiques.

Cette histoire m’est arrivée personnellement, il y a 3 semaines j’ai reçu un e-mail d’une jeune femme vivant en Australie, voici le contenu du mail :

« Je suis d’origine libanaise, de père musulman et de mère chrétienne, j’ai vécu au Liban les 10 premières années de ma vie, puis mes parents ont émigrés vers l’Australie, depuis mon lien avec le Moyen-Orient s’est complètement rompu. Aujourd’hui j’ai 22 ans, et depuis mon voyage en Australie ma relation avec la religion s’est achevée, tout ce que je sais c’est que je suis musulmane et c’est tout !